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Témoignage de Robert Guillon Directeur de 1956 à 1965 Bientôt l’heure de la baignade ! Un conte » qui a duré pour nous de juillet 1947 à juillet 1966, avec une interruption de 1951 à 1954. De cette période active et besogneuse pour des vacances, on serait tenté de n’en retenir que les bons côtés, les vacances au bord de la mer sous un ciel clément et un soleil radieux, et oublier les jours de pluie maussades. En juillet 1956, et devenu directeur succédant à Pierre Beaufort celui-ci nous fit les recommandations suivantes La colo ne possède pas ses propres locaux et nous devons emprunter les écoles de St-Gilles et de Croix-de-Vie, le cours complémentaire de filles, route des Sables, les écoles primaires, près du Château d’eau et celles du centre de Croix-de-Vie. Nous nous devons de respecter les lieux. » Nous étions à la merci d’un ballon lancé dans les vitres, d’un coup de pinceau malencontreux. Cela supposait une surveillance continuelle. R. Guillon, Mme Barreau infirmière, G. Sibileau, JC. Clion, …, …, …, F. Pointeau, Pierre Beaufort, Porcheron, Mme Corbière, R. Guitton, …, …, … L’installation se faisait dans les 2 jours avant l’arrivée des enfants avec une partie du personnel et l’aide d’un véhicule des établissements Hervé ou Braconnier et de son chauffeur. Les lits, matelas et matériel de cuisine étaient entreposés dans une vaste réserve, poussiéreuse à souhait, d’où s’échappait cette odeur caractéristique de sel et sardine séchée. Un escalier étroit, raide et rugueux, sans rampe, en constituait la seule issue. Quel plaisir de descendre notre glacière et les deux volumineuses chaudières qui servaient à faire les frites ou à cuire les artichauts et autres légumes ! Un exercice qui nécessitait des mains et des reins d’acier. Quatre groupes de locaux accueillaient ce matériel sans oublier le marabout » sur la plage de St-Gilles, nécessaire au déshabillage et rhabillage des enfants. 1963 L’équipe d’encadrement avec Jacques Marolleau, directeur stagiaire debout à droite Les petits Parthenaisiens pouvaient arriver, les occupations ne manqueraient pas ! Les matinées étaient bien remplies jeux sur la plage, dans les dunes, pêche au crabes, préparatifs de présentation des menus, des veillées, journées en forêt de Sion ou en camping. Après la sieste, petits travaux manuels au dortoir, baignade sur la plage après installation du périmètre de bain, goûter, jeux sur la plage ou grands jeux avec prises de foulards dans les dunes au sud de St-Gilles, pêche aux crabes à marée basse, préparation du menu ou de la veillée précédaient le retour au dortoir. Les douches, obtenues non sans peine, avaient été installées sous le préau de garçons. La baignade supposait, outre la présence du drapeau vert, l’installation du périmètre de protection. Puis avait lieu le déshabillage dans le marabout pour les filles d’abord, pour les garçons ensuite. Naturellement, la présence du surveillant de baignade était indispensable dans ces vagues quelquefois imprévisibles. Pendant de nombreuses années, Mme Rochereul a assuré la responsabilité de la cuisine. Les repas nous réunissaient tous, chaque moniteur déjeunant ou dînant avec son équipe. La cuisinière et les 6 femmes de service n’avaient guère de temps à perdre pour nourrir environ 150 rationnaires de victuailles bonne qualité, fraîches puisque les frigos n’existaient pas. Et le personnel avait aussi l’entretien des dortoirs, éloignés, à assurer. Les jours de mauvais temps étaient consacrés aux visites chez les artisans et industriels du pays, au marais salants, au viviers, au marché, au port… Les jours de pluie, la colonie des Houillères d’Auvergne nous avait offert d’assister à ses séances cinématographiques. N’oublions pas non plus que le dimanche, nous avons l’obligation d’accompagner à la messe les enfants de plusieurs familles, et l’activité de cette matinée dominicale se ralentissait. Tout au plus une promenade en ville ou sur le port pour ceux qui restaient à la colo. Mais tout repartait de plus elle l’après-midi. 1965 Robert Guillon, entre Jacques Marolleau et son adjoint Robert Vignault debout à droite. Afin de pallier l’éparpillement des locaux, nous avions besoin d’une équipe de responsables capables de se déplacer le jour sur les aires de jeux plus ou moins éloignées, et la nuit pour effectuer des rondes et venir en aide au éventuels malades, les moniteurs de service ne disposant pas du téléphone et ne devant pas quitter leur équipe. Malgré nos craintes, tout se passait bien les longues marches, les courses dans le sable ajoutées à la puissance de l’air marin, plongeaient nos protégés dans un sommeil profond. F. Pointeau ?, J. Franchineau, …, …, …, F. Renaudeau, JM. Pied, Porcheron, …, F. Fichet, R. Guillon, JC. Clion, …, …., …. L’année 1965 verra l’achat d’un terrain et la construction d’un hangar bien clos et confortable pour le stockage du matériel à l’abri de la poussière. Et de plain pied, quel soulagement ! Et cela faisait chaque été un séjour de trois semaines dont nos colons profitaient avec bonheur. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Témoignage de Jean-Yves Galais Moniteur en 1963 puis directeur en 1973 Ce sont 10 étés de joies partagées. L’équipe d’encadrement 1967 au centre, au 1er rang, Jean-Yves Galais et Annick Boche future Mme Galais, alors moniteurs et qui deviendront plus tard directeur et économe de la colonie. Malgré des conditions de fonctionnement difficiles – locaux d’hébergement dispersés en 3 endroits de la ville, dortoirs composés d’armoire et de lits installés dans les salles de classe dont on avait au préalable empilé les tables dans un coin, fourneaux de cuisson extérieurs protégés des intempéries par une bâche tendue au quatre coins d’une cour – enfants et adultes attendaient avec impatience de se retrouver à la colonie de St-Gilles. Les petits Parthenaisiens et enfants des alentours allaient vivre trois intenses semaines au bord de la mer. Pour la grande majorité, ces vacances constituaient la principale ou la seule évasion de l’été. Dès leur arrivée, ils étaient répartis en équipe dont le nom était invariable d’année en année Pêcheurs, Goélands, Requins, Dauphins, Surcouf, Jean-Bart, Hippocampes pour les garçons, Sirènes, Frégates, Anémones, Mouettes, Crevettes, Mousses, pour les filles. Chaque équipe recevait un fanion qui passait de main en main au fil des jours et qui permettait de se rassembler et surtout de grouper vêtements et sacs sur la plage pendant les activités. 1965 François Caillon et ses Goélands » Et des activités, il y en avait ! Selon les âges, les demandes des uns et des autres ou le temps qu’il faisait. Si le rendez-vous quotidien pour la baignade et les jeux se situait sur la grande plage de St-Gilles autour du marabout ancré sur la dune face à l’océan, l’environnement marin offrait la possibilité d’activités fort variées courses au trésor, pirates et corsaires dans les dunes, essais de cerf-volants, concours de château de sables à marée basse, découverte du port de pêche à Croix-de-Vie au retour des bateau, pêche au crabe dans les rochers de Pil’Hours, balade sur la corniche rocheuse pour observer la fureur des vagues au Trou du Diable, pique-nique en forêt de Sion ou dans les bois de Jaunay, sans oublier les visites d’ateliers locaux comme la conserverie, la poterie, l’usine de glace, la coopérative maritime… 1969 1er rang R. Vignault, D. Chauvière, F. Righi, M. Guengant, P. Domingie, JM. Pillet, M. Ligner, JC. Chapelin. Debout J. Marolleau, D. Marilleau, M. Balmelli, G. Lhermitte, C. Soury, R. Vignault, M. Boullet, J. Marolleau, C. Domingie, A. Galais , JY. Galais Les plus grands appréciaient de partir quelques jours en camping et de tirer la remorque à bras chargée de toiles de tente, sacs et ustensiles de cuisine. On n’oubliait pas non plus de préparer les veillées – les acteurs du premier soir devenaient les spectateurs du second -, le jour de la kermesse où l’on jouait de stand en stand en payant avec des tickets de carton et les activités manuelles qu’on multipliait les jours maussades. Les repas se prenaient ensemble à l’école maternelle de Croix-de-Vie qui constituait en fait le cœur de la colonie. Chaque équipe retrouvait sa table et mangeait avec son moniteur qui prenait place au bout sur un tabouret de bois. Le courrier, très attendu car on téléphonait rarement à l’époque, était distribué au début du déjeuner et le programme des activités souvent annoncé à la fin d’un repas. Une main se levait, bientôt dix, vingt, cinquante… c’était le signal du silence et chacun le respectait. C’était le moment des questions et des réponses. La nourriture était copieuse et variée. Les responsables de l’économat et des cuisines savaient gérer un budget souvent serré rien ne se perdait et on ne gaspillait pas. Si le poids du jour d’arrivée devait, sur le papier, être inférieur à celui du jour du départ, on s’intéressait davantage à la vitalité et à la bonne santé de chaque enfant. Le rôle de l’infirmière était heureusement limité à soigner les blessures consécutives aux pêches dans les rochers ou aux chutes malencontreuses et à calmer les coups de soleil avec une pommade miraculeuse. 1967 Les 11 garçons d’Alain Harnois. La colonie de St-Gilles, c’était aussi le passage quotidien sur le pont qui enjambe la Vie, cette rivière tantôt à marée haute qui montait jusqu’au bord des quais, tantôt à marée basse qui abandonnait ses navires sur le flanc et dans la vase… C’était une odeur d’algues et de poisson près de la criée, ce parfum sucré qui se dégageait près des confiseries de la fête foraine… C’était aussi ce ciel étoilé qui faisait rêver et naître les amourettes d’un été ou les amours d’une vie… 1973 l’heure du goûter pour les Étoiles de mer » et leur monitrice Françoise Métais. En 1973, du 9 au 30 juillet, ce sera le dernier séjour pour 124 colons du Patronage Laïque de Parthenay. Comme ce fut le cas pendant des années des adultes vont œuvrer pour rendre leur séjour agréable et profitable. Qu’il me soit permis d’avoir une pensée pour ces hommes et ces femmes de cette dernière décennie Robert et Jocelyne Guillon, Jacques et Jeannine Marolleau, Robert et Rosemonde Vignault, Annick Galais… l’équipe cuisine avec Mesdames Rochereul, Cantet, Bourdin, Maria et autres… les fidèles et sympathiques moniteurs et monitrices… sans oublier le dévoué président Maurice Caillon. 1973 Michel Brun et son équipe visitent le port de pêche. A St-Gilles-Croix-de-Vie, comme on le chantait dans les années 60, il y avait le ciel, le soleil et la mer » mais il y avait aussi… la colonie de Parthenay. Enregistrer Enregistrer
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