Extra Journaux, Trois-RiviÚres :Le nouvelliste,[1920]-BibliothÚque et Archives nationales du Québec
Adrien Pamart nous livre son retour d’usage aprĂšs l’utilisation d’une mallette de tablettes Ipad avec ses du projet Initialement, nous devions travailler autour de la lecture – comprĂ©hension en CP et de la recherche documentaire avec les Ă©lĂšves de CM2. Malheureusement, l’ absence de connexion internet nous a obligĂ©s Ă  revoir notre projet. J’ai donc proposĂ© Ă  mes Ă©lĂšves d’écrire et de rĂ©aliser un film d’animation en Stop Motion. Aspect technique Du point de vue des Ă©lĂšves, la prise en main de l’outil a Ă©tĂ© trĂšs rapide. Ils se sont familiarisĂ©s avec l’application Istop Motion en rĂ©alisant de courtes sĂ©quence Ă  l’aide de Lego. Par groupe de 2, ils se sont appropriĂ©s durant 1 semaine les diffĂ©rents rĂŽles animateur-rĂ©alisateur. Istop Motion est une application simple et de qualitĂ©. Au niveau de l’enseignant, la prise en main des tablettes s’est faite Ă©galement rapidement. Mon plus gros soucis a Ă©tĂ© l’absence de connexion internet sur l ’école. La borne wifi Apple n’a en effet jamais fonctionnĂ©. L’utilisation d’un proxy par la mairie semble en ĂȘtre la cause. Le prĂȘt d’une borne pirate nous a permis de contourner le problĂšme. Celle-ci m’a permis d’utiliser l’Apple TV, trĂšs pratique pour visionner les sĂ©quences rĂ©alisĂ©es par les Ă©lĂšves. En revanche, la rĂ©cupĂ©ration des donnĂ©es et des travaux des Ă©lĂšves pour la version dĂ©finitive du film a Ă©tĂ© trĂšs problĂ©matique. L’application Document et l’utilisation du Web Dav me semblent peu adaptĂ©es Ă  la vidĂ©o. Elles nĂ©cessitent une connexion wifi permanente et de qualitĂ©. Dropbox est plus facile d’accĂšs et plus performante. C’est grĂące Ă  cette application que j’ai pu finaliser notre film. De fait, il serait bien de pouvoir rĂ©cupĂ©rer les photos ou vidĂ©os en filaire. En outre, il m’a Ă©tĂ© impossible de brancher l’Ipad sur mon ordinateur. Ce dernier ayant Ă©tĂ© configurĂ© sur un autre ordinateur. Imovie sur Ipad est trĂšs simple. Le montage par les Ă©lĂšves me semble possible dĂšs le CE2. Petit bĂ©mol, il n’est pas possible de caler de la musique Ă  l’image. Imovie cale la musique sur la 1Ăšre image. En insĂ©rant des bruitages, j’ai pu faire dĂ©buter le morceau Ă  peu prĂšs Ă  l’endroit que je souhaitais. D’autre part, pour rĂ©aliser des prises de vue, il serait bien que vous puissiez fournir des pieds et des supports pour les Ipad. La coopĂ©rative de l’école a achetĂ© 2 pieds et 2 supports. De plus, il faudrait fournir des housses la fragilitĂ© de l’objet et son coĂ»t le justifient. MalgrĂ© ces problĂšmes de transfert qui m’ont pris Ă©normĂ©ment de temps, il me semble important de mettre en avant que l’Ipad est un outil formidable, il est simple d’utilisation et trĂšs enrichissant d’un point de vue pĂ©dagogique. Aspect humain devant l’expĂ©rience innovante Les Ă©lĂšves ont Ă©tĂ© ravi d’utiliser les tablettes. Ils ont Ă©tĂ© trĂšs motivĂ©s tout au long de l’expĂ©rience. Ils ont dĂ©veloppĂ© des rĂ©flexes d’utilisation, une mĂ©thodologie. Autre point positif, ils ont rĂ©ellement collaborĂ©. Il y a eu de rĂ©els Ă©changes et retours sur leur travail, Ils pouvaient visionner immĂ©diatement la sĂ©quence, la modifier et la valider. Au cours de la 1Ăšre projection, ils ont pris conscience de faire partie d’un dispositf innovant. Les parents ont Ă©tĂ© trĂšs impressionnĂ©s par le rĂ©sultat final. Les collĂšgues ont Ă©tĂ© intĂ©ressĂ©s et curieux de l’utilisation des tablettes en classe. En revanche, ils ne les ont pas utilisĂ©es. Un collĂšgue souhaite l’annĂ©e prochaine collaborer avec moi Ă  la co-rĂ©alisation d’un nouveau film. Je tenais Ă  remercier les formateurs du CanopĂ© 78 pour leur aide et leur disponibilitĂ©. Aspect pĂ©dagogique D’un point de vue organisationnel, nous avons travaillĂ© en atelier durant toutes les Ă©tapes de production. Chaque sĂ©ance durait 45 minutes. Atelier 1 Atelier dirigĂ© consacrĂ© aux prises de vue sur les dĂ©cors. 5 ÉlĂšves se relayaient pour la prise de vue, ou l’animation. Atelier 2 Atelier en autonomie. 4 Ă©lĂšves s’occupaient du gĂ©nĂ©rique de fin. Atelier 3 Atelier en autonomie. PrĂ©paration des dĂ©cors du film. 5 ÉlĂšves. Chaque dĂ©cor a Ă©tĂ© pensĂ© collectivement et a fait l’objet d’un story-board. Atelier 4 Atelier en autonomie. Confection individuelle de ses personnages. 6 pluridisciplinaire du projet est trĂšs intĂ©ressant. MaĂźtrise de la langue les Ă©lĂšves ont coĂ©crit le film. Chaque plan a Ă©tĂ© discutĂ© ce qui a permis des Ă©changes oraux trĂšs intĂ©ressants et des productions d’écrits. Les textes choisis de lecture Ă©taient en rapport avec notre thĂšme l’espace ». MathĂ©matiques 2 ou 3 images ont Ă©tĂ© prises pour chaque dĂ©placement. Cela nous a permis de travailler sur les doubles et de compter des suites de nombres de 2 en 2 ou de 3 en 3, de dĂ©passer la centaine. Chaque plan nĂ©cessitant entre 100 et 150 images. Histoire des arts nous avons pu aborder le cinĂ©ma d’animation et d’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale de la production cinĂ©matographique. De nombreux films, vidĂ©os clips ont Ă©tĂ© visionnĂ©s. Arts visuels la confection graphique des dĂ©cors a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e par les Ă©lĂšves. Pastels + encre sur des grands formats. Formats raisin assemblĂ©s. Éducation musicale Ecoute musicale contemporaine et plus particuliĂšrement David Bowie. Malheureusement, nous n’avons pas eu le temps de composer la BO du film. Sciences Le systĂšme solaire. Visionnage de l’émission C ’est pas sorcier », rĂ©alisation d’un cahier de l’Espace. La sortie de fin d’annĂ©e a eu lieu au MusĂ©e de l’Air et de l’espace ou les Ă©lĂšves ont participĂ© Ă  l’atelier PlanĂšte Pilote. » Adrien Pamart, professeur des Ă©coles Ă  Clichy 92 Emprunt rĂ©alisĂ© dans le cadre du projet CrĂ©atice
Profitantd’un malentendu, Flash se vante auprĂšs de Maark des fabuleux progrĂšs qu’il a faits avec les Ronks. Malheureusement, il en fait trop. Quand l’inspecteur Klug dĂ©barque pour se rendre compte par lui-mĂȘme, Flash doit mettre en scĂšne les « progrĂšs » des Ronks avec l’aide de Walter et Mila / Quand Flash propose Ă  Mama, Mila et Walter de partir en vacances, ces
A la crĂ©ation du Blog en Mai 2011, chez notre ancien hĂ©bergeur-avec qui nous conservons quelques liens-Benoit faisait paraĂźtre cet article, qui pour des raisons historiques demeurera en tĂȘte du site actuel Toutes les autres parutions seront classĂ©es par prioritĂ©/antĂ©rioritĂ© de date, les derniers articles Ă©crits Ă©tant toujours en tĂȘte , les premiers datant de 2011 seront consultables tout au bout de la liste construite en rĂ©gressant dans le temps Ainsi, si vous avez manquĂ© quelques informations, vous pourrez les retrouver aprĂšs leur mise en avant "Sur le Feu de la Ruche" ou au "Fil de la Ruche"aux diffĂ©rentes rubriques du MNEMOSYNE; dont la mĂ©moire ne s'Ă©teint pas Christian __________________________________________________________________________ Oyez! Oyez! Chers amis et adhĂ©rents de "La ruche des arts"! Le comitĂ© a choisit les thĂšmes et les dates, saison 2011/2012, de nos scĂšnes ouvertes poĂ©tiques mensuels au cafĂ© Bab'ilo. Pour tous ceux et celles qui ont des emplois du temps trĂšs serrĂ©s ou une grande lenteur inspiratrice, ce planning est fait pour vous! Ah, oui, pour les petits nouveaux, la scĂšne ouverte poĂ©tique de notre association Montmartroise a toujours lieu UN MERCREDI... 12 Octobre Le miroir 9 Novembre La mĂ©lancolie 14 DĂ©cembre ThĂšme libre 11 Janvier La rue ThĂšme, Ă©galement du PLEIN SENS n°23. 15 FĂ©vrier Le regard 17 Mars "Printemps des poĂštes" ThĂšme Enfances 11 Avril DerriĂšre le rideau 9 mai 14H52, un dimanche 13 Juin Une nouvelle vie Au CafĂ© Bab'ilo 9 rue des baigneurs 75018 Paris mĂ©tro Jules joffrin Et pour ceux et celles qui dĂ©sirent ĂȘtre aidĂ©s pour confectionner un texte qu'ils dĂ©clameront lors de la scĂšne ouverte, nous proposons, Ă©galement, un atelier d'Ă©criture. DirigĂ© par Bernard Philippon, l'atelier se tient toujours LE JEUDI DE LA SEMAINE PRECEDENTE LA SCENE OUVERTE POETIQUE. Soit les 03 Novembre pour prĂ©parer "La mĂ©lancolie" 08 dĂ©cembre Pas de thĂšme 05 Janvier pour prĂ©parer "La rue" ThĂšme, du PLEIN SENS n°23 09 FĂ©vrier pour prĂ©parer "Le regard" 08 Mars pour prĂ©parer le thĂšme du "printemps des poĂštes" Enfances 05 Avril pour prĂ©parer "DerriĂšre le rideau" 03 Mai pour prĂ©parer "14H52, un dimanche" 07 Juin pour prĂ©parer "Une nouvelle vie" La maison des associations 15, passage Ramey 75018 Paris mĂ©tro Jules Joffrin Vous avez toutes ses informations sur le module "Sur le fil de la ruche" Ă  droite de l'Ă©cran sous "cette semaine Ă  la ruche". Pour toutes autres informations _____________________________________________________________________________ Fin de l'EntrĂ©e en matiĂšre et dĂ©but des derniers articles parus mises Ă  jour effectuĂ©es le 26 septembre 2014 et le 26 Juin 2016pour la transition 26 dĂ©cembre 2014/ vers 14 Janvier 2015 voir mĂ©mno 02 _____________________________________________________________________________ HIER JUSQU'AU BOUT DE LA NUIT AU BAB'ILOPostĂ© le 26/12/2014 - Par La Ruche des Arts chr Sur le Feu de la Ruche Retour sur la scĂšne ouverte au Bab-Ilo du Mercredi 17 dĂ©cembre 2014 de 19 Ă  21 h ThĂšme La Nuit Resterez-vous sous les Ă©toiles-rĂȘverez-vous ? ou resterez-vous avec nous jusqu'au bout de la nuit ? Ă©taient les questions et vous ĂȘtes restĂ©s, pour la scĂšne ouverte et aussi pour la Carte Blanche Ă  Emile Gayoso, qui suivait... MnĂ©mosyne d'HervĂ© Gosse MichĂšle LASSIAZ dĂ©clare que la nuit Ă©tant venue trĂšs tĂŽt, il faut la chanter sans perdre de temps. Elle pousse Ă  s’exprimer tous ceux qui arrivent de nuit et mĂȘme ceux qui n’ont pas vu le jour Bernard PHILIPPON commence immĂ©diatement aprĂšs MichĂšle et nous enchante dĂšs le dĂ©part; Bernard affirme que, la nuit, les cƓurs commencent Ă  s’épancher. Il est bien tard pour apercevoir quelque chose dans le miroir de l’amour. Faute de lumiĂšre, on n’y distingue qu’un vieux moulin, un arc qui se brise. Tout n’est-il que ruines ? Heureusement, il y brille une Ă©toile dans un ocĂ©an tout bleu. Serge CARBONNEL nous dĂ©clare qu’il fait toujours nuit pendant la guerre. Pendant les nuits de guerre, les petits enfants sont tout bleus et ils ont froid comme la lune. Elle se gĂšle et pourtant elle est belle et tranquille comme les petits enfants qui ne remuent pas. AgnĂšs RAVELOSON Ă©voque des nuits d’errance, de fuite, d’exode, oĂč s’installe un Ă©pais brouillard, effaçant les visages des ĂȘtres aimĂ©s. Dans ces nuits, seul demeure et reste visible l’amour dans les cƓurs. Les ombres et les silences ne font plus peur et rappellent ceux qui nous sont chers. Zita et Didier LALOUX racontent et chantent leurs nuits blanches, Ă  l’écoute de la messagerie cĂ©leste. Sur les radios de nuit, malgrĂ© les annonces mĂ©tĂ©o, les grĂ©sillements, les publicitĂ©s, ils ont entendu le bruit des claquettes de Ginger ROGER'S et de Fred ASTAIRE. Que le ciel s’assombrisse, que les nuages crĂšvent, qu’il y ait de l’eau dans le gaz, peu importe, il faut imiter, toutes les nuits, le couple qui fait des claquettes. StĂ©phane COTTIN, co-fondateur de la Ruche avec MichĂšle LASSIAZ, et qui nous revient ce soir, raconte les aventures nocturnes de Malus, dit le salace, qui ne se lasse pas des femmes mais se plaint d’Hortense, Ă  la peau lisse, de vingt ans, qui se cache, la nuit, derriĂšre ses hortensias. Malus ne mollit pas avec Melissa, une fille mollasse, sans malice, mais lasse de Malus. HervĂ© GOSSE nous fait sentir les mauvaises odeurs de cigarettes, de joints, d’alcools, de sueur et de vomi dans une voiture qui roule, la nuit, dans le sud des Etats Unis. Puis viennent les bonnes odeurs de la nature lorsque la voiture s’arrĂȘte enfin ; cela sent les fleurs, l’herbe et la bouse de vache. Claudine VAN LERENBERGHE consulte, la nuit, les annonces immobiliĂšres pour trouver un toit, et sous le toit, un lit, et sous le lit, un chat gris
Le toit, le lit, et le mari aussi, c’est gris qu’elle les veut ; seule la nuit sera blanche ou noire. Fabienne SCHMITT annonce que les jours se meurent Ă  PARIS. Sur le Pont Neuf, les amants voient des serpents scintillants sur la Seine. C’est une scĂšne hallucinante. Les amants Ă©bahis filent au Quartier Latin pour se livrer Ă  des jeux interdits, derriĂšre des portes cochĂšres. A minuit, les passants se griment le corps et l’ñme. La lune voit tout mais ne dit rien. A six heures, c’est la Seine qui baille, les amants sont allĂ©s se coucher. Christian LAFONT nous fait de prime abord part d'un quatrain composĂ© au dernier atelier d'Ă©criture, Ă©voquant un chien nommĂ© Quicky qui s'Ă©panche sous un rĂ©verbĂšre, puis Ă©gaie l’assistance avec une chanson Ă©voquant la nuit animĂ©e d'"un danseur de Charleston" en 1925, qui le met en joie et procure de l’enthousiasme Ă  tous ceux qui l’écoutent. Benoit GIMENEZ, trĂšs occupĂ© professionnellement, cette nuit de retour, Ă©voque le petit matin, lorsqu’une vingtaine de techniciens de surface, au quarante-huitiĂšme Ă©tage, balaient devant la porte d’un cabinet d’avocats. Ils tĂąchent de ne pas se faire remarquer et nettoient rapidement toute trace de leur vie et de leur destin. Une voix nous ordonne de grimper au sommet de ces tours Ă©crasantes de la vie. Nous avons trop appris Ă  faire les choses sans nous poser de questions. Les autres, comme ces techniciens, tout lĂ  haut, ne sont pas des silhouettes. Benoit peint la ville, la nuit, aussi bien la citĂ© dortoir que l’intĂ©rieur d’un manoir avec son boudoir. Les paraboles sont sur tous les toits, en nombre infini, jusqu’à l’hyperbole. La ville, la nuit, a subi une opĂ©ration de chirurgie, elle dort, puis elle rugit au petit matin. Serge CARBONNEL revient, et, par son poĂšme, nous demande de "le delivrer de l'Ă©ternelle nuit du mensonge quotidien" citation, puis termine sur un texte du thĂšme "le Regard" afin d' apprendre Ă  regarder et de faire mieux demain qu'hier. Ce qui est Ă©videmment louable et apprĂ©ciĂ© comme il se doit X.? qui se reconnaitra et pourra se signaler nous conte l’angĂ©lus et toutes ces voies lointaines qui partent d’un mĂȘme point. Serait-ce les voies lointaines du rĂȘve qui chemine dĂšs la fin de la priĂšre du soir ? Serait-ce les voies lointaines de la vraie vie qui Ă©clot dĂšs la nuit tombĂ©e ? Bernard PHILIPPON parle de la poĂ©sie de Victor Hugo ainsi que des poĂšmes nĂ©s lors du dernier atelier d’écriture. Il s’agit de poĂšmes nĂ©s la nuit, avec deux pieds puis avec trois, quatre, cinq et six pieds, puis de poĂšmes nommĂ©s alexandrins», aprĂšs leur naissance. La poĂ©sie fait nocturne et le poĂšte travaille d’arrache pieds la nuit. Les images fusent la nuit, le disque d’or s’endort, il n’a pu survivre Ă  l’aprĂšs-midi. Le temps est tissĂ© mince. Il ordonne la succession mĂ©canique du jour et de la nuit. Il est un maĂźtre absolu, qui s’impose seconde aprĂšs seconde. Il peint tour Ă  tour un ciel gris bleu et un ciel noir. Zita nous confie que les enfants qui s’aiment peuvent ouvrir toutes les portes de la nuit. La haine et le mĂ©pris s’effacent et ne sont lĂ  pour personne. Ils sont sortis par les portes de la nuit, craignant l’obscuritĂ© et les chauves souris. StĂ©phane COTTIN conte les mots dont le sens dĂ©rape, la nuit. Dans le noir, Micheline a des mouches sur les miches et son Michel en a sur les mĂšches, c’est moche. InvitĂ©es au BAB’ILO, Emilie OMNES et Anne FONTAINE, de l’association Nubuk, crĂ©ation littĂ©raire » assemblent avec gĂ©nie des mots, trois par trois, tirĂ©s du chapeau, et provenant de langues diffĂ©rentes. Elles forgent des phrases impossibles avec stiletto », paradise », gatto ». C’est bien plus difficile que d’offrir aux chats des gĂąteaux ou de les faire Ă©crire au stylo. Pour rĂ©ussir cette gymnastique, cette danse acrobatique, avec talons, il faut mettre sur la tĂȘte un tutu. La scĂšne ouverte du BAB’ILO est suivie d’une carte blanche, avec une suite de textes poĂ©tiques de Bernard DIMEY et de Robert DESNOS, dits avec une profonde sensibilitĂ© voir MnĂ©mosyne de la Carte blanche Ă  Emile Gayoso Une bonne nuit Ă  revivre poĂ©tiquement HervĂ© GOSSE cette scĂšne ouverte Ă©tait suivie de la Carte Blanche Ă  Emile GAYOSO Ndlr Nous remercions les auteurs des poĂšmes, contes, textes ou chansons qui se sont manifestĂ©s afin de rĂ©tablir l'attribution d'un texte Ă  son auteur, le bon ordre de passage ou la cohĂ©rence d'une interprĂ©tation par rapport Ă  son de notre association La Ruche des Arts Photos en tĂȘte et rĂ©verbĂšre Joseph SIBIO, sur la scĂšne du Bab-IloChristian LAFONT MnĂ©mosyneHervĂ© GOSSE revisitĂ© par Chr Lafont Clipart Lune et mise en page Christian LAFONT C'EST DEMAIN LA SCÈNE OUVERTE DE LA RUCHE DES ARTS THÈME DEMAINPostĂ© le 18/11/2014 - Par La Ruche des Arts chr Sur le Feu de la Ruche SCÈNE OUVERTE DE LA RUCHE DES ARTS le Mercredi19 Novembre 2014 de 19 Ă  21h SUR LE THÈME "DEMAIN" IRONS-NOUS DANS LA LUNE SUR MARS OU BIEN AILLEURS Quel avenir pour vous ? OĂč serez vous Demain ? un thĂšme d'avenir Ă  lire, dire, conter ou dĂ©battre...au CafĂ© BAB-ILO 6 rue du Baigneur Paris 18Ăšme mĂ©tro Jules Joffrin ou Lamarck-Caulaincourt IMPORTANT avant la ScĂšne ouverte ANNE-MARIE LAMA de la Ruche des Arts expose quelques-unes de ses Ɠuvres picturales le 19 novembre Ă  18 h et vous convie autour d’un pot, de 18 Ă  19 h avant la SoirĂ©e PoĂ©sie “ ScĂšne Ouverte au BAB-ILO ” La Ruche des Arts chr Nous eĂ»mes de belles visions ce soir-lĂ  sur la scĂšne du Bab-Ilo et nos oreilles furent elles aussi Ă  nouveau conquises ! Rires, sourires, Ă©motions ont encore une fois Ă©tĂ© partagĂ©s avec bonheur par tous, sur le thĂšme du regard ». Il y avait de nouveaux visages, des amis de Serge Carbonnel, curieux de nous connaĂźtre et impatients d’assister Ă  la Carte blanche de ce grand poĂšte, et aussi des spectateurs de notre dĂ©ambulation poĂ©tique du dimanche 12 octobre, avides de continuer un bout de chemin avec nous. Notre reine, MichĂšle Lassiaz, a dĂ©clarĂ©, plusieurs fois, tonitruante Je vous trouve trĂšs beaux ! » . Elle nous offre un poĂšme touchant sur les oubliĂ©s de notre sociĂ©tĂ©. OguĂšne poursuit avec un poĂšme de son recueil “ Errances ” qu’elle gonfle Ă  l’inspiration. Maryse Licette, heureuse d’ĂȘtre Ă  nouveau parmi nous, lit avec douceur un de ses textes. Louise Emily, de sa voix fluette, nous intime l’ordre de regarder Regarde, regarde
 » C’est beau ! MariĂšva Sol nous dit un trĂšs beau texte de sa fille An Pra. Fabienne Schmitt scrute en rimes et tendresse les regards de l’humanitĂ©, et Anefrance nous enchante avec le Miroir » de Baudelaire Puis Didier Laloux au piano et sa fidĂšle Zita, ignominieusement », et pour notre plus grand plaisir, interprĂštent Un jour tu verras » .repris pas la salle en chƓur.. AgnĂšs Raveloson nous emmĂšne dans son jardin intĂ©rieur » pour un regard vers le bonheur et la beautĂ©. Et Gladys Minot nous offre A de beaux yeux » de ThĂ©ophile Gautier. Alain Briantais nous rĂ©gale ensuite avec deux belles visions je t’ai vu » et rĂȘve plus haut » .extraits de son recueil Essaimer » et Valentine nous cite Mandela On ne peux maquiller le regard ». Place Ă  Alain Pizzera pour trois regards de douceur de son cru l’un sur le noir », le second sur le choc du rĂ©el qui s’échappe », et le troisiĂšme, un enfant ouvre les yeux » Christian Lafont nous rĂ©jouit en mĂ©langeant diffĂ©rents poĂšmes dans sa version de T’as d’beaux yeux tu sais », nous fait bien rire en avouant qu’une petite souris l’observe, et termine plus gravement dans l’angoisse d’un regard. Evelyne Gautheron nous fait dĂ©couvrir le texte d’une chanson moins connue de Brel ils nous font regarder ». Nous retrouvons ensuite avec joie Paul Eric qui nous livre le regard de l’artiste et du crĂ©ateur, car l’art rend fort ». Philippe nous rĂ©vĂšle un extrait de son album L’EuropĂ©enne » 
 ce visage qu’on n’oublie pas, ce regard qu’on ne croise pas
 », 
 pour la mĂ©moire
 ». Petite surprise du charmant italien Antonio, un de nos fans depuis notre prestation aux Vendanges de Montmartre dimanche dernier ; venu nous remercier, il nous dit 
Mais seulement si tu restes
 » dans un français impeccable. MariĂšva Sol nous livre un extrait inĂ©dit de son nouveau livre de nouvelles, l’histoire d’une rencontre improbable Le regard de Quasimodo sur Barbarella ». Josiane et Alain, nouveaux amis comĂ©diens, viennent pour la premiĂšre fois nous jouer un extrait de leur spectacle dĂ©diĂ© Ă  LĂ©o FerrĂ©, créé Ă  partir d’interviews du poĂšte. Josiane nous dit PĂ©pĂ© », le chimpanzĂ©. ValĂ©rie Bellet a regardĂ© dans sa tĂȘte », et mĂȘme si elle dit qu’elle n’a rien Ă  nous dire », finit par inviter Valentine sur scĂšne, et le duo se lance dans une improvisation superbe. Fous-rires dans la salle
 OguĂšne prend le relais en faisant boursicoter nos yeux sur les actionnaires », puis se livre aussi Ă  un joli duo de regards en improvisation avec MariĂšva, au-delĂ  des mots ». Valentine rĂ©torque avec Le jour de mes 16 ans » de Bernard Dimey , et Alain Pizzera finit en beautĂ© en nous narrant Une noix » de Charles Trenet
 Fabienne SCHMITT La Ruche des Arts MnĂ©mosyne Fabienne SCHMITT Additif Alain BRIANTAIS Photo de et par Fabienne SCHMITT Photos et mise en page Christian LAFONT chral PostĂ© le 16/10/2014 - Par La Ruche des Arts HervĂ© Gosse chr Sur le Feu de la Ruche RETOUR RÉCENT SUR LA SCENE OUVERTE "LES VIEUX" AU BAB-ILO -de Septembre 2014- Photo Un vieux couple de Joseph SIBIO MNEMOSYNE DE LA SCENE OUVERTE AU BAB’ILO DU 18 SEPTEMBRE 2014 SUR LE THEME LES VIEUX » Quoi de vieux ? Mais comment çà ? Quoi de vieux ? Mais, ce soir, tout est vieux. Ce soir, c’est place aux vieux ! Oh, vieillesse amie ! Si nous avons tant vĂ©cu, c’est que, ce soir, nous voulons te cĂ©lĂ©brer. Regarde ! Nous avons blanchi, nous nous sommes dĂ©garnis, flĂ©tris et nous voulons faire de vieux os, ce soir au Bab’ilo ». MichĂšle LASSIAZ annonce d’emblĂ©e avec humour que le neuf, c’est nul, que le neuf, c’est hors sujet. D’ailleurs, on ne chine que pour trouver de vieux objets. Les vieux objets sont les plus beaux, sont les plus rares. C’est d’abord dans les vieux pots, mĂȘme sourds, que l’on fait la meilleure soupe. C’est avec de vieux dĂ©bris que l’on crĂ©e des Ɠuvres d’art. Il faut trouver de vieux adages et de vieux souvenirs car ils sont les plus chers Ă  notre cƓur. Alors, il faut chiner. Il faut chiner pour trouver de vieux cons, de vieux frĂšres, de vieilles branches, et puis de vieilles amantes il n’y en a pas sur le Pont Neuf, peu fait pour les amours anciennes. Et si l’on rencontre de vieux singes qui font la grimace, il faut leur offrir un vin vieux ou de vieilles liqueurs, dans de vieilles fioles, comme aux vieux papes mais attention, pour le vin vieux, pas du ChĂąteau neuf du pape » ! . Les jeunes qui s’aiment sur le Pont Neuf n’ont pas de bouteille et, pour avoir de la valeur, ils attendent un grand nombre d’annĂ©es. Ils voudraient ĂȘtre aussi malins que les vieux singes, collectionneurs de vieilles pierres, de vieux bijoux et de vieilles habitudes. Fabienne SCHMITT connaĂźt un vieux beau, avec une vieille peau, le visage fanĂ©, qui offre des fleurs flĂ©tries Ă  des femmes qui n’ont plus vingt ans mais qui n’en ont pas encore cent. Elles ont une vieille dent contre lui mais ce n’est pas grave car elles peuvent encore mĂącher et remĂącher leurs journĂ©es passĂ©es avec lui. Le vieux beau a de vieilles manies et de vieilles amies qui adorent les vieilleries et c’est pour cela qu’elles l’ont trouvĂ© en allant chiner. Et pour terminer, Fabienne nous rĂ©gale du trĂšs beau texte de Georges MOUSTAKI, mis en valeur par Serge REGGIANI SARAH ». ANEFRANCE Ă©voque Louis ARAGON qui cĂ©lĂšbre les vieux jours, ceux oĂč le vieil homme se fait vieux pour que son regard s’aiguise et pour que sa canne blanche tĂąte beaucoup mieux le terrain, le terrain de la vie surtout. Les jambes usĂ©es, les jarrets fatiguĂ©s, il a heureusement l’Ɠil et l’odorat plus qu’affĂ»tĂ©s, ce voyageur de l’impĂ©riale », qui a traversĂ© maintes contrĂ©es et se sent partout comme chez lui. HervĂ© GOSSE maniant avec dextĂ©ritĂ© humour et insolite ne dĂ©roge pas Ă  son mode de fonctionnement en nous rĂ©galant d’un texte Ă  la conclusion surprenante, ce qui fut le cas. Surprise suivie d’applaudissements. *1 AgnĂšs RAVELESON de COLOMBES, s’ébaubit devant les vieux, les vieux colombiens d’abord, comme "Christophe", le grand navigateur, qui a su mener sa barque, sur ses vieux jours. La vieillesse, c’est l’idĂ©al, le sommet de la vie. On quitte le Vieux Continent pour aborder un nouveau monde. Au terme du voyage, c’est la dĂ©couverte de la vie et de ses trĂ©sors. C’est enfin le temps de mĂ©diter en se palpant les os du crĂąne, ou quelque tibia, ou une omoplate, Ă  chacun son choix. Louise EMILY nous confirme, qu’avec la vieillesse, on se rapproche beaucoup plus de ce qu’il y a en-dessous, en-dessous de la peau
 on dĂ©couvre le squelette. Le doigt peut palper le crĂąne et sentir que l’épiderme qui l’en sĂ©pare est mince comme une feuille de papier. DĂšs la retraite, on peut aussi commencer Ă  compter ses os, ce qu’on ne faisait jamais auparavant car on n’y pensait pas. Didier LALOUX et Alain BRIANTAIS parlent d’eux en parlant chiffons. Mais c’est de vieux chiffons dont ils parlent, de ceux qui ont tout essuyĂ©, tout nettoyĂ©, depuis des lustres et aussi des lampes. Ils ont tant frottĂ© depuis tant d’annĂ©es qu’ils se prennent pour des chiffons retraitĂ©s. L’idĂ©e ne les chiffonne pas. Ils ont essuyĂ© les pieds des meubles, les jambes des tables et les genoux des buffets. Pendant un temps, on les a rangĂ©s, on ne les a plus vus. C’est la femme de mĂ©nage qui les a mis en boule dans sa poche. Tout est propre sur scĂšne, pas de poussiĂšre dans la salle, personne n’éternue. Les deux chiffons ont frottĂ© les chaises, le piano, le micro, le comptoir du bar, tout au fond, derriĂšre les spectateurs. Les deux chiffons sont un peu trouĂ©s, dĂ©chirĂ©s mais ils se tiennent bien sur scĂšne et n’oublient pas leur texte bien qu’ils parlent de tout, de leur mĂ©nage, du nettoyage et de la propretĂ©. L’un d’eux rĂ©pĂšte son prĂ©nom de chiffon, c’est ROGER. Un chiffon doit avoir un prĂ©nopg" style="margin 0px; padding 0px; border 0px; font-style inherit; font-variant inherit; font-weight inherit; font-stretch inherit; font-size inherit; line-height inherit; font-family inherit; vertical-align baseline; width 207px; height 274px;" /> ZITA et DIDIER jouent les vieux amoureux transis qui ressassent de vieux souvenirs. Didier remue la cuiller pour qu’ils remontent Ă  la surface. Avec la vieillesse, la marmite est pleine, y a plus qu’à touiller. Zita fait la moue et n’apprĂ©cie pas forcĂ©ment tout ce qui remonte du fond de la jeunesse. Didier, en vieux beau Pan, joue de la flĂ»te et fait la roue. Il ensorcelle Zita ainsi que le public qui s’enflamme pour ses vieilles histoires et entonne de vieux refrains. YSIA MARIEVA nous Ă©meut avec de jolis textes trĂšs bien Ă©crits, ce qui est le cas de celui Ă©voquant bien le thĂšme de la soirĂ©e et qui est trĂšs apprĂ©ciĂ©. VALENTINE Ă©voque avec grand humour un texte de Bernard DIMEY. La vieillesse, cet Ăąge qui cumule les dizaines d’annĂ©es d’amour, les mille et une fois, les photos plein les malles si bien qu’on ne se souvient plus de tout çà. Alors Ă  quoi bon ? Valentine rĂ©sume la situation Les vieux, çà bouffe et çà ne rapporte pas. Les vieux, ils ne marchent pas, ils ne font rien et il faut les ramener en voiture. Il vaudrait mieux les faire bosser. » VoilĂ  une nouvelle rĂ©forme des retraites qui s’annonce. Nicole MOTTE, de passage Ă  Paris pour voir ses amies et de retour sur la scĂšne parisienne du BAB-ILO, Ă©voque une histoire Ăšmouvante d’un vieux laitier; ce qui rappelle Ă  -presque tous -de vieux souvenirs. Nous compatissons par nos applaudissements Christian LAFONT dĂ©clare tout d’abord qu’il est comme tout le monde, qu’il s’accroche. C’est pour rĂ©pondre aux imbĂ©ciles qui croient que quand la vieillesse approche, on dĂ©croche. Qu’est ce qu’on peut dĂ©crocher, d’ailleurs, quand on est vieux ? Les rideaux ? Le gros lot ? La timbale ? On ne dĂ©croche pas l’ampoule non plus quand elle est grillĂ©e et c’est le trou noir*2 oĂč les avions disparaissent. Les radars sont brouillĂ©s et sont sourds, aveugles, ils ont du mal Ă  marcher. Que s’est-il passĂ© ? Alain PIZERRA Ă©voque les vieux philosophes au sommet de leur sagesse, faisant Ă©cole, entourĂ©s de plus jeunes disciples suivant leur exemple SĂ©nĂšque, Socrate, DiogĂšne, vieux mais ĂŽ combien dĂ©tachĂ©s de toutes les contingences de l’existence. Il nous faut cultiver cette part de vieillesse, qui loin d’ĂȘtre sĂ©nilitĂ©, est synonyme d’intelligence, de clairvoyance. La vieillesse doit ĂȘtre traversĂ©e comme un nouveau chemin de dĂ©couverte. Elle doit ĂȘtre vĂ©cue comme un Ăąge oĂč l’intelligence, appuyĂ©e sur l’expĂ©rience, a trouvĂ© pleinement sa voie. May DUHAMEAUX parle des petits jeunes de 86 ans qui auraient pu avoir pour grand-mĂšre Jeanne Calment. Des calmants, on en a besoin pour oublier notre angoisse de vieillir et pour ne pas nous souvenir que la jeunesse a fui lĂąchement, sans rien dire, Ă  notre nez et Ă  notre barbe, notre barbe Ă  papa, parce qu’elle est blanche notre barbe et qu’on n’a pas pu enlever tout le sucre qui s’est collĂ© dessus. Les jeunes n’ont pas ce souci-lĂ  car ils avalent une crĂȘpe en trois bouchĂ©es, une crĂȘpe qui va directement dans leur gosier. Evelyne GAUTHERON, colombienne elle aussi - non pas de Colombie- mais de Colombes - nous entraine dans sa chanson “Les petits papiers”. Participation toujours enthousiaste de toute la salle. CHRYSTELLE chante la vieillesse, douce et sereine comme un lĂ©ger souffle de vent. C’est un regard tendre, attentionnĂ©, c’est un sourire parti du fond du cƓur, c’est un geste discret d’amour et de comprĂ©hension qui touche l’assistance. Bravo aux jeunes poĂštes qui nous rejoignent. Yves ALAIN et ses complices en poĂ©sie, MATHIEU et JERÔME, dĂ©clament des poĂšmes de Jean de Mirmont, fauchĂ© hĂ©las dans sa pleine jeunesse par la guerre, dĂšs 1914 au Chemin des Dames. Ce tout prĂ©coce Ă©crivain, ami de Mauriac, ne laissera en mĂ©moire que son tout jeune Ăąge et un immense talent de poĂšte. Tous Ă©coutent des vers pleins d’émotion et de sensibilitĂ© porteurs d’un destin tragique. Poutant, la soirĂ©e se termine joyeusement. Nous reviendrons porter un autre regard au BAB-ILO lors de la prochaine scĂšne ouverte de la Ruche. HervĂ© GOSSE *Ndlr *1 Pour cette partie de texte seulement, la rĂ©daction s'est substituĂ©e Ă  HervĂ©. *2 Christian Ă©voque le "trou noir" de l'espace engloutissant tout ce qui passe Ă  sa portĂ©e et bien sĂ»r les vieilles planĂštes. MnĂ©mosyne HervĂ© GOSSE Photos Noir et Blanc Joseph SIBIO vieux couple, vieille Cox, Vieux livres Photos BAB-ILO et mise en page Christian LAFONT chr Amises PoĂštes de la Ruche des Arts et de partout, Vous aurez Ă  coeur de ne pas manquer la SCENE OUVERTE DE LA RENTREE AU BAB-ILO le 24 Septembre 2014 de 19 Ă  21 h ThĂšme LES VIEUX -VIEILLES- Tout ce que vous voulez renards, bibelots, vĂ©los, greniers, Ă©lĂ©phants, pinces crocodiles, ordinateurs, livres, grimoires, musĂ©es, souvenirs, ratons-laveurs et mĂȘme voisins, amours etc etc... Laissez vagabonder votre imagination au CafĂ© BAB-ILO 9 rue du Baigneur, Paris 758018 mĂ©tros Jules Joffrin - Lamarck-Caulaincourt publiĂ© par la Ruche des Arts photo Christian Lafont /Benoit Gimenez chr La CrĂ©ation du nouveau monde de la Ruche des Arts au BAB-ILO *MichĂšle Lassiaz, notre prĂ©sidente ouvre brillamment la scĂšne ouverte et ayant rappelĂ© le dernier Atelier d'Ă©criture de la Ruche des Arts sur le thĂšme de la crĂ©ation, passe le relais Ă  *Christian Lafont qui Ă©voque le CrĂ©ateur, l’architecte Dieu, qui fait appel Ă  un cabinet d’architecture pour revoir ses constructions. Christian est d’avis que *DIEU a fait de la procrastination Ho lĂ  lĂ , j’ai eu besoin du dictionnaire et j’ai consultĂ© Wikipedia en rentrant chez moi. C’est çà, en fait, *Dieu ne pourra pas toujours remettre au lendemain son travail. Sa crĂ©ation n’est pas achevĂ©e, affirme Christian qui signale qu' »au nom de la paix on passe son temps Ă  se faire la guerre » ; il n’est pas dĂ©menti par la salle. A-t-il des plans dans ses poches ? C’est possible, mais c'est MichĂšle Lassiaz qui, enchaĂźnant, apporte sa rĂ©ponse d'un monde meilleur, dĂ©nonce avec lyrisme le bordel ambiant, un Chaos moderne, un dĂ©sordre universel. Elle revendique un monde nouveau oĂč les plus faibles seront pris en considĂ©ration, l’inverse d’aujourd’hui. Elle se lance dans des propos totalement innovants. Elle affirme que la parole sera d’abord donnĂ©e aux bĂšgues, aux asthmatiques. La chasse au cynisme, Ă  l’indiffĂ©rence, Ă  l’égoĂŻsme sera ouverte. Tout çà reste Ă  crĂ©er. Et puis, voilĂ , elle prĂ©voit de la poĂ©sie Ă  l’AssemblĂ©e Nationale elle ne parle pas du SĂ©nat ni du Conseil Constitutionnel, c’est trop tĂŽt pour eux. Elle cite Vaclav HAVEL, le PoĂšte PrĂ©sident ou PrĂ©sident PoĂšte qui met tous les textes de lois en vers et les fait rimer, surtout. Eh oui, toute la constitution tchĂšque est un immense poĂšme. Anefrance improvisant, nous offre ses rĂ©flexions sur la crĂ©ation oĂč alternent gouaille et mĂ©lancolie qui nous interpellent ; C'est au tour d'Evelyne Gautheron qui nous donne avec un extrait choisi, sa vision de la crĂ©ation apprĂ©ciĂ© Fabienne Schmitt affirme qu’on crĂ©e autant qu’on dĂ©truit. Et puis, on n’arrĂȘte pas de se crĂ©er des soucis, des ennuis, des ennemis. On a des crĂ©ances. Un peu de rĂ©crĂ©ation permettrait de souffler mais on n’en a pas beaucoup dans nos vies oĂč l’on ne sait plus bien ce qui est crĂ©ateur et ce qui est destructeur. AgnĂšs Raveloson Ă©voque toutes les crĂ©ations personnelles, celles de tous les artistes qui crĂ©ent le monde Ă  tous les instants et pallient ainsi aux dĂ©faillances du CrĂ©ateur, Dieu, un procrastinateur», ce que ne sont pas les poĂštes, les musiciens, les peintres et tous ceux qui se passionnent pour crĂ©er leurs Ɠuvres Cypora Herszorn nous rappelle que la crĂ©ation s'est assez mal passĂ©e pour nous nous avons Ă©tĂ© chassĂ©s du Paradis. Dieu a créé l’Enfer, pour nous faire regretter ce que nous avons perdu. Nous avons Ă©chappĂ© des mains du marionnettiste, Dieu. Les ficelles se sont cassĂ©es et il nous a laissĂ©s tomber. Nous n’avons plus jouĂ© au Paradis oĂč le CrĂ©ateur ne pouvait plus nous manipuler et nous mettre en spectacle. Mais, nous sommes devenus des crĂ©ateurs d’ici-bas. MĂȘme si au Paradis on n’est plus Ă  l’affiche, on s’en fiche, çà ne nous empĂȘche pas de lire nos textes et de chanter nos chansons. Lydie Quennesson s’est tournĂ©e vers le Petit Prince, ce petit JĂ©sus, fils du PĂšre Saint ExupĂ©ry, et elle nous annonce Ă  tous qu’il est nĂ©, au moment oĂč est apparu un arc en ciel. Le firmament s’étend comme une toile, couverte d’étoiles. Il n’y a pas assez de mots pour l’admirer, ce nouveau monde ; on crĂ©e de nouveaux mots pour Ă©viter de rĂ©pĂ©ter les anciens. Le petit Prince nous fait dĂ©couvrir les beautĂ©s de la terre des hommes. OguĂšne enchaĂźne avec un poĂšme extrait de son livre et nous Ă©meut, tant par la qualitĂ© de son texte que par le chant,presque surnaturel, qui ponctuait au dĂ©but et Ă  la fin, sa prestation Thierry DelaroyĂšre enchaine plusieurs chansons, pleines de charme et de saveur, et, s'accompagnant Ă  la guitare, il Ă©graine des notes de joie, de bonheur, et tous les BAB-ILONIENS » entonnent ses refrains. Il Ă©voque la chute du Mur de BERLIN et il nous convainc que ce n’est plus la peine de se faire de la peine. Il nous fait bien peser la fugacitĂ© des choses et nous prĂ©vient que c’est dĂ©jĂ  demain parce que le temps qui passe est un rapace; une carte blanche » lui sera prochainement consacrĂ©e. Emile Gayoso avec un nimbe Bab'ilonien » ndlr voir photoa pesĂ© le cƓur humain rĂ©sultat 300 grammes en moyenne, et pas plus. Ah ! C’est peu ! Tout le monde s’en Ă©tonne. Certains ont presque un cri d’effroi. Puis, il a mis aussi le cerveau sur la balance un kilo et cinq cents grammes. Ne faites pas Oh ! Il faut bien çà car le cerveau travaille beaucoup. Le cƓur travaille aussi, infatigablement, avec des centaines de milliers de pulsations
Qui travaille le plus pour la poĂ©sie? C’est le cƓur du problĂšme. Qui, du cƓur ou du cerveau nous aide Ă  passer du scientifique au poĂ©tique ? Les raisonnements d’Emile nous transportent dans un univers surrĂ©aliste particuliĂšrement saisissant. Tant de talent et de rĂ©flexions mĂ©ritent une carte blanche;celle ci unira Bernard Dimey et Robert Desnos Daniel Geffroy nous interprĂšte un magnifique poĂšme de sa crĂ©ation sur la crĂ©ation peut-ĂȘtre prochainement publiĂ© et trĂšs applaudi DIDIER et ZITA Ă©voquent Nino FERRER, ce grand crĂ©ateur de chansons. Ecoutons bien le telefon qui son, et Mirza, et mangeons des cornichons, mais Nino ferrer ayant de multiples talents dont certains peu connus, DIDIER et ZITA nous font ainsi revivre selon ses textes des scĂšnes de la CrĂ©ation, la vraie, comme un film grand spectacle, tombant dans le burlesque. Ils jouent aux serpents qui sifflent, alors que la pomme grossit, rougit et se balance sur l’Arbre du Paradis. Ils sont dĂ©sopilants dans ces scĂšnes de la Tentation. Alain Briantais nous montre comment il rĂ©ussit Ă  crĂ©er le texte qu’il nous prĂ©sente en se pliant aux contraintes d’un exercice, qui l’a obligĂ© Ă  ne pas employer certaines lettres et certaines syllabes. C’était, dit-il, un exercice demandĂ© lors du dernier atelier d’écriture faire beaucoup avec peu crise Ă©conomique oblige. Il a souffert, il s’est tordu l’esprit il aurait pu se faire mal, a mis bout Ă  bout ses petits mots dispersĂ©s, rescapĂ©s, sur ses papiers, est parvenu Ă  les remettre debout et Ă  nous les faire apprĂ©cier. Catie Canta nous enchante sur des airs lĂ©gers comme des crĂ©ations en dentelle. Elle nous parle aussi de crĂ©ations Ă  l’aquarelle, ou de celles qui relĂšvent de l’art de la pĂątisserie. Ce sont des crĂ©ations faites avec des doigts de fĂ©es. La pĂąte est lĂ©gĂšre, c’est une merveille ! ValĂ©rie Bellet dĂ©rogeant Ă  son mode opĂ©ratoire interpellant, reste sagement assise Ă  sa place d'oĂč elle Ă©voque plusieurs animaux de la CrĂ©ation, en passant du mouton au perroquet, du coq Ă  l’ñne. Dehors, il pleut, c’est un dĂ©luge, mais nos animaux sont lĂ , sont bien lĂ , Ă  l’abri et protĂ©gĂ©s. Maryse Licette de retour sur scĂšne nous suggĂšre une mĂ©thode personnelle de concevoir la crĂ©ation que nous apprĂ©cions. Annie Pouilhes toujours en verve et trĂšs expressive, nous conte une belle histoire Ă  multiples rebondissements, qui se termine bien ; Nous sommes soulagĂ©s et applaudissons. HervĂ© Gosse veut que l’esprit crĂ©atif sorte de chez lui et quitte ses habitudes, aille vers l’extĂ©rieur, vers tous les ĂȘtres et les choses qu’il ne connaĂźt pas assez. Toujours brave notre HervĂ©... ndlr Notre association est toujours porteuse des valeurs de respect, et poursuit le chemin dĂ©fini dans ces statuts mettre la main Ă  ses rĂȘves, ouvrir la porte de l’expression et l’épanouissement de soi. Article HervĂ© Gosse mise en page et photos Christian Lafont pour la Ruche des Arts AUjourd'hui 21 Mai 2014, Ă  partir de 19 heures au Bab Ilo, vous serez les crĂ©ateurs de votre soirĂ©e lors de la ScĂšne Ouverte de la Ruche des Arts oĂč vous pourrez poĂ©tiser, romancer, prosodier, conter, proĂ©tiser librement, sans procrastiner et en crĂ©ationnant joyeusement sur le thĂšme LA CREATION CafĂ© BAB ILO 9, rue du Baigneur, Paris 18Ăšme mĂ©tro Jules Joffrin - Lamarck -Caulaincourt MnĂ©mosyne ou La mĂ©moire du Cercle ScĂšne ouverte poĂ©tique du 12 fĂ©vrier 2014 ThĂšme Terre et espace MnĂ©mosyne de Serge Carbonnel Photos de Christian Lafont Valentine Ducray La soirĂ©e commence par la prĂ©sidente qui nous dit un texte trĂšs Terre Ă  terre » et termine en laissant l’Espace scĂ©nique et le Temps aux autres ». Bernard Philippon nous dit un texte qui parle de l’espace de l’écriture dans un quatrain classique. Daniel Geoffroy nous clame Sur les chemins du ciel » comme un paradis perdu retrouvĂ© au dernier voyage. OguĂšne nous amĂšne dans la nuit qui nous enveloppe » dans un parfum d’espace Ă  rĂȘver. Pascal, nouveau venu parmi nous, nous lit son ode Ă  l’évolution de la Terre. Ysia Plume d’encre nous donne son sonnet de trĂ©sors planĂ©taires. May Duhameaux accompagnĂ©e au piano par Olivia Colboc nous gratifie d’un slam aux assonances en an » oĂč elle Ă©voque le temps, la terre, la matiĂšre. Olivia Colboc nous offre une de ses compositions pianistiques qui Ă©merveille. Alain Briantais Ă©voque la terre nourriciĂšre GaĂŻa abimĂ©e par les hommes. Bernard Philippon, dans un sonnet magnifique, nous appelle Ă  Toujours plus pour les rĂȘves ». Pour Christian Lafont, autour de l’ñtre » l’espace est un amphithéùtre ». Benoit Gimenez nous rappelle que, sur Terre, il y a nature, village, cyprĂšs et enfants. Colette Sauvanet nous emporte dans un Berceau de joie » et un envol de mouette qui glisse dans une nĂ©buleuse floue » Christian Lafont en verve nous parle avec son humour irremplaçable du soleil qui a rendez vous avec la lune au festival de Cannes. Valentine Ducray, notre grande diseuse de Bernard Dimey, nous raconte sans tristesse l’histoire triste d’une fille dont c’est la premiĂšre fois et pour qui cela finira mal. Daniel Geoffroy chante La complainte de la butte ». Plus tard il nous contera deux histoires corses. Valentine Ducray nous joue un sketch sur Chausson » de toujours Bernard Dimay. GisĂšle Ory avec sa belle voix grave et timbrĂ©e nous chante le Je ne regrette rien » connu de tous. Olivia Colboc revient nous slamer un texte trĂšs Ă©mouvant qui parle de celui qui Ă©choue sous une tente, ayant perdu son emploi et qui attend la mort. OguĂšne nous dit un texte court et efficace sur arbre de terre, arbre de rĂȘve ». Valentine Ducray en pleine forme ce soir revient pour la troisĂšme fois. Louise Emily nous offre comme toujours un texte tout en douceur. Ysia Plume d’encre, le cerveau en jachĂšre, part sous d’autres cieux. OguĂšne dans un quatrain nous dit que la Terre saigne , la Terre souffre ». Serge Carbonnel nous lit un texte de son dernier recueil Le silence infini des Ă©toiles m’enchante ». Benoit Gimenez nous rappelle ce qu’est Un pays ». Christian Lafont revient pour donner un de ses textes de l’atelier d’écriture. Isabeau de Paname dit le texte d’une de ses chansons La baleine ». Emile Gayoso nous fait cadeau de son texte-conte oĂč l’homme est le porteur d’un dĂ©sir de conquĂȘte de l’espace. Et Serge Carbonnel nous lit des extraits d’un recueil en prĂ©paration oĂč il explore l’espace, du big-bang Ă  la crĂ©ation des Ă©toiles, de la terre, de l’homme et de l’amour que celui-ci porte en lui. Il est accompagnĂ© par Olivia Colboc au piano dans un duo qu’ils improvisent tous les deux. Une soirĂ©e dense, riche et chaleureuse qui laisse place Ă  la carte blanche d’Anefrance. A la prochaine
 MnĂ©mosyne de Serge CARBONNEL Ysia Plume d'Encre Prochaine ScĂšne Ouverte PoĂ©tique “Surprises et inattendus" Mercredi 09 avril dĂšs 19h au CafĂ© Bab’Ilo 9 rue du Baigneur Paris 18Ăšme MĂ©tro Jules Joffrin ou Lamarck-Caulaincourt MnĂ©mosyne ou La mĂ©moire du Cercle ScĂšne ouverte poĂ©tique du 15 Janvier 2014 ThĂšme la solitude MnĂ©mosyne de Serge Carbonnel Photos de Fabienne SCHMITT nous la fait cĂŽtoyer dans les bars et sur les trottoirs. Alain PIZERRA nous demande d’ Osez la solitude » pour ĂȘtre diffĂ©rent, pour changer notre quotidien et nous offre un texte splendide de Oscar Venceslas de Lubicz Milosh. Cypora HERSZHORN nous dispense l’arĂŽme merveilleux de ses vers de cristal, comme Ă  son habitude. May DUHAMEAUX nous dĂ©clame la solitude Ă  travers un de ses textes Ă  la beautĂ© d’un romantisme pur, mĂ©lange de Lamartine et de Nerval. Louise EMILY chante La Solitude » de Barbara, Evelyne GAUTHERON celle de Moustaki. Nous dĂ©compressons en chantant tous La bohĂšme », accompagnĂ©s toujours par Pierre. Serge CARBONNEL nous dit sa solitude de ne pas voir les mots se muter en rĂ©alitĂ© tangible comme le pain. Bernard PHILIPPON nous dit un texte qu’il a Ă©crit lors de son atelier d’écriture. Christian LAFONT nous parle de la solitude de Mozart, le chat de la prĂ©sidente qu’elle laisse seul pour aller en province oh ! la mĂ©chante !. Lydie QUENNESSON regarde la solitude comme un portrait dans le miroir. Annick nous offre un texte en prose Ă  la belle rythmique. Alain BRIANTAIS se veut plein d’espoir dans un texte noir qui parle de guerre et d’égarement. HervĂ© GOSSE nous conte l’histoire du patron. Emile GAYOSO nous clame ses solitudes » arrachĂ©es Ă  l’exaltation urbaine et nous demande de partir cueillir l’edelweiss de la solitude. Catie CANTA chante, avec une nouvelle venue, Olivia COLBOC, au piano. Le public, emmerveillĂ© par le talent de celle-ci, lui demande de bisser. Sa deuxiĂšme composition nous Ă©blouit
 C’est magnifique. Et comme nous sommes en dĂ©but d’annĂ©e, Bernard, conclut par un texte oĂč il souhaite ses meilleurs vƓux, Ă  sa maniĂšre, Ă  la Solitude. Une soirĂ©e dense, riche et chaleureuse qui a tuĂ© en ce temps les solitudes personnelles. A la prochaine
 MnĂ©mosyne de Serge CARBONNEL Prochaine ScĂšne Ouverte PoĂ©tique “Terre et espace" Mercredi 12 fĂ©vrier dĂšs 19h au CafĂ© Bab’Ilo 9 rue du Baigneur Paris 18Ăšme MĂ©tro Jules Joffrin ou Lamarck-Caulaincourt sebedialch MnĂ©mosyme La mĂ©moire du Cercle ScĂšne ouverte poĂ©tique de dĂ©cembre 2013 dont le ThĂšme Ă©tait "Le quotidien" Nom d’une ruche sans miel ! OĂč ai-je donc mis mes notes de la derniĂšre scĂšne ouverte ? Dans cette montagne de papiers et de paperasses qui s’élĂšve dans un coin de mon bureau, Elles doivent bien y ĂȘtre ! Je m’équipe, donc, de pieux, cordes, casque, lampe frontale et me jette dans le trop plein administratif ! VoilĂ  ce que c’est quand on remet Ă  demain ce que l’on peut faire le jour mĂȘme. En apnĂ©e, je dĂ©couvre une amende pour stationnement, sans paiement Ă  l’horodateur, contractĂ©e en 1998
 Je suffoque Ă  la pensĂ©e du crĂ©dit que je vais devoir contracter pour payer les arriĂ©rĂ©s. Oh ! Un Post-it pour me rappeler de rĂ©gler ma cotisation Ă  La Ruche des Arts
 Je suffoque en imaginant MichĂšle Lassiaz et sa vive rĂ©action Ă  la prochaine scĂšne ouverte
 Oh ! Des bouts de poĂšmes que je trouvais plutĂŽt pas mal foutus et qui, aprĂšs seconde lecture, ne le sont vraiment pas
 Mais de notes
point. J’ai certainement dĂ» les mettre ailleurs
 Mais oĂč? Me voilĂ  dans une position inconfortable. Je dois Ă©crire le MnĂ©mosyne de notre derniĂšre scĂšne ouverte et je n’ai point de notes. Que faire ? Utiliser ma mĂ©moire, mes souvenirs de cette soirĂ©e ? Mais ma capacitĂ© mĂ©morielle est similaire Ă  celle du poisson rouge. Et comme mon outillage encĂ©phalique est mĂ©diocre, je ne pourrais guĂšre dĂ©tailler le passage de chaque poĂšte, chaque chanteur ou artiste sur notre scĂšne. Alors comment ? Par le biais de l’émotion. Oui, c’est çà. Par le biais de mes Ă©motions. Et elles furent nombreuses durant cette soirĂ©e-lĂ . J’ai ri lorsque MichĂšle Lassiaz a introduit notre soirĂ©e, habillĂ©e en concierge et en Ă©poussetant le crĂąne de chacun des convives. J’ai jubilĂ© qu’il n’y ait pas assez de chaises dans notre cave pour accueillir tous nos amis. En effet, la carte blanche d’Alain Pizerra et d’Emmanuel Rey qui a eu lieu aprĂšs notre scĂšne, fĂ»t un vecteur d’un public plus nombreux qu’à l’accoutumĂ©e. J’ai Ă©tĂ© en joie pour toutes ses chansons qui furent chantĂ©es sur scĂšnes et fredonnĂ©es dans la salle. Et tous ces passages de tous nos amis fidĂšles Fabienne, Serge, Annie, Cypora, Lydie, Christian, Ysia, Isabelle, MariĂšva, OguĂšne, Emile, Caty, Alain, Ane-France, StĂ©phane et tous les autres que ma mĂ©moire de poisson rouge, et je m’en excuse auprĂšs d’eux, ne me permet pas de nommer ici
 Oui, trĂšs chers poĂštes de notre Ruche des Arts bien aimĂ©e, vos mots, vos univers, vos harmoniques nous permettent de voyager dans la beautĂ© bleue des belles Ăąmes. Nous sommes transportĂ©s Ă  chaque instant dans les Ă©motions pures, la dĂ©licatesse du partage, le rĂȘve Ă©veillé  Merci Ă  tous, amis, pour toutes ces scĂšnes oĂč j’aime vivre et vibrer auprĂšs de vous et de votre inspiration. Mais il y eĂ»t toutefois un merveilleux moment qui est ancrĂ© dans mon outillage encĂ©phalique. Il y eut les passages totalement improvisĂ©s entre ValĂ©rie Bellet et Valentine Ducray. Ce fut comme un journal intime ouvert, libĂ©rant la parole d’une existence difficile. Et les rĂ©ponses de l’une nous mouillaient d’émotions. Et les vibrations de l’autre nous trempaient de tendresse. Et c’était beau. Et puis il y eut mon passage. Oui, mes amis poĂštes, j’avais choisi ce soir-lĂ  l’un de mes textes anciens qui rĂ©sonne de trop d’actualitĂ© personnelle. Et je souhaitais libĂ©rer ce trop plein de pas bien, de pas heureux. Je l’ai fais sur notre scĂšne parce que vous ĂȘtes mes amis. Et cela m’a fait du bien. Et j’en suis heureux. Alors merci les aminches. Ne m’en veuillez pas trop d’avoir perdu mes notes. Je ferais mieux le mois prochain
. Presqu'MnĂ©mosyne Ă©crit par Benoit Dumont Gimenez Prochaine ScĂšne Ouverte PoĂ©tique “La solitude" Mercredi 15 janvier dĂšs 19h au CafĂ© Bab’Ilo 9 rue du Baigneur Paris 18Ăšme MĂ©tro Jules Joffrin ou Lamarck-Caulaincourt bech ​ La mĂ©moire du Cercle ScĂšne ouverte poĂ©tique de novembre 2013 ThĂšme Les mains Alors que les noires et les blanches du piano se laissent sĂ©duire par les mains d’Emmanuel Rey, MichĂšle Lassiaz remercie les artistes et adhĂ©rents qui ont participĂ© Ă  notre remarquable deuxiĂšme Chaud » de la Ruche, au Petit Ney. De ma place habituelle je me saisis d’une feuille blanche et d’un crayon afin de noter ce qui servira Ă  rĂ©diger ce mnĂ©mosyne. Bienheureux d’ĂȘtre une nouvelle fois entourĂ© de mes amis, je prends une gorgĂ©e de ma mousse prĂ©fĂ©rĂ©e pendant que l’assistance chante Les mains ». Ils font mieux que le grand Gilbert tant le plaisir est au rendez-vous. Les mains, d’abord inspirĂ©es et ayant tenu la plume, jouent maintenant avec l’espace scĂ©nique et s’emportent lorsque les Ă©motions viennent Ă  fleur de peau. Ainsi, nous livrant son poĂšme, Louise Emily a les mains tremblantes de fĂ©brilitĂ©. Pour en extraire la richesse, OguĂšne accroche les siennes Ă  son texte. Maryse Licette, comme ceux du pianiste qu’elle loue en rimes sublimes, a revĂȘtu ses doigts de fĂ©e. Afin de vanter celles de son grand-pĂšre et ne sachant quoi faire des siennes, Benoit Dumont-Gimenez les posent sur sa tĂȘte. May Duhaumeaux les Ă©carte pour mieux ressentir leur essence divine. Evelyne Gautheron souhaite que tout le monde chante avec elle Laisse tes mains sur mes hanches ». Certes, les couplets sont un brin mĂ©connus mais le refrain soulĂšve la joie de tous. Reza A. Naderi s’empare d’Arthur Rimbaud et de son poĂšme Les mains de Jeanne Marie », pĂ©troleuse de “la Commune”. Il nous amuse avec l’analyse de quatre vers du poĂšte, rĂ©alisĂ©e par un professeur Ă©mĂ©rite et rhĂ©toricien. L’explication est incomprĂ©hensible, hautement ridicule. Reza, merle moqueur, a bien choisi cette dissertation fumeuse, gavĂ©e de mots savants. EmbarbouillĂ© par tout ce prĂ©chi-prĂ©cha le public est hilare. Emmanuel Rey s’empare du piano. La seule vĂ©locitĂ© de ses doigts nous dĂ©voile une fort belle histoire. Le temps s’arrĂȘte... Nous sommes envahis par une brise d’extase... Puis c’est le silence... Puis des bravos de toutes parts. Alain Pizerra nous livre un poĂšme sur les femmes-sculpteurs, puis deux courts poĂšmes Ă©crits sur des feuilles d’automne qui ne se sont pas envolĂ©es. J’ai hĂąte d’assister Ă  leur duo au cours de la Carte blanche » du mois prochain. Et les mains de nos poĂštes continuent de s’animer... Cypora Herzshorn, qui n’a pas dormi de la nuit, nous parle des mains de son amour. Emile Gayoso, qui a rĂ©digĂ© son poĂšme du fond de la salle durant la premiĂšre heure, nous amuse avec une Ă©tude sur le rapport aux mains. Tout est limpide, profond, et formidablement poĂ©tique. Anefrance ne peut s’empĂȘcher d’exalter Si tous les gars du monde pouvaient se donner la main » de Paul Fort. Oui, Anefrance, ce poĂšme pour enfants se devait d’ĂȘtre acclamĂ© ! Lydie, la rage au cƓur, dĂ©peint la main que tend le clochard qui fait l’aumĂŽne; sa sincĂ©ritĂ© et la justesse de son rĂ©cit nous bouleversent. Didier Laloux au piano et Zita au micro offrent un ingĂ©nieux requiem, combinant la chanson Les vieux pianos » de Claude LeveillĂ© et un poĂšme de Jean Roger Caussimon. Comme chaque fois, nous pĂ©nĂ©trons dans leur univers, sensible, populaire et si juste
 Comme chaque mois, nous sommes ravis. Caty Canta nous donne, a capella, une chanson inattendue, de celles qui glissent dans une douce jovialitĂ©. Ce mois-ci, c’est une comptine de la ville de La Rochelle Madelon Madeline »  et, comme toujours, tout le monde tape des mains. C’est aussi l’anniversaire de VĂ©nus Prin’s; comme tous les mois elle est des nĂŽtres. Reza lance un Joyeux anniversaire » que tous entonnent avec entrain. VĂ©nus est confuse, ravie, heureuse. Elle aura droit aussi Ă  son horoscope iranien, concoctĂ© par un Reza particuliĂšrement attentionnĂ©. Et puis il y a les mains des Ă©lĂšves de MariĂšva Sol Ă©lĂšves du prĂ©cĂ©dent atelier d’écriture. Serge Carbonnel et La main destin », poĂšme incroyable dont il a entrepris la rĂ©daction le soir-mĂȘme. Ysia MariĂšva a vu la main du destin et elle nous en parle avec des mots dĂ©licats. Vient la maĂźtresse de l’atelier qui, elle, ne fait pas dans la demie-mesure puisqu’elle Ă©trangle Ă  mains nues, tout Ă  la fin de son texte, le personnage de sa trame. Enfin HervĂ© Gosse, par des jeux de mots drĂŽlissimes, nous plonge dans une enquĂȘte policiĂšre abracadabrantesque. Et puis c’est le drame
 Alain Pizerra nous dira, aprĂšs la tempĂȘte, que ce genre de dĂ©boire arrive plus souvent qu’à son tour lors de scĂšnes ouvertes. Sans doute, loin du tartre qui imprĂšgne certaines autres scĂšnes parisiennes, nos rencontres, un brin bouillonnantes et dĂ©bridĂ©es, mettent parfois l’épiderme Ă  rude Ă©preuve. Oui ! Et je l’écris, car il serait incorrect d’éluder dans ce mnĂ©mosyme, lu majoritairement par ceux qui Ă©taient lĂ , qu’il y a eu de l’agitation et que des noms d’oiseaux ont volĂ© entre deux de nos artistes. Certains, dont je fais partie, ont quittĂ© la cave, par bravade et par amitiĂ©. Tout en haut, prĂšs du comptoir de Syfal, j’ai Ă©coutĂ© la fin de l’altercation puis la reprise du cours de notre soirĂ©e. Emmanuel Rey est retournĂ© au piano et, d’en haut, c’était beau. J’ai entendu de nouveaux tonnerres d’applaudissements et j’ai regrettĂ© amĂšrement de n’avoir Ă©coutĂ© les derniers participants depuis ma place habituelle. Notre scĂšne ouverte ressemble Ă  la vie, Ă  la famille on s’aime, on se taquine, on se chamaille parfois
 Vous savez quoi ! Oui, j’ai pris le parti de l’un et, une heure aprĂšs, je trinquais avec l’autre... pour que la tension s’apaise
 et que “c’est pas grave tout ça” comme dirait ma fille qui, ma foi, s’essaie dĂ©jĂ  Ă  la philosophie... AprĂšs tout ça
 Plus que jamais
 Vivement le mois prochain !!! MnĂ©mosyne de Benoit Gimenez Prochaine ScĂšne Ouverte PoĂ©tique thĂšme “Le quotidien" Mercredi 18 dĂ©cembre dĂšs 19h au CafĂ© Bab’Ilo 9 rue du Baigneur Paris 18Ăšme MĂ©tro Jules Joffrin ou Lamarck-Caulaincourt La mĂ©moire du Cercle ScĂšne ouverte poĂ©tique d'octobre 2013 ThĂšme l'absence Comme un pied de nez au thĂšme de la soirĂ©e, MichĂšle Lassiaz, notre prĂ©sidente, accaparĂ©e par des problĂ©matiques de peinture dans le couloir et de crĂ©pis en façade, est absente
 Elle laisse place Ă  Alain Briantais et Didier laloux pour le prĂ©ambule de la soirĂ©e. Nos deux amis dansent, telles des souris en l’absence du chat, dĂ©clinant avec humour diverses formes de l’absence. Alain tiendra ensuite et pour une bonne partie de la soirĂ©e le rĂŽle de monsieur loyal, guidant, par un fil rouge, les artistes
LamédiathÚque municipale de Bagnolet propose en octobre 2009 une sélection de livres, films et sites internet surr le thÚme du bestiaire. Washoe : le singe qui parle avec les mains réalisé par Philippe Calderon, 1994 156. 2 CAL Washoe, chimpanzé ùgée aujourd hui de 30 ans, a été recueillie en 1965 par un couple de psychologues
Cet article concerne le PokĂ©mon dĂ©signĂ© comme PokĂ©mon Ninja » par le PokĂ©dex. Pour les autres mentions du mot "Ninja" rendez-vous sur la page Ninja. ◄ CroĂąporal Amphinobi Sapereau â–ș 657 658 659 № 658AmphinobiArtwork d'Amphinobi pour PokĂ©mon X et Y et de sa Forme Sacha pour PokĂ©mon Soleil et japonaisă‚Čăƒƒă‚łă‚Šă‚ŹïŒˆGekkƍga GekkougaNom anglaisGreninjaNumĂ©ros de PokĂ©dex rĂ©gionauxKalosCentre009Autres numĂ©rotationsGoogle MapsPokĂ©mon ChallengeShufflePicrossPicross134177N03-05N03-06*PicrossAlternatifPicrossAlternatifA03-05A03-06*Types - CatĂ©goriePokĂ©mon NinjaTaille1,5 m, soit 4 pieds 11 poucesPoids40,0 kg, soit 88,2 livresTalents1. Torrent2. ProtĂ©en talent cachĂ©3. Synergie talent cachĂ©Groupe d'ƒufAquatique 1Éclosion19 cycles – 5 120 pasPoints effort+3 VitessePoints au niveau 1001 059 860 % femelle ; % mĂąleCouleur BleuTaux de capture45Apparencedu corpsCri Amphinobi anglais Greninja ; japonais ă‚Čッコォガ Gekkouga[1] est un PokĂ©mon de type Eau et TĂ©nĂšbres apparu dans la sixiĂšme gĂ©nĂ©ration. Il a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© dans le magazine CoroCoro Comics de novembre 2013, en mĂȘme temps que MĂ©ga-Tyranocif, MĂ©ga-Galeking, MĂ©ga-Ectoplasma, BlindĂ©pique et Goupelin. À propos du PokĂ©mon[modifier] Physionomie et attitudes[modifier] Amphinobi est un PokĂ©mon bipĂšde qui ressemble Ă  une grenouille. Son corps est principalement bleu foncĂ© avec un buste et la partie infĂ©rieure de son visage jaunes, un marquage triangulaire blanc au-dessus de chaque Ɠil, une Ă©toile Ă  quatre branches bleue sur chaque hanche. Il a des yeux rouges. Sa bouche est cachĂ©e derriĂšre une longue langue rose qui s'enroule autour de son cou et s'Ă©tend Ă  l'arriĂšre de sa tĂȘte. Une excroissance pousse au milieu du haut de sa tĂȘte, avec une nageoire similaire sur chaque cĂŽtĂ© de la tĂȘte. Des palmures bleu clair connectent ces nageoires. Il a une grosse verrue blanche qui ressemble Ă  une bulle sur ses coudes et ses genoux. Ses pattes antĂ©rieures ont trois doigts tandis que ses pattes postĂ©rieures n'en ont que deux. Chaque doigt a une extrĂ©mitĂ© bulbeuse et des palmures jaunes. Amphinobi est inspirĂ© d'un batracien, et est probablement basĂ©, de par les excroissances pointues de ses yeux, sur des amphibiens cornus comme les Megophrys ou les Ceratophrys, tandis que la forme de son corps rappelle la Cruziohyla calcarifer. Les verrues en forme de bulles sur son corps sont inspirĂ©es des glandes parotoĂŻdes des crapauds et du mythe selon lequel toucher un crapaud donnerait des verrues, bien qu'elles soient Ă©galement un rappel des Ă©charpes de mousse de Grenousse et CroĂąporal. Comme son nom l'indique dans toutes les langues, Amphinobi est Ă©galement inspirĂ© d'un ninja. L'association entre un batracien et un ninja vient d'un conte japonais intitulĂ© La LĂ©gende du Galant Jiraiya, dans lequel le ninja Ă©ponyme a le pouvoir de se mĂ©tamorphoser en crapaud. De plus, si on le considĂšre avec les autres PokĂ©mon de dĂ©part de sa gĂ©nĂ©ration, il semble s'inspirer de la classe de personnage du voleur, de par son type TĂ©nĂšbres, son apparence agile et son style de combat, se reposant plus sur la vitesse et la ruse plutĂŽt que sur des attaques puissantes. L'apparence de Sachanobi est inspirĂ©e de celle de Sacha Ketchum dans PokĂ©mon, la sĂ©rie XY. Amphinobi se dĂ©place avec la vitesse et la grĂące d'un ninja. Il utilise des mouvements agiles pour rendre ses ennemis confus pendant qu'il les attaque avec des shurikens composĂ©s d'eau comprimĂ©e, assez aiguisĂ©s pour dĂ©couper du mĂ©tal. Avant PokĂ©mon Rubis OmĂ©ga et Saphir Alpha et PokĂ©mon Soleil et Lune respectivement, ses attaques signature Ă©taient Sheauriken et Tatamigaeshi. DiffĂ©rences mĂąle/femelle[modifier] Il n'y a aucune diffĂ©rence entre les individus mĂąles et femelles de cette espĂšce. Chromatique[modifier] Lorsqu'il est chromatique, Amphinobi est de couleur noire, sa langue est rouge et ses Ă©toiles sont plus claires. Évolution[modifier] Amphinobi est l'Ă©volution de CroĂąporal au niveau 36, qui lui-mĂȘme est l'Ă©volution de Grenousse au niveau 16. Famille d'Ă©volution de Grenousse Grenousse Niveau 16 â–Œ CroĂąporal Niveau 36 â–Œ Amphinobi Formes[modifier] Dans PokĂ©mon Soleil et Lune et PokĂ©mon Ultra-Soleil et Ultra-Lune, Amphinobi est capable de prendre la Forme Sacha, Ă©galement connue sous le nom de Sachanobi. Cette forme est le rĂ©sultat du phĂ©nomĂšne de Synergie, un Ă©vĂ©nement miraculeux qui produit non seulement un changement de forme chez Amphinobi, mais qui lui procure Ă©galement de nouveaux pouvoirs. Cet exploit dĂ©pend de la force du lien qui unit un PokĂ©mon Ă  son Dresseur. On raconte qu'il s'est dĂ©jĂ  manifestĂ© il y a plusieurs centaines d'annĂ©es de cela. La puissance des pattes de Sachanobi est dĂ©cuplĂ©e et lui permet de se dĂ©placer Ă  une vitesse vertigineuse, Ă  tel point qu'il est difficile de suivre ses mouvements du regard. GrĂące Ă  cela, il devient alors capable d'Ă©liminer ses adversaires en une fraction de seconde ! Il peut lancer en rafale sur ses ennemis de grands Sheaurikens qui apparaissent dans son dos.[2] L'Amphinobi Ă©vĂ©nementiel de PokĂ©mon Soleil et Lune, capable de prendre la forme Sachanobi, ne peut pas se reproduire. Forme Sacha / Sachanobi Talents[modifier] Torrent augmente la puissance des capacitĂ©s de type Eau du PokĂ©mon quand ses PV sont infĂ©rieurs Ă  1/3 ; ProtĂ©en talent cachĂ© le PokĂ©mon prend le type de la capacitĂ© qu'il utilise. L'Amphinobi offert dans la dĂ©mo spĂ©ciale de PokĂ©mon Soleil et Lune possĂšde un nouveau talent cachĂ© Synergie talent cachĂ© en battant un ennemi, ce PokĂ©mon renforce ses liens avec son Dresseur. Il prend alors sa Forme Sacha et ses Sheauriken gagnent en puissance. Étymologies[modifier] Français Amphinobi vient d'amphibien et de shinobi terme japonais synonyme de ninja. Anglais Greninja vient de grenouille et de ninja. Allemand Quajutsu vient de Quak quak coĂą coĂą et de Ninjutsu. Japonais ă‚Čッコォガ Gekkouga vient de æœˆć…‰ gekkƍ clair de lune, motif souvent utilisĂ© par les ninjas et de ç”Čèł€æ” Kƍga-ryĆ«, une ancienne Ă©cole de ninjutsu. Descriptions du PokĂ©dex[modifier] PokĂ©mon Soleil et Lune En l'absence de PokĂ©dex National, ce PokĂ©mon n'a pas de description dans ces jeux. PokĂ©mon Ultra-Soleil et Ultra-Lune En l'absence de PokĂ©dex National, ce PokĂ©mon n'a pas de description dans ces jeux. Localisations[modifier] SeptiĂšme gĂ©nĂ©ration[modifier] VersionsLocalisationsDĂ©tailsSoleil et LuneTransfert depuis PokĂ©mon Soleil et Lune Version dĂ©mo spĂ©ciale ou Ă©changeUltra-Soleil et Ultra-LunePrairie de PoniLet's Go, Pikachu et Let's Go, ÉvoliIndisponibleCe tableau est gĂ©nĂ©rĂ© automatiquement. Pour modifier son contenu, il faut modifier les pages de lieux. Informations plus dĂ©taillĂ©es sur cette page. HuitiĂšme gĂ©nĂ©ration[modifier] VersionsLocalisationsDĂ©tailsÉpĂ©e et BouclierIndisponibleDiamant Étincelant et Perle ScintillanteIndisponibleLĂ©gendes PokĂ©mon ArceusIndisponibleCe tableau est gĂ©nĂ©rĂ© automatiquement. Pour modifier son contenu, il faut modifier les pages de lieux. Informations plus dĂ©taillĂ©es sur cette page. CapacitĂ©s apprises[modifier] Par montĂ©e en niveau[modifier] SeptiĂšme gĂ©nĂ©ration[modifier] CapacitĂ©NiveauNomTypeCatĂ©goriePuissancePrĂ©cisionPPSLUSULÉcras'Face40100 %35DĂ©partDĂ©partImitation——10DĂ©partDĂ©partRugissement—100 %40DĂ©partDĂ©partSheauriken15100 %20DĂ©partÉvolutionDĂ©partÉvolutionTatamigaeshi——10DĂ©partDĂ©partÉcume40100 % % % % % PortĂ©e40100 % % % Noire—— % Par CT/CS[modifier] SeptiĂšme gĂ©nĂ©ration[modifier] NumĂ©roCapacitĂ©TypeCatĂ©goriePuissancePrĂ©cisionPPCT01Rengorgement——30CT06Toxik—90 %10CT10Puissance CachĂ©e60100 %15CT12Provoc—100 %20CT13Laser Glace90100 %10CT14Blizzard11070 %5CT15Ultralaser15090 %5CT17Abri——10CT18Danse Pluie——5CT21Frustration—100 %20CT23Anti-Air50100 %15CT27Retour—100 %20CT32Reflet——15CT39Tomberoche6095 %15CT40AĂ©ropique60—20CT42Façade70100 %20CT44Repos——10CT45Attraction—100 %15CT46Larcin60100 %25CT48Chant Canon60100 %15CT49Écho40100 %15CT55Ébullition80100 %15CT56DĂ©gommage—100 %10CT59Centrifugifle60100 %20CT62Acrobatie55100 %15CT68Giga Impact15090 %5CT80Éboulement7590 %10CT86NƓud Herbe—100 %20CT87Vantardise—85 %15CT88Blabla Dodo——10CT89Demi-Tour70100 %20CT90Clonage——10CT94Surf90100 %15CT97Vibrobscur80100 %15CT98Cascade80100 %15CT100Confidence——20 Par reproduction[modifier] SeptiĂšme gĂ©nĂ©ration[modifier] ConcoursCharmeBlocageParents l'apprenant par niveauParents l'apprenant par reproductionCamouflage——20—Lance-Boue——15—Lire-Esprit——5—Passe-Cadeau——15——Pics Toxik——20—Poing BoostUSUL40100 %20——Tourniquet——15— Par Donneur de capacitĂ©s[modifier] SeptiĂšme gĂ©nĂ©ration[modifier] CapacitĂ©TypeCatĂ©goriePuissancePrĂ©cisionPPLieuCoĂ»tAire d'Eau80100 %10 Centre commercial d'Ekaeka 0 PCoHydroblast15090 %5 Centre commercial d'Ekaeka 0 PCoRebond8585 %5 Plage d'Ho'ohale 8 PCoDĂ©tricanon12080 %5 Arbre de Combat 16 PCoPoing-Glace75100 %15 Plage d'Ula-Ula 8 PCoVent Glace5595 %15 Plage d'Ula-Ula 12 PCoBalayage—100 %20 Plage Big Wave 8 PCoImitation——10 Plage d'Ho'ohale 8 PCoSaisie——10 Plage Big Wave 8 PCoRonflement50100 %15 Plage Big Wave 4 PCoDĂ©pit—100 %10 Plage d'Ho'ohale 8 PCoVibraqua60100 %20 Plage d'Ho'ohale 4 PCo Lors d'un stade d'Ă©volution antĂ©rieur[modifier] SeptiĂšme gĂ©nĂ©ration[modifier] CapacitĂ©TypeCatĂ©goriePuissancePrĂ©cisionPPPrĂ©-Ă©volutionRebond8585 %5656 GrenousseSLRebond8585 %5657 CroĂąporalSL SensibilitĂ©s[modifier] SensibilitĂ©s de AmphinobiListe des sensibilitĂ©s× 2× ÂœĂ— ÂœĂ— 2× ÂœĂ— 2× 0 1× 2× ÂœĂ— ÂœĂ— ÂœĂ— 2LĂ©gende× 0 Immunité× ÂŒ Double rĂ©sistance× œ RĂ©sistance× 2 Faiblesse× 4 Double faiblesseRemarques1 Si l'attaque ƒil Miracle est utilisĂ©e contre Amphinobi, l'efficacitĂ© des attaques Psy Ă  son encontre est normale. Statistiques[modifier] Forme de Base[modifier] Statistiques indicatives de Amphinobi Statistique Statistiquede base Niveau 50 Niveau 100 Min-Âč MinÂč MaxÂč Max+Âč Min-Âč MinÂč MaxÂč Max+Âč PV ÂČ 72 147 179 285 348 Attaque 95 103 115 147 161 203 226 289 317 DĂ©fense 67 78 87 119 130 153 170 233 256 Attaque SpĂ©ciale 103 111 123 155 170 217 242 305 335 DĂ©fense SpĂ©ciale 71 82 91 123 135 160 178 241 265 Vitesse 122 128 142 174 191 252 280 343 377 Somme des statistiques de base 530 Moyenne des statistiques de base 88,33 Les termes Min », Max » ne sont pas Ă  prendre au sens littĂ©ral. Il s'agit en rĂ©alitĂ© de stats Ă  31 IV, dont les Ă©chelons sont ensuite dĂ©terminĂ©s en faisant varier les EV entre 0 et 255, ainsi que l'effet de la nature Ă  malus, neutre ou Ă  bonus.La nature n'ayant aucune influence sur les PV, les stats indiquĂ©es correspondent Ă  un minimal 31 IV et 0 EV et Ă  un maximal 31 IV et 255 EV. Forme Sacha[modifier] Statistiques indicatives de Amphinobi Statistique Statistiquede base Niveau 50 Niveau 100 Min-Âč MinÂč MaxÂč Max+Âč Min-Âč MinÂč MaxÂč Max+Âč PV ÂČ 72 147 179 285 348 Attaque 145 148 165 197 216 293 326 389 427 DĂ©fense 67 78 87 119 130 153 170 233 256 Attaque SpĂ©ciale 153 156 173 205 225 307 342 405 445 DĂ©fense SpĂ©ciale 71 82 91 123 135 160 178 241 265 Vitesse 132 137 152 184 202 270 300 363 399 Somme des statistiques de base 640 Moyenne des statistiques de base 106,67 Les termes Min », Max » ne sont pas Ă  prendre au sens littĂ©ral. Il s'agit en rĂ©alitĂ© de stats Ă  31 IV, dont les Ă©chelons sont ensuite dĂ©terminĂ©s en faisant varier les EV entre 0 et 255, ainsi que l'effet de la nature Ă  malus, neutre ou Ă  bonus.La nature n'ayant aucune influence sur les PV, les stats indiquĂ©es correspondent Ă  un minimal 31 IV et 0 EV et Ă  un maximal 31 IV et 255 EV. StratĂ©gie[modifier] Amphinobi[modifier] fr Fiche stratĂ©gique sur Overstrat en Fiche stratĂ©gique sur Smogon Forme Sacha[modifier] fr Fiche stratĂ©gique sur Overstrat en Fiche stratĂ©gique sur Smogon Imagerie[modifier] Pour une imagerie plus complĂšte de ce PokĂ©mon, rĂ©fĂ©rez-vous Ă  son imagerie ou Ă  sa catĂ©gorie d'images. Artwork officielSprites de la huitiĂšme gĂ©nĂ©rationSprites de faceHOMEChromatique Imageries d'Amphinobi Amphinobi Forme Sacha Apparitions dans PokĂ©mon Donjon MystĂšre[modifier] Pour plus d'informations sur le sujet, rĂ©fĂ©rez-vous Ă  Amphinobi/PokĂ©mon Donjon MystĂšre. Apparitions dans les jeux tiers[modifier] Dans Super Smash Bros. pour Nintendo 3DS et Wii U[modifier] Amphinobi fait partie des trente-sept personnages jouables immĂ©diatement de la version Nintendo 3DS et des quarante-et-un de la version Wii U. Il fait aussi partie des trophĂ©es que le joueur peut collectionner. Amphinobi Apparences alternatives CapacitĂ©s PokĂ©mon Type Nom Image Normal Sheauriken CĂŽtĂ© Ombre PortĂ©e Haut Hydrocanon Bas Clonage Final Smash Technique SecrĂšte Ninja Tatamigaeshi + Tranche-Nuit TrophĂ©e Image Nom Obtention Description Amphinobi Finir le mode classique avec Amphinobi Ce PokĂ©mon de type Eau et TĂ©nĂšbres est la forme Ă©voluĂ©e de Grenousse. Ses shuriken constituĂ©s d'eau n'en sont pas moins tranchants et peuvent lacĂ©rer jusqu'au mĂ©tal. Ici, en plus d'ĂȘtre agile et trĂšs rapide, il peut utiliser des attaques comme Hydrocanon pour se dĂ©placer dans les airs et Ă©viter de tomber. Amphinobi alt. Finir le mode All-Star avec Amphinobi 3DSAlĂ©atoire aprĂšs avoir fini le mode classique avec Amphinobi WiiU L'attaque spĂ©ciale bas d'Amphinobi, Clonage, lui permet de se tĂ©lĂ©porter pour esquiver une attaque et de riposter en rĂ©apparaissant. Ce qui fait une contre-attaque efficace et difficile Ă  anticiper. Sachez aussi que vous pouvez contrĂŽler l'endroit oĂč vous rĂ©apparaissez. Au moment oĂč il disparaĂźt, Amphinobi laisse derriĂšre lui une PoupĂ©e Clonage ou une bĂ»che. Tranche-Nuit Finir le mode All-Star avec Amphinobi - La raillerie bas de Pit lui donne l'occasion d'avoir une conversation avec d'autres personnages de la sĂ©rie Kid Icarus. Tous les personnages jouables du jeu sont concernĂ©s, voici celle qui concerne Amphinobi Pit "C'est quoi, ça ? Une sorte de grenouille ninja ?" Palutena "C'est Amphinobi, un PokĂ©mon. Son agilitĂ© et sa vitesse constituent ses points forts." Palutena "Ce qui ressemble Ă  une Ă©charpe est en fait sa langue." Viridi "Comme mesure dĂ©fensive, je te conseille de te frotter le corps avec des piments rouges." Pit "Comment veux-tu avaler quoi que ce soit avec une langue qui pend comme ça ?" Palutena "C'est peut-ĂȘtre l'un de ces rares ninjas qui mangent lentement." Pit "Hein ?! Mais ça n'a aucun sens ! Bref, dis-moi juste comment le battre !" Palutena "Amphinobi crĂ©e des Ă©toiles de ninja avec de l'eau comprimĂ©e et les lance Ă  grandes vitesse. Cette attaque s'appelle Sheauriken". Palutena "Si Amphinobi commence Ă  charger un Sheauriken, prĂ©pare-toi Ă  lui renvoyer". Dans Super Smash Bros. Ultimate[modifier] Amphinobi fait partie des combattants Ă  dĂ©bloquer. Amphinobi Apparences alternatives CapacitĂ©s PokĂ©mon Type Nom Image Normal Sheauriken CĂŽtĂ© Ombre PortĂ©e Haut Hydrocanon Bas Clonage Final Smash Technique SecrĂšte NinjaTatamigaeshi + Tranche-Nuitvia Sachanobi Il est aussi un des esprits que le joueur peut obtenir. Esprit Image Nom Type d'Esprit CatĂ©gorie Niveau BonussupplĂ©mentaire Emplacements Obtention CombattantsassociĂ©s Conditionsdu combat Amphinobi Combattant — — — — Finir le Mode Classique avec AmphinobiMagasin 300 Goldus — — Les conseils de Palutena prĂ©sents dans Super Smash Bros. for Wii U, reviennent dans ce jeu mĂȘme pour les personnages non prĂ©sents dans Super Smash Bros. for Wii U, voici celle concernant Amphinobi Pit "C'est quoi, ça ? Une sorte de grenouille ninja ?" Palutena "C'est Amphinobi, un PokĂ©mon. Son agilitĂ© et sa vitesse constituent ses points forts." Palutena "Ce qui ressemble Ă  une Ă©charpe est en fait sa langue." Viridi "Comme mesure dĂ©fensive, je te conseille de te frotter le corps avec des piments rouges." Pit "Comment veux-tu avaler quoi que ce soit avec une langue qui pend comme ça ?" Palutena "C'est peut-ĂȘtre l'un de ces rares ninjas qui mangent lentement." Pit "Hein ?! Mais ça n'a aucun sens ! Bref, dis-moi juste comment le battre !" Palutena "Amphinobi crĂ©e des Ă©toiles de ninja avec de l'eau comprimĂ©e et les lance Ă  grandes vitesse. Cette attaque s'appelle Sheauriken". Palutena "Si Amphinobi commence Ă  charger un Sheauriken, prĂ©pare-toi Ă  lui renvoyer". Il fait l'objet de dix Smashtuces Les origines d'Amphinobi Amphinobi fait ses dĂ©buts dans PokĂ©mon X et dans PokĂ©mon Y, tous deux sortis en 2013. Forme Ă©voluĂ©e de Grenousse, il enroule sa langue autour de son cou ! Dans la sĂ©rie originale Amphinobi, le PokĂ©mon Ninja, utilise des attaques telles que Picots et Reflet. Sheauriken, une attaque Ă  base d'eau fortement comprimĂ©e, Ă©tait au dĂ©part une attaque exclusive Ă  Amphinobi. Sheauriken spĂ©ciale standard Plus cette attaque est chargĂ©e, plus sa portĂ©e est rĂ©duite. La version non chargĂ©e peut s'avĂ©rer utile pour tenir un adversaire Ă  distance. Ombre PortĂ©e spĂ©ciale cĂŽtĂ© Amphinobi se dĂ©place en un clin d'Ɠil lĂ  oĂč se trouve l'ombre puis attaque les adversaires proches. En maintenant le bouton enfoncĂ©, vous pouvez faire en sorte que l'ombre s'Ă©loigne davantage. Hydrocanon spĂ©ciale haut Le jet d'eau vous propulse dans la direction de votre choix. Vous pouvez cependant changer de trajectoire en milieu de dĂ©placement en entrant rapidement une autre direction. Hydrocanon spĂ©ciale haut L'eau inflige des dĂ©gĂąts, mais elle peut Ă©galement repousser vos adversaires si vous visez bien ! Clonage spĂ©ciale bas Cette technique incite l'ennemi Ă  frapper un leurre. En cas de rĂ©ussite, Amphinobi rĂ©apparaĂźt et contre-attaque ! Contre-attaquer aprĂšs un Clonage spĂ©ciale bas AprĂšs avoir rĂ©ussi ce contre, orientez-vous dans la direction dans laquelle vous voulez rĂ©apparaĂźtre et attaquer. Technique SecrĂšte Ninja Smash final Amphinobi est transformĂ© par la force de la Synergie. Tout adversaire touchĂ© par son attaque Tatamigaeshi est frappĂ© Ă  rĂ©pĂ©tition devant une lune Ă©blouissante, puis prĂ©cipitĂ© vers le sol avec force. Provocation bas Lorsqu'il utilise sa provocation bas, Amphinobi fait sortir de ses mains deux petits jets d'eau tout en prenant la pose. Les adversaires touchĂ©s par l'eau subissent des dĂ©gĂąts et sont envoyĂ©s dans les airs. Dans Super Mario Maker[modifier] GrĂące Ă  son amiibo ou alĂ©atoirement en terminant un DĂ©fi des 100 Mario, Amphinobi peut ĂȘtre un costume jouable Apparitions dans le dessin animĂ©[modifier] Amphinobi fait une apparition dans le XY017, dans l'imagination de Sanpei mais sa premiĂšre apparition physique est dans PokĂ©mon, le film Diancie et le cocon de l'annihilation, en tant que PokĂ©mon du ninja Lens. Il fait une autre apparition lors de l'Ă©pisode 851. Dans le XY100, le CroĂąporal de Sacha Ă©volue et prend une apparence unique reprenant certains traits physiques de Sacha, lorsque leur lien d'amitiĂ© est Ă  son maximum. Artwork de Sachanobi. Amphinobi, langue dĂ©roulĂ©e. Descriptions du PokĂ©dex[modifier] Épisode 851 Le PokĂ©mon Ninja est la forme Ă©voluĂ©e de CroĂąporal. Les mouvements rapides d'Amphinobi trompent ses adversaires et il transforme des jets d'eau sous pression en redoutables shuriken. Épisode 899 Le PokĂ©mon Ninja est l'Ă©volution finale de Grenousse. Amphinobi peut compresser l'eau et former des shuriken aux bords aiguisĂ©s. Avec la grĂące d'un ninja, il glisse de l'ombre Ă  la lumiĂšre pour lancer une attaque imprĂ©vue. Épisode 1193 Dans le Jeu de Cartes Ă  Collectionner[modifier] amiibo[modifier] Un amiibo Ă  l'effigie d'Amphinobi est disponible dans les amiibo de la gamme Super Smash Bros. depuis le 29 mai 2015. BoĂźte de l'amiibo d'Amphinobi. amiibo d'Amphinobi. Notes et rĂ©fĂ©rences[modifier] ↑ Lien du PokĂ©mon Center Online prĂ©sentant le nom dĂ©posĂ© japonais d'Amphinobi. ↑ ◄ CroĂąporal Amphinobi Sapereau â–ș 657 658 659 Cet article fait partie du Projet PokĂ©dex, qui a pour but la mise en place d'articles exhaustifs pour chaque PokĂ©mon. Merci de lire la page du projet avant toute Ă©dition ! Pourtrouver un produit Happy Feet 2 - Blu-Ray 3d + Blu-Ray 2d au meilleur prix, c'est sur notre site qu'il faut vous rendre. Et plus prĂ©cisĂ©ment dans la catĂ©gorie Blu-Ray 3D de notre univers VidĂ©o. La raison ? Toute l'annĂ©e, Rakuten vous propose une quantitĂ© astronomique de promotions et de remises pour toute commande concernant la rĂ©fĂ©rence Happy Feet 2 - Blu 2. L'Ă©trange travail Je n’avais jamais vu le code postal indiquĂ© sur le morceau de papier. Le lendemain, j’ai pris le mĂ©tro et je suis descendu Ă  une station prĂšs de la riviĂšre. J’ai traversĂ© un pont au bout duquel un bois s’étendait. J’ai mis un pas sur le sentier, couvert par divers types d’herbe. Chaque fois que j’ai marchĂ©, des feuilles s’écrasaient sous mes pieds. De temps en temps, des oiseaux poussaient des cris qui me rappelaient le grincement d’une machine gigantesque. Je ne les voyais nulle part. Lorsque je suis sorti du bois, j’ai aperçu une grande maison sur la colline. J’ai montĂ© la douce pente au beau milieu des prairies. Du sommet, on pouvait dominer un cimetiĂšre abandonnĂ© et des ruines. La maison Ă©tait entourĂ©e par des murs dĂ©passant largement ma taille, couverts entiĂšrement par des lierres. Le jardin devait ĂȘtre abandonnĂ© depuis longtemps. Il Ă©tait envahi par divers types de fleurs et de champignons. La maison elle aussi Ă©tait couverte par des lierres ressemblant Ă  des vaisseaux sanguins. J’ai sonnĂ© Ă  la porte en bois aussi haute que les murs, mais la sonnerie semblait cassĂ©e. À cĂŽtĂ© du bouton, il y avait un heurtoir en forme d’un hibou. Je l’ai frappĂ© Ă  la plusieurs reprises et j’ai criĂ© Bonjour ! ». Quelques instants plus tard, la porte s’est entrouverte toute seule avec un terrible grincement. À l’autre cĂŽtĂ© de la porte, un long couloir s’allongeait dans l’obscuritĂ©. J’ai attendu quelqu’un venir, mais un long moment s’est Ă©coulĂ© sans que personne n’apparaisse. Est-ce qu’il y a quelqu’un ici ? », ai-je dit vers le bout du couloir, mais ma voix s’est fondue dans le noir et seul l’écho me rĂ©pondait. Tandis que je pensais Ă  rentrer, j’ai entendu le bruit de pas de quelqu’un qui s’approchait. Le plancher en bois a grincĂ© Ă  chaque fois que cette personne a mis le pied. Au bout d’un moment, une silhouette est apparue. C’était une vieille dame au dos courbĂ©. Ses cheveux Ă©taient grisĂątres et ses yeux Ă©taient d’un vert si pĂąle qu’ils semblaient atteints d’une cĂ©citĂ©. Elle tenait une lampe Ă  la main. Je suis un nouveau rĂ©pĂ©titeur », lui ai-je dit. Suivez-moi », m’a-t-elle dit. La vieille dame au dos courbĂ© m’a tournĂ© le dos. J’ai marchĂ© d’un bon pas pour l’attraper. Par-lĂ  », m’a-t-elle dit d’une voix rauque et a ouvert une porte. C’était une petite piĂšce poussiĂ©reuse. Les rideaux diaphanes Ă  travers lesquels la lumiĂšre s’infiltrait Ă©taient fermĂ©s. Sur les Ă©tagĂšres Ă©taient exposĂ©es une multitude de bouteilles et de flacons. Au centre, il y avait deux fauteuils en cuir entre lesquelles Ă©tait mise une petite table en carrĂ©e. Madame arrive dans quelques minutes. Attendez ici », a dit la vieille dame et elle a fermĂ© la porte. Je me suis assis sur le fauteuil. La table Ă©tait en fait un Ă©chiquier sur lequel se dessinaient des carrĂ©es minuscules ocre et brun. Cette table avait de petits tiroirs dans lesquels se trouvaient peut-ĂȘtre des piĂšces. Au bout de quelques minutes, j’ai entendu le sol grincer et la poignĂ©e s’est tournĂ©e. De l’autre cĂŽtĂ© de la porte se tenait une femme d’un certain Ăąge. Elle devait avoir environ quarante ans voire mĂȘme plus. Elle s’était fait un chignon et portait une robe noire comme en deuil. AprĂšs avoir fermĂ© la porte, elle s’est assise devant moi. Tandis que je rĂ©flĂ©chissais Ă  ce que j’allais lui dire, elle m’a dit Merci d’ĂȘtre venue. Je suis S. Alekhine, la propriĂ©taire de cette maison. - Je suis ravi de vous rencontrer
, ai-je dit. - Aimez-vous l’échec ? - J’y jouais avec mon pĂšre quand j’étais enfant, mais je ne suis pas trĂšs fort », ai-je dit. Elle a ouvert le tiroir et s’est mise Ă  disposer les piĂšces blanches. Le roi au centre, la reine Ă  cĂŽtĂ©. Les deux fons Ă©taient Ă  leurs cĂŽtĂ©s, ainsi que les cavaliers et les tours. La ligne de bataille Ă©tait dĂ©fendue par les pions. J’ai aussi ouvert mon tiroir, et je me suis prĂ©cipitĂ© Ă  disposer les piĂšces noires. Excusez-moi
, m’a-t-elle dit. Je peux discuter plus Ă  l’aise en jouant aux Ă©checs. J’espĂšre que ça ne vous dĂ©range ? ». J’ai secouĂ© la tĂȘte. Elle avancĂ© son pion Ă  E4 et s’est mise Ă  parler. C’est Ă  propos de ma fille que j’ai demandĂ© ce travail. » J’ai avancĂ© mon pion Ă  E5. A-t-elle un problĂšme ? ai-je demandĂ©. Du genre, elle a de mauvaises notes Ă  l’école ou elle sort avec de mauvais amis. - Pas du tout. C’était une fille intelligente, souriante et populaire, mĂȘme si elle avait un cĂŽtĂ© introverti » ’C’était’’ ? Pourquoi parle-t-elle de sa fille au passĂ© ? me suis-je demandĂ©, cependant, sans lui poser cette question, j’ai continuĂ© Ă  jouer mes piĂšces. Nous nous sommes tus un long moment et nous nous sommes concentrĂ©s Ă  jouer aux Ă©checs. Il n’y avait pas beaucoup de mouvements dans nos camps. J’ai pris le cavalier blanc avec ma reine noire. Maintenant l’un de mes soldats s’enfonçait dans le camp de mon ennemi. Mes soldats noirs s’approchaient de plus en plus du roi blanc. J’ai pris son fou. Elle m’a pris un pion et un cavalier. Ma fille est malade », a-t-elle dit en reculant sa dame. J’ai dĂ©placĂ© mon tour Ă  g8. Comment elle s’appelle ? ai-je dit. - Lune », m’a-t-elle dit. Lune, ai-je rĂ©pĂ©tĂ© dans ma tĂȘte. Je commençais petit Ă  petit Ă  comprendre la situation. Sa fille avait sans doute une maladie qui l’empĂȘchait de sortir, de sorte qu’elle ne pouvait pas aller Ă  l’école. Elle restait toute la journĂ©e dans sa chambre, en Ă©tudiant avec sa mĂšre. Mais c’était difficile de tout lui apprendre toute seule et c’est la raison pour laquelle elle a cherchĂ© un rĂ©pĂ©titeur pour sa fille. J’ai avancĂ© ma dame Ă  c6. Elle a posĂ© un pion Ă  f2 et a dit sĂšchement ChĂšque ». C’est alors que je me suis rendu compte que mon roi, isolĂ© sans reine Ă©tait entourĂ© par des piĂšces blanches. Pendant que j’étais Ă©pris de prendre ses piĂšces, elle avait dĂ©veloppĂ© son piĂšge sur l’échiquier comme une toile d’araignĂ©e, en sacrifiant ses soldats loyaux, en attendant que je m’y perde. AprĂšs un moment de silence, j’ai doucement fait tomber mon roi. Elle s’est levĂ©e et s’est approchĂ©e de l’étagĂšre. Elle est revenue avec un album et me l’a donnĂ©. L’album Ă©tait rempli de photos d’une fille. L’album commençait par sa naissance et le bĂ©bĂ© grandissait. Sur une photo, la fillette d’environ cinq ans, soufflait les bougies sur son gĂąteau d’anniversaire. Sur une autre photo, elle riait sur un cheval d’un manĂšge. De temps en temps, apparaissaient un homme et une femme, peut-ĂȘtre ses parents. La mĂȘme femme Ă©tait assise devant moi. Elle avait pris un peu plus de rides que sur les photos. Ses cheveux s’étaient mis Ă  blanchir et ses yeux Ă©taient lĂ©gĂšrement cernĂ©s. Mais c’était elle. L’homme Ă©tait peut-ĂȘtre son mari. Ses cheveux Ă©taient aplatis en arriĂšre. Il portait de petites lunettes rondes et ressemblait Ă  un mathĂ©maticien syphilitique. Plus j’ai tournĂ© des pages, plus la fillette grandissait. Ses bras et ses jambes s’allongeaient ; son ventre s’aplatissait et ses cheveux poussaient. Tout Ă  coup, l’album s’est terminĂ©. MĂȘme si je tournais des pages, il n’y avait plus rien. Les pages blanches duraient Ă  l’infini. Sur la derniĂšre photo, elle avait environ douze ou treize ans. Elle portait un T-shirt et un short, souriant vers l’appareil photo sur une dune. J’ai fermĂ© l’album et l’ai rendu Ă  la dame. Ça fait plus de dix ans qu’elle ne va pas Ă  l’école. Quand les enfants de son Ăąge apprenaient beaucoup de choses et jouent entre eux, elle Ă©tait contrainte de rester dans sa chambre toute la journĂ©e. Elle s’isolait de plus en plus du monde extĂ©rieur. Elle s’ennuyait aussi. Ce que je voudrais vous demander, ce n’est pas vraiment ĂȘtre son rĂ©pĂ©titeur. Mais j’aimerais que vous connectiez ma fille au monde extĂ©rieur, pour qu’elle puisse faire ce qu’elle voudrait quand elle sera guĂ©rie. - Mais plus prĂ©cisĂ©ment que devrai-je faire ? - Comme vous voudrez. - Devrai-je travailler combien d’heures par jour ? - Ce n’est pas dĂ©fini. Vous pouvez travailler en fonction de votre nĂ©cessitĂ©. En temps libre, vous pouvez faire ce que vous voudrez, peu importe. Je vais vous payer trois milles euros par mois. Mais si vous voulez, je pourrai vous payer davantage ». Elle semblait toujours Ă©viter de me donner des informations dĂ©taillĂ©es m’intriguait. J’ai supposĂ© qu’il y avait une raison qui l’empĂȘchait de me les dire, trĂšs probablement au sujet de sa fille. Elle avait subi un accident de voiture et son visage Ă©tait dĂ©figurĂ©, ou sa maladie Ă©tait contagieuse, ou elle Ă©tait handicapĂ©e mentale
Et probablement, la Chauve-souris Ă©tait un agent d’emplois spĂ©cialisĂ© dans les offres confidentielles. Sinon le salaire ne serait pas aussi Ă©levĂ© pour un simple travail de rĂ©pĂ©titeur. J’ai levĂ© la tĂȘte. La propriĂ©taire fixait son regard sur moi au visage inexpressif, immobile comme une statue grecque. Un instant, je me suis senti Ă©touffĂ© pour une raison obscure, peut-ĂȘtre Ă  cause de l’étroitesse de la piĂšce et de l’étrangetĂ© de cette situation. Un long moment plus tard, j’ai dit Quand je pourrai commencer Ă  travailler ? ». Revenez ici demain, Ă  quatorze heures trente », m’a-t-elle dit. La vieille dame que je ne savais toujours pas si c’était une domestique ou la mĂšre de la patronne, m’a accompagnĂ© jusqu’à la porte. Est-ce que je peux vous poser une question ? ai-je demandĂ© dans le seuil, au moment de quitter la maison. - Je vous en prie, m’a-t-elle dit d’une voix rauque comme si on trainait un sac lourd rempli de sable. - Y a-t-il eu combien de rĂ©pĂ©titeurs avant moi ? - Vous ĂȘtes le cinquante-quatriĂšme. Les autres n’ont pas tenu plus de deux semaines ».
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James un manchot voyageur du pĂŽle Sud, et Vladimir, un ours rigolo du pĂŽle Nord, se rencontrent sur la banqui 25 fĂ©vrier 2019 Ă  05:00 Ze t’aime Ă  Saint-Étienne Vous trouverez la CodyCross Casino Groupe 268 Grille 2 Solution et RĂ©ponse . Solution CodyCross Casino est le nouveau monde, qui a Ă©tĂ© publiĂ© ce mois-ci. Voyagez dans le temps et l’espace et apprenez l’histoire de notre planĂšte et les exploits de l’humanitĂ© dans des grilles trouverez la rĂ©ponse CodyCross Casino Groupe 268 Grille 2 Solution et RĂ©ponse CodyCross Casino Groupe 268 Grille 2 Solution et RĂ©ponse Tourmenter avec insistance Petit prolongement de l’intestin Essai prĂ©sentant un caratcĂšre pĂ©rilleux PrĂ©dispositions naturelles Film animĂ© sur un manchot faisant des claquettes Commerçant vendant des articles en grande quantitĂ© Jeu oĂč l’on tire des boules de peinture d’un fusil Relatif au singe Quand il est bon on lui dit Salut ! Cyclomoteur trĂšs bruyant et peu puissant Au tennis l’autre nom donnĂ© au service Acrobate exĂ©cutant des sauts Qualifie un avocat sans sa partie centrale Ici vous trouverez les rĂ©ponses pour tout le groupe CodyCross Casino Groupe 268 Solution et RĂ©ponse. DessinanimĂ©amĂ©ricain de George Miller.Avecen VF les voix de Clovis Cornillac, Sophie Marceau, MarionCotillard, Kad MeradDurĂ©e :1 h 47.Mumble, un jeune manchot de l'Antarctique, estun 0,50 $US-2,80 $US / PiĂšce 500 PiĂšces Commande minimale 2,12 $US-2,25 $US / UnitĂ© 1000 UnitĂ©s Commande minimale 1,65 $US-1,80 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 3,50 $US-4,00 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 1,20 $US-1,44 $US / PiĂšce 120 PiĂšces Commande minimale 3,10 $US-3,80 $US / PiĂšce 1 PiĂšce Commande minimale 2,15 $US-2,85 $US / PiĂšce 100 PiĂšces Commande minimale 0,50 $US-3,00 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 1,10 $US / PiĂšce 10 PiĂšces Commande minimale 1,00 $US-3,00 $US / PiĂšce 1 PiĂšce Commande minimale 0,15 $US-3,00 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 1,00 $US-1,50 $US / PiĂšce 50 PiĂšces Commande minimale 2,29 $US-2,80 $US / PiĂšce 500 PiĂšces Commande minimale 1,80 $US-3,00 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 1,00 $US-5,00 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 2,40 $US-3,60 $US / PiĂšce 50 PiĂšces Commande minimale 1,88 $US-2,08 $US / PiĂšce 20 PiĂšces Commande minimale 1,88 $US-2,38 $US / PiĂšce 100 PiĂšces Commande minimale 3,00 $US-4,68 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 2,31 $US-2,42 $US / PiĂšce 10 PiĂšces Commande minimale 1,55 $US-2,50 $US / PiĂšce 200 PiĂšces Commande minimale 3,00 $US-3,30 $US / PiĂšce 500 PiĂšces Commande minimale 3,09 $US-3,18 $US / PiĂšce 1000 PiĂšces Commande minimale 5,03 $US-5,53 $US / PiĂšce 500 PiĂšces Commande minimale 2,12 $US-3,20 $US / PiĂšce 30 PiĂšces Commande minimale 1,90 $US-4,90 $US / PiĂšce 500 PiĂšces Commande minimale 2,85 $US-3,30 $US / PiĂšce 1 PiĂšce Commande minimale 2,50 $US-4,00 $US / PiĂšce 1 PiĂšce Commande minimale 0,70 $US-2,10 $US / PiĂšce 1 PiĂšce Commande minimale 0,59 $US-9,99 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 2,50 $US-3,12 $US / PiĂšce 10 PiĂšces Commande minimale 2,50 $US-4,90 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 1,00 $US-1,40 $US / PiĂšce 100 PiĂšces Commande minimale 3,28 $US-8,21 $US / PiĂšce 2 PiĂšces Commande minimale 4,30 $US-5,00 $US / PiĂšce 50 PiĂšces Commande minimale 9,72 $US-11,53 $US / PiĂšce 1 PiĂšce Commande minimale 1,05 $US-1,25 $US / PiĂšce 1000 PiĂšces Commande minimale 1,90 $US-2,30 $US / PiĂšce 5 PiĂšces Commande minimale 1,30 $US-2,00 $US / PiĂšce 1000 PiĂšces Commande minimale 4,66 $US-4,98 $US / PiĂšce 10 PiĂšces Commande minimale 6,30 $US-8,00 $US / PiĂšce 10 PiĂšces Commande minimale 1,55 $US-3,50 $US / PiĂšce 1000 PiĂšces Commande minimale 0,49 $US-5,99 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 0,50 $US-7,58 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 0,88 $US-1,55 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 2,28 $US-2,50 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 1,20 $US-3,99 $US / PiĂšce PiĂšces Commande minimale 2,10 $US-3,60 $US / PiĂšce 20 PiĂšces Commande minimale
\n\n\n \n film animé sur un manchot faisant des claquettes
QuandChuck Norris regarde une statue, elle s'anime. Personne ne reste de marbre devant Chuck Norris % Chuck Norris compte sur ses doigts de ses victimes. % Chuck Norris a monté les escaliers des Chevaliers du Zodiaque en un seul épisode. % Si Chuck Norris avait été l'Empire, le Jedi ne serait pas revenu. % L'Oréal : parce que je vaux moins que Chuck Norris.
Codycross est un jeu mobile dont l'objectif est de trouver tous les mots d'une grille. Pour cela, vous ne disposez que des dĂ©finitions de chaque mot. Certaines lettres peuvent parfois ĂȘtre prĂ©sentes pour le mot Ă  deviner. Sur Astuces-Jeux, nous vous proposons de dĂ©couvrir la solution complĂšte de Codycross. Voici le mot Ă  trouver pour la dĂ©finition "Film animĂ© sur un manchot faisant des claquettes" groupe 268 – grille n°2 happyfeet Une fois ce nouveau mot devinĂ©, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la mĂȘme grille en cliquant ici. Sinon, vous pouvez vous rendre sur la page sommaire de Codycross pour retrouver la solution complĂšte du jeu. 👍 xTVAKt.
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  • film animĂ© sur un manchot faisant des claquettes