Plusde 500 migrants occupent depuis plusieurs semaines le square Daviais, en centre-ville de Nantes. Après avoir longtemps refusé cette éventualité, la mairie de Nantes demande finalement l Après avoir fui la guerre et la misère et gagné l'Europe par terre ou mer, une soixantaine de migrants d'Afrique de l'Est, majoritairement demandeurs d'asile, vivent au jour le jour à Nantes dans le presbytère qu'ils squattent pour éviter "la rue", grâce à "la solidarité" des riverains."Pour moi, c'est comme s'ils faisaient partie de ma famille", lance Jeanine Mondain, 80 ans, une "voisine" du presbytère Saint-Médard, qui donne aux migrants des cours de français une fois par semaine dans une petite salle donnant sur la cour, où trône encore un sapin de Noël. "Je viens les voir en dehors du français, seulement pour leur parler, essayer de leur montrer qu'ils sont importants pour nous .... Je me dis que pour pouvoir s'insérer dans la société française, il faudra bien qu'ils connaissent l'élémentaire de la langue", poursuit la retraitée, alors qu'elle enseigne le mot "chaise" à l'un de ses élèves soudanais penché sur un cahier d'écolier. "Nous sommes des demandeurs d'asile. La langue, c'est très important", notamment pour faire les démarches administratives, renchérit en arabe Cherif, un Soudanais de 27 ans. Cinq mois plus tôt, le 30 juillet, Cherif a été réveillé, comme une centaine d'autres migrants, à "06H00 du matin par les policiers et les bulldozers". Beaucoup d'entre eux, en grande majorité demandeurs d'asile, n'ont pu emporter "papiers d'identité, documents, médicaments", traduit Ahmat Kotombo, qui vient quasi quotidiennement faire le lien entre les migrants et les associations. - 'Solidarité' -Expulsés "sans solution de relogement", les migrants et leurs soutiens ont "réquisitionné" ce presbytère de la paroisse Sainte-Marie-de-Doulon, à l'est de Nantes et à quelque trois kilomètres de leur précédent squat, propriété de la ville et loué à l'évêché, mais "inoccupé depuis 2007", souligne Jean Brunacci, membre de Solidaires et porte-parole du collectif de soutien. Près de cent se sont d'abord entassés dans les huit chambres de ce bâtiment religieux de deux étages, sis dans un quartier populaire, jouxtant une école et faisant face à un supermarché. Ils étaient jusqu'à 23 dans certaines pièces, dormant sur des matelas posés sur des palettes en bois, et partageant une douche et deux toilettes. Par manque de place, le collectif a décidé fin novembre d'ouvrir un second squat, appartenant à l'ouest de la ville à un propriétaire privé, où une trentaine de migrants a trouvé refuge, dans des conditions tout aussi précaires. Au presbytère, la "solidarité" s'est organisée la Banque alimentaire ravitaille en produits frais et secs, "les voisins nous viennent en aide, soit en apportant des couvertures, des matelas, des chaussures, soit en nous invitant à prendre le café", décrit M. Kotombo. La veille de Noël, des paroissiens, ainsi que l'évêque, sont venus apporter chocolat chaud et friandises à ces hommes de confession musulmane. "Ils nous ont considérés comme si on était des citoyens parmi eux", salue Cherif, "très touché" par ce geste. Bien que mise "devant le fait accompli", la paroisse fournit "eau et électricité" aux occupants du presbytère, en attendant que la mairie "trouve une solution" car cette situation ne peut être "vivable" à long terme, déclare l'un des prêtres, Yves Perraud. Le collectif réclame la tenue d'une table ronde, mais "tant la mairie que la préfecture font la sourde oreille", déplore Jean Brunacci. "L'État nous force à être des squatteurs. J'ai fait des démarches de demande d'asile, mais cela peut prendre un ou deux ans, et pendant ce temps là, on est à la rue", soupire Ali, Tchadien de 25 ans, étonné de la dureté des conditions de vie en France après avoir connu la guerre dans son pays et en Libye, et traversé en bateau la Méditerranée, comme des milliers de migrants. "Là encore, c'est difficile de dormir car on sait qu'à tout moment on peut être expulsés", craint-il. Selon les associations, aucune demande d'évacuation n'a pour le moment été formulée par la municipalité. 03/01/2015 132638 - Nantes AFP - Par Anne-Sophie LASSERRE - © 2015 AFP Collectifde soutien aux migrants et réfugiés 11/12 Marseille Collectif de soutien aux sans papier du Trégor Goelo Collectif de soutien de l'EHESS aux migrant-es Collectif des associations citoyennes Collectif des Associations Citoyennes de l'Est Val d'Oise (CAC-EVO) Collectif Icare Collectif Justice & Libertés Strasbourg Collectif La Chapelle Debout Collectif Le Büech

Soirée de soutien aux migrants. C’est un évènement au combien important dans le contexte actuel et particulièrement à Nantes. Depuis plusieurs semaines, plus de 300 hommes et femmes vivent maintenant Square Daviais, en plein centre ville dans un campement précaire. Comme l’an passé, les collectifs Abstrack’ et Cardinal Association s’associent à fin d’organiser un temps fort et convivial en solidarité avec les migrants. Rendez-vous le samedi 14 juillet 2018 au 18 Quai Wilson juste en face du Pont des 3 de soutien aux migrants RDV le 14 juillet 2018 Quai Wilson On compte donc sur vous pour venir très nombreux ce samedi 14 juillet 2018 de 15h à 2h. Au programme de cette soirée de soutien aux migrants Des DJs Sets Atemi, Heron X, Tom Select, Les Fantastiks…, du live painting Internet Boyz et évidemment une restauration rapide et un bar sur place. L’ensemble des recettes vont servir à financier plusieurs projets dont l’achat de denrées à la Banque Alimentaire, le maintien de l’entretien quotidien des lieux de vie, l’aide à la création d’évènements culturels et la sensibilisation vers tous les publics. “Des animations et concerts s’enchaîneront toute la journée du samedi 14 juillet. Ils permettront de rappeler que, tout comme avoir un toit et vivre dans des conditions descentes, la fête est un droit. C’est le droit d’échanger et de s’exprimer, tout en mettant de côté le quotidien afin de mieux appréhender le futur.”Soirée de soutien aux migrants Informations Pratiques Restauration et Bar Sur place Agencement Extérieur Prix Libre Prévoir du cash DAB éloigné ACCESS 18 Quai Wilson, 44200 Nantes C5 terminus + marche 5 min En bas du Pont des Trois Continents côté Hangar à Bananes Artwork by Gwendoline Blosse.

Communiquédu collectif « Personne à la rue », Nantes le 21/10/19 Monsieur le Préfet de la Région Pays de la Loire, Préfet du département de Loire-Atlantique, Nous voulons vous dire les choses suivantes : Vous avez déclaré, il y a deux semaines, que ce sont les associations de soutien aux migrants « qui ont ouvert illégalement la porte Lire la suite lettre Google map Par AFP, publié le 8 novembre 2015 à 16h02. Un squat occupé à Nantes par une cinquantaine de migrants africains a été la cible d'un jet de cocktail molotov dans la nuit de samedi à dimanche, provoquant un début d'incendie, mais sans faire de blessé, a-t-on appris auprès de leur comité de soutien. Vers minuit, alors que les occupants s'apprêtaient à s'endormir, un engin incendiaire a été lancé par un inconnu par une fenêtre de la maison du quartier Chantenay, qu'ils occupent depuis près près d'un an. Un feu s'est déclaré, que quatre d'entre eux ont réussi à éteindre avec de l'eau et des couvertures, selon le Collectif de soutien aux expulsés de la rue des Stocks. Sur place, des traces de suie étaient visibles dimanche à une fenêtre extérieure et à l'intérieur de la pièce atteinte par l'engin incendiaire, où régnait une forte odeur de brûlé, selon le quotidien Ouest-France, qui a révélé l'affaire."Celui qui a fait ça, il a voulu nous tuer", a témoigné un des occupants cité par le quotidien. Le Collectif a dénoncé ce dimanche une "agression criminelle et xénophobe, qui s'inscrit dans une suite d'actes de plus en plus violents à l'encontre des migrants inscriptions racistes, poses de cadenas sur les portes d'un squat et dégradations diverses à l'encontre des associations qui soutiennent les migrants". Dénonçant "la politique laxiste du gouvernement et des autorités locales, qui laissent toute liberté d'agir lâchement à des groupes xénophobes et racistes", le Collectif a demandé l'ouverture rapide de "centres d'accueil inconditionnel et de qualité" pour les personnes "sans abri, sans papiers, sans possibilité de travail".Outre la maison visée par le cocktail molotov, occupée par des migrants venus essentiellement du Soudan, d'Erythrée et de Somalie, un autre squat regroupe à Nantes plusieurs dizaines de migrants dans un presbytère du quartier Doulon depuis l'été 2014. Plusde 450 personnes ont été évacuées lundi matin d'un campement de migrants installé depuis plus d'un mois en plein centre-ville de Nantes, dans l'ouest de la France. L'opération, qui a Cet article date de plus de sept ans. Publié le 23/08/2014 0708 Durée de la vidéo 2 min. Article rédigé par Des migrants soudanais, érythréens, lybiens, syriens, expulsés en juillet d'un squatt de Nantes, ont trouvé refuge dans un ancien presbytère. Soudan, Eythrée, Tchad... Ils ont tous fui des pays en guerre à régime dictatorial. Ils ont pour la plupart des papiers, récépissé de demande de droit d'asile ou carte de séjour, mais en sont réduits à loger dans un squatt, comme celui de la rue des Stocks, à Nantes Loire-Atlantique.Un huissier mandaté par la mairie de Nantes est passé deux fois pour constater l'occupation et relever quelques identités. Les migrants ont été expulsés le 30 juillet. La mairie, contactée, se donne du temps pour étudier la situation. Les locaux, qui lui appartiennent, sont vacants depuis six comme le souligne Pierre Robas, du collectif de soutien aux expulsés "La culture en marche", "ça ne demande pas des moyens énormes pour une municipalité de mettre un local comme celui-ci aux normes pour que des gens puissent y vivre". Les associations, parmi lesquelles le collectif "Solidaires", réclament "un relogement pérenne, viable, satisfaisant pour l'ensemble des migrants", selon les mots de Jean Brunacci. Les migrants expulsés occupent aujourd'hui le presbytère du quartier de Doulon. Collectifde soutien aux migrants 44 Collectif de soutien de l’EHESS aux sans-papiers et aux migrant-e-s Collectif du Cercle de silence de Poitiers Collectif Justice & Libertés Collectif Lille nouvelle jungle Collectif Loire (42) "Pour que personne ne dorme à la rue" Collectif Migrants Paris 19ème Collectif Romeurope du Val Maubuée Collectif Saint-Lois d’Aide aux Migrants Collectif Une permanence hebdomadaire bilingue est mise en place depuis le lundi 12 février afin de soulager - un peu - les innombrables souffrances endurées par les migrant toutes personnes en situation de migration femmes, hommes, jeunes, anglophones, francophones…, nous ouvrons une permanence psychologique groupale, tenue par des facilitateurs-psychologues les lundis de 15 h à 17 h 30, au local de Mille Bâbords, 61 rue Consolat, 13001 Cette permanence a pour objectif de cerner les demandes des personnes en situation de migration afin de construire, de manière participative, un dispositif futur adapté aux attentes exprimées. Cet espace doit permettre de mettre des mots sur les émotions ressenties lors de l’arrivée en France. La déception liée à l’accueil, les difficultés d’accès aux services, les barrières des institutions, l’isolement, les vulnérabilités liées au genre et/ou à la famille, le manque d’activité valorisante, l’absence de place dans la société et l’attente d’une réponse administrative sont autant de violences qui répètent celles du parcours et qui peuvent plonger chacune dans le désespoir et la détresse. Le groupe devrait aider à sortir de l’isolement,à développer sa capacité à faire face à ses émotions,à demander de l’aide aux autres quand une situation nous submerge,redynamiser sa capacité à penser,à utiliser des ressources développées collectivement pour faire face aux situations personnelles,à trouver de la valeur et du sens au soutien qu’on est capable d’apporter aux autres. To all persons in migration process women, men, youth, English speaker, French speaker…, we start a Psychological Permanence in form of support group, hold by facilitators who are also psychologists, every Mondays, from 3 PM to PM, to the Mille Bâbords place, 61 rue Consolat, 13001 Marseille. Itinerary from Manba 6min. This permanence goal’s is to make emerge asking of persons in migration process in order to build, in participative way, the future disposal that answering the demands. This space should make you able to put words on emotions felt when you arrived in France. The disappointment about the arrival, the hard access to services, institutional obstacle, isolation, family and gender vulnerabilities, lack of valuing activities, lack of position in society and the long waiting time about administrative processes, are all type of violence. This violence repeats the ones you experimented on your way here, and can push anyone in hopelessness and suffering. The support group should help with breaking isolationdeveloping your ability to cope with emotionsencouraging you to looking for help when a situation and feelings overwhelmed yourestore a thinking process when violence had freezed itusing coping mechanism developed together to face personal issuesidentify value and meaning about your own ability to support others. Restore self-esteem. Source
Lesport à Nantes, c’est 60 000 licenciés et 384 associations sportives bénéficiant de plus de 250 équipements sportifs. Après la pause estivale, le temps de la reprise est donc arrivé. Le sport retrouve donc en cette rentrée des associations, clubs et pratiquants. C’est également l’occasion de profiter de trois temps forts qui rythment ce mois de septembre.
Des centaines de migrants » occupaient en toute illégalité, depuis quatre mois, les locaux de l’université de Nantes, avec le soutien d’un collectif d’étudiants mais aussi celui de plusieurs associations, notamment la Ligue des droits de l’homme, la CGT, et même le CROUS. Confrontées à une situation devenue intenable – dégradations », durcissement d’un mouvement à plusieurs visages », confusion des luttes », entrées par effraction dans les locaux techniques », menaces, intimidations physiques sur des personnels » de l’aveu du président de l’université, Olivier Laboux –, les autorités ont procédé mercredi à l’expulsion des squatteurs de ces lieux. D’où ramdam et indignation de la part des assoces et autres collabos de l’immigration-invasion qui, mercredi soir, se sont rassemblés devant la préfecture afin de demander des solutions de relogement et de dénoncer le fait que l’Etat ne remplit pas son obligation de fournir un hébergement à toute personne sans abri ». A noter qu’au terme de ce rassemblement, tard dans la nuit, la façade de l’université a été vandalisée et dégradée à la peinture orange. La suite ? Façon voleur chinois, et toujours avec le soutien des mêmes bien-pensants, le problème » s’est déplacé, lui aussi toujours en toute illégalité, à quelques mètres de là, à savoir dans une ancienne maison de retraite désaffectée, propriété de la métropole, et réquisitionnée » par les divers soutiens aux exilés ». Et cette fois, plus question d’expulsion. Dans une France où l’on ne regarde même plus à deux fois avant de mettre à la rue des retraités ou des familles qui ne peuvent plus payer leur loyer, à Nantes, le maire PS Johanna Rolland, tout en précisant que le maintien sur place des migrants doit se faire sous des conditions précises ? », a décidé de ne pas demander le recours de la force publique [pour déloger les migrants » de l’ancienne maison de retraite] il n’y aura pas d’évacuation jusqu’à la fin de la trêve hivernale ». Tout laisse à penser que même après la trêve hivernale, le dit hébergement se poursuive en toute illégalité. Pierre Malpouge Article paru dans Présent daté du 10 mars 2018 Société Les associations de la ville de Nantes ont alerté la ville et l'État à propos d'un campement de migrants qui s'est installé dans la ville il y a un mois. "C'est très difficile Plusieurs bénévoles venus de Clisson et ses alentours se mobilisent pour venir en aide aux migrants à Nantes. Leur objectif servir un repas chaque semaine. Par Hervé Pavageau Publié le 3 Août 18 à 1625 L'Hebdo de Sèvre et Maine Fanny et Julien souhaitent désormais poursuivre leur action en faveur des migrants. ©L’Hebdo de Sèvre et Maine C’est avec les petits grains de riz qu’on fait les grandes salades ». Pour démontrer qu’avec un peu d’entraide, il est possible de faire de grandes choses, plusieurs bénévoles de l’association Bouillon Collectif en appellent à la générosité des habitants du Vignoble, afin de venir en aide aux migrants de Nantes. Evacués du square Daviais le 23 juillet, ce sont plus de 400 exilés qui se retrouvent souvent en situation leur apporter soutien et nourriture, plusieurs associations se mobilisent chaque jour. C’est le cas également de plusieurs citoyens clissonnais, qui ont souhaité apporter leur pierre à l’édifice. Je suis le parcours de ces exilés depuis qu’ils étaient à l’EHPAD à Nantes », raconte Fanny, qui espère interpeller le plus grand nombre On n’a pas besoin d’être un militant actif, intégré à Nantes, pour apporter son grain de riz ».Avec la Petite Maison Utopique, bar associatif clissonnais, ils ont décidé de lancer une collecte auprès des habitants, leur permettant ensuite de préparer un repas chaud pour ces exilés de Nantes. En lien étroit avec l’Autre Cantine, association nantaise, les bénévoles ont pu distribuer lundi dernier près de 400 repas, ainsi que des produits d’hygiène, au sein d’un lycée nantais où les migrants ont été première pour ces Clissonnais, qui entendent désormais poursuivre leur action chaque lundi qui souhaitent désormais poursuivre cette action chaque lundi. L’association collecte gaz, semoule, riz, pâtes, huiles, légumes… Possibilité de déposer vos denrées le vendredi matin à la Petite Maison Utopique, en bas des Halles de Clisson. Renseignements au 06 78 81 43 26. Une cagnotte en ligne sera bientôt disponible pour participer aux repas. Renseignements par mail [email protected]Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre L'Hebdo de Sèvre et Maine dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites. yl0uxal.
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