11févr. 2021 - Découvrez le tableau "Mangeoire chÚvre" de Océane Chaux-Jean sur Pinterest. Voir plus d'idées sur le thÚme mangeoire chÚvre, chÚvre, jouets chÚvre.
Pour rester en bonne santĂ© et en forme, les lapins doivent manger du foin. Le foin est riche en fibres, qui assurent le bon fonctionnement du systĂšme digestif du lapin et prĂ©viennent la stase gastro-intestinale, qui peut ĂȘtre fatale. Ronger du foin aide Ă©galement les dents de votre lapin Ă  se limer naturellement, ce qui est bĂ©nĂ©fique pour sa santĂ©. Enfin, une quantitĂ© suffisante de foin empĂȘche votre lapin de prendre de l’embonpoint. Si votre lapin refuse de manger du foin, vous avez un problĂšme qui pourrait se transformer en quelque chose de beaucoup plus dangereux Ă  l’avenir. Vous avez tout intĂ©rĂȘt Ă  faire en sorte que votre lapin mange du foin le plus tĂŽt possible. Voyons d’abord pourquoi certains lapins refusent de manger du foin, puis nous verrons comment convaincre votre lapin de manger du foin. Pourquoi est-il nĂ©cessaire que votre lapin mange du foin ?Sommaire1 Pourquoi est-il nĂ©cessaire que votre lapin mange du foin ?2 La teneur en fibres3 Mon lapin ne mange pas son foin, que faire ? 1. Assurez-vous que le foin de votre lapin est 2. Changez le foin que vos lapins 3. Variez le foin que mangent vos 4. Limitez les aliments que votre lapin 5. Amusez-vous Ă  nourrir votre lapin avec du 6. Combinez le foin avec les aliments prĂ©fĂ©rĂ©s de votre 7. Recouvrez le bac Ă  litiĂšre du lapin avec du 8. Essayez un autre type de rĂątelier Ă  9. Combinez des lĂ©gumes verts frais et du Conclusion Les lapins sont des herbivores, ce qui signifie qu’ils ne se nourrissent normalement que de plantes. Cependant, ils peuvent, comme les humains, dĂ©velopper des habitudes alimentaires indĂ©sirables, et il est de notre responsabilitĂ©, en tant que parents, de les aider Ă  se dĂ©faire de ces mauvaises habitudes. Le foin doit reprĂ©senter environ 80 % de l’alimentation d’un lapin. Les granulĂ©s pour lapins et les lĂ©gumes verts ou frais doivent reprĂ©senter les 20 % restants. Les lapins doivent avoir un accĂšs illimitĂ© au foin, les granulĂ©s et les lĂ©gumes frais Ă©tant proposĂ©s une ou deux fois par jour en petites quantitĂ©s. La teneur en fibres La teneur Ă©levĂ©e en fibres du foin est cruciale pour la santĂ© digestive et le bonheur de votre petit lapin. Le systĂšme digestif d’un lapin est complexe, aussi, au lieu de ne manger que quelques repas par jour, il est prĂ©fĂ©rable qu’il grignote toute la journĂ©e du foin, et non des granulĂ©s ou des friandises. Le foin Ă  fibres longues permet au tube digestif de fonctionner correctement, Ă©vitant ainsi les blocages de selles qui peuvent ĂȘtre fatals pour un lapin et une flore intestinale dĂ©sordonnĂ©e, qui peut avoir divers effets nĂ©gatifs sur sa santĂ©. Enfin, en faisant manger du foin Ă  votre lapin et en lui faisant mĂącher des brindilles, vous Ă©conomiserez de l’argent pour faire “limer” ou “tailler” ses dents chez le vĂ©tĂ©rinaire ! Cela Ă©vitera qu’il se fasse une malocclusion dentaire. Les lapins ont 28 dents, qu’ils utilisent constamment. Chaque annĂ©e, les dents d’un lapin peuvent pousser jusqu’à 12 cm ! Manger du foin Ă  longues fibres avec son mouvement de mastication latĂ©ral est l’approche la plus naturelle et la plus efficace pour user ses dents et Ă©viter un voyage coĂ»teux et stressant chez le vĂ©tĂ©rinaire. 24 heures sur 24, votre lapin doit avoir un accĂšs simple et facile au foin. Votre lapin consommera chaque jour un monticule de foin de sa taille s’il a des habitudes alimentaires saines. Mon lapin ne mange pas son foin, que faire ? Pour faire manger du foin Ă  votre lapin, suivez ces Ă©tapes Vous devez essayer chacune de ces mĂ©thodes pour faire manger du foin Ă  votre lapin. N’ayez pas peur de les essayer toutes en mĂȘme temps, car le foin est nĂ©cessaire Ă  la santĂ© de votre lapin. 1. Assurez-vous que le foin de votre lapin est frais. Nous savons tous que l’odeur renforce la saveur et le plaisir de la nourriture, et l’odorat des lapins est supĂ©rieur au nĂŽtre. Un lapin cessera souvent de manger du foin qui n’est plus frais, ou un qui est devenu sec. Pour que le foin de votre lapin reste frais, commencez par le conserver dans un rĂ©cipient hermĂ©tique. Vous pouvez transfĂ©rer le foin de nos lapins du sac dans lequel il a Ă©tĂ© livrĂ© dans un grand bac en plastique avec un couvercle sĂ©curisĂ©. La plupart des sacs de foin peuvent ĂȘtre rangĂ©s dans un rĂ©cipient de cinq litres. Pour ĂȘtre clair, votre conteneur de stockage de foin n’a pas besoin d’ĂȘtre hermĂ©tique, il doit simplement ĂȘtre bien fermĂ©. On trouve parfois des boĂźtes de conservation en animalerie. Gardez une quantitĂ© appropriĂ©e de foin Ă  disposition de votre lapin pour qu’il puisse le consommer, c’est la prochaine Ă©tape pour s’assurer qu’il dispose de foin frais. Pensez Ă  en acheter de nouveau avant qu’il n’en ai plus ! Comme nous l’avons dit prĂ©cĂ©demment, un lapin consomme chaque jour un monticule de foin de sa taille. Cela signifie qu’il doit pouvoir en recevoir un peu plus chaque jour. Si vous mettez beaucoup plus de foin que ce que votre lapin peut utiliser en une journĂ©e, il ne sera pas aussi frais. Astuce je n’aime pas gaspiller le foin, et j’ai dĂ©couvert que le fait de mĂ©langer le foin d’hier avec du foin frais lui donne un nouvel arĂŽme, et nos lapins commencent immĂ©diatement Ă  le manger. Utilisez le foin du jour prĂ©cĂ©dent dans la litiĂšre de votre lapin et le foin frais dehors pour le manger si vous ne voulez pas mĂ©langer le foin rassis avec le foin frais. 2. Changez le foin que vos lapins mangent. Nous avons testĂ© de nombreuses marques de foin et nous avons dĂ©cidĂ© que le foin de flĂ©ole des prĂ©s est le meilleur pour eux. Mais d’autres marques et sortes de foins peuvent Ă©galement convenir. =>N’hĂ©sitez Ă  consulter notre guide et comparatif des meilleurs foins 3. Variez le foin que mangent vos lapins Le foin existe dans une grande variĂ©tĂ© de saveurs, et certains lapins en prĂ©fĂšrent une aux autres. Cela demande un peu d’entraĂźnement, mais cela en vaut la peine pour garder votre prĂ©cieux lapin en bonne santĂ©. En raison de la qualitĂ© des fibres longues du foin et de la faible proportion de poussiĂšre par rapport au foin, nous sommes de fervents partisans de la marque de nourriture pour lapins Oxbow, tant pour le foin que pour les granulĂ©s. Le foin de luzerne a une teneur en calcium et en protĂ©ines plus Ă©levĂ©e que le foin de flĂ©ole des prĂ©s, mais elle contient moins de fibres. C’est un foin dĂ©licieux que la plupart des lapins apprĂ©cient. Lorsqu’elle est donnĂ©e aux jeunes lapins avec modĂ©ration, elle peut certainement les aider Ă  grandir plus vite. Les lapins adultes prendraient du poids s’ils Ă©taient nourris uniquement que de foin de luzerne. Ce foin est donc rĂ©servĂ© aux jeunes lapereaux de moins de 6 mois Essayez donc une variĂ©tĂ© de foin jusqu’à ce que vous en trouviez un que votre lapin apprĂ©cie. Essayez ensuite de combiner plusieurs sortes avec son prĂ©fĂ©rĂ© jusqu’à ce qu’il les apprĂ©cie tous. 4. Limitez les aliments que votre lapin apprĂ©cie. De nombreux lapins prennent l’habitude malsaine de ne manger que des granulĂ©s et des lĂ©gumes frais. Au lieu de manger son foin, votre lapin choisira d’attendre tant qu’il sait que quelque chose de meilleur arrive bientĂŽt. Astuce Votre lapin ne va pas mourir de faim. Donnez-lui un jour ou deux avec seulement du foin et voyez Ă  quelle vitesse votre lapin commence Ă  le consommer ! 5. Amusez-vous Ă  nourrir votre lapin avec du foin Certains lapins prĂ©fĂšrent manger du foin provenant de tas de terre, mais la majoritĂ© prĂ©fĂšre quelque chose de plus intriguant. Un rĂątelier Ă  foin permet de garder le foin en hauteur et au sec tout en limitant les dĂ©gĂąts. Voici d’autres idĂ©es pour rendre le foin plus fascinant et excitant pour votre lapin Remplissez une boĂźte de foin et faites un trou dedans pour que votre lapin puisse la de foin un rouleau de papier Ă  l’intĂ©rieur d’un jouet pour lapin avec des trous que votre lapin pourra explorer. Vous serez Ă©tonnĂ© de voir Ă  quel point un petit jeu de lapin combinĂ© Ă  une alimentation en foin peut avoir un impact important pour certains lapins. 6. Combinez le foin avec les aliments prĂ©fĂ©rĂ©s de votre lapin. Utilisez cette mĂ©thode avec prudence, mais elle peut changer la donne pour un lapin particuliĂšrement obstinĂ©. Au lieu de donner du foin sĂ©parĂ©ment des granulĂ©s ou des lĂ©gumes, mĂ©langez-les avec le foin dans la mangeoire Ă  foin. Au minimum, votre lapin creusera dans le foin pour atteindre les friandises et, ce faisant, il apprendra peut-ĂȘtre Ă  manger le foin. 7. Recouvrez le bac Ă  litiĂšre du lapin avec du foin. Bon, je reconnais que celle-ci semble un peu Ă©trange, mais elle fonctionne pour beaucoup de lapins. Votre lapin va probablement faire ses besoins en mangeant, comme vous l’avez dĂ©jĂ  remarquĂ©. Presque tous les lapins le font. Utilisez cet instinct naturel Ă  votre avantage et suspendez votre foin au-dessus du bac Ă  litiĂšre. Nous aimons garder le bac Ă  litiĂšre dans le coin de la cage du lapin, et le foin dans une mangeoire ou un rĂątelier Ă  foin montĂ©e sur le mur au-dessus du bac Ă  litiĂšre. 8. Essayez un autre type de rĂątelier Ă  foin. Il est possible que l’odeur de votre rĂątelier Ă  foin dĂ©range votre lapin. Peut-ĂȘtre n’aime-t-il pas le plastique, ou peut-ĂȘtre le mĂ©tal lui donne-t-il froid au nez. 9. Combinez des lĂ©gumes verts frais et du foin. Les lĂ©gumes verts frais sont prĂ©fĂ©rĂ©s par presque tous les lapins au foin, alors ajoutez ou cachez des lĂ©gumes verts frais dans le foin. Les lapins apprĂ©cient les pissenlits et une variĂ©tĂ© d’autres mauvaises herbes ; cependant, Ă©vitez de leur donner des lĂ©gumes verts qui ont Ă©tĂ© pulvĂ©risĂ©s avec des pesticides. Gardez Ă©galement Ă  l’esprit que les lĂ©gumes verts ne doivent pas reprĂ©senter plus de 20 % de leur alimentation globale, et que si vous les incorporez Ă  leur foin, ils ne doivent pas reprĂ©senter plus de 10 % du volume total du foin. Fouiller dans le foin et en manger une partie pour dĂ©couvrir les lĂ©gumes verts peu communs fait partie du plaisir. Conclusion Avant tout, gardez Ă  l’esprit que vous et votre lapin n’ĂȘtes pas seuls dans cette situation. C’est un problĂšme courant chez les amateurs de lapins. Lorsqu’il s’agit de manger, de nombreux lapins, comme nous les humains, prĂ©fĂšrent la commoditĂ© Ă  la santĂ©. NĂ©anmoins, il est de notre devoir, en tant que propriĂ©taires de lapins, de les aider Ă  dĂ©velopper des habitudes alimentaires plus saines. Ils seront en meilleure santĂ© et plus heureux, et vous Ă©conomiserez beaucoup d’argent en factures de vĂ©tĂ©rinaire et peut-ĂȘtre mĂȘme en chagrin.
rĂątelierpour veaux XL-5/XL-10. acier galvanisĂ© fixation murale. RĂątelier solide,galvanisĂ©,simple Ă  monter Ă  l’intĂ©rieur de la niche pour veau. Dimensions du rĂątelier d’une niche de groupe : 118 cm x 39 cm x 27 cm (l x p x h).
La CHEVRE.... tout un programme ! Pour vous faire dĂ©couvrir quelque peu cet animal si particulier et attachant, voici quelques unes des particularitĂ©s Ă  connaĂźtre ! Un animal intelligent, vif et facĂ©tieux La chĂšvre est un animal trĂšs intelligent, fier, naturellement curieux mais restant un minimum craintif face Ă  de nouvelles situations de part son statut d'herbivore-proie. Par l'observation, la chĂšvre comprend rapidement son environnement... d'ailleurs, ce dernier point peut ĂȘtre Ă  double tranchant car certaines chĂšvres peuvent comprendre comment ouvrir une porte, passer des clĂŽtures, etc. ! Elle a un esprit vif, elle est pleine de vitalitĂ©, elle communique beaucoup, adore jouer et ĂȘtre le centre de l'attention. > Une personnalitĂ© affirmĂ©e La chĂšvre Ă  une forte personnalitĂ©. Elle sait ce qu'elle veut ou ce qu'elle ne veut pas, ce qui est probablement Ă  l'origine de sa rĂ©putation d'animal tĂȘtu ! Elle est Ă©galement fiĂšre et aimera par exemple dominer en grimpant sur des rochers et dĂ©testera se retrouver dans des positions basses comme sur le dos ce qui est humiliant pour elle. Pouvoir convaincre une chĂšvre de faire quelque chose dont elle n'a pas envie ne sera pas toujours le plus facile, il faudra faire preuve d'autant de dĂ©termination qu'elle ! Mais avec de l'amour et surtout une main de fer dans un gant de velours, notre petite chĂšvre irait jusqu'au bout du monde pour nous faire plaisir ! > Les limites sont faites pour ĂȘtre dĂ©passĂ©es ! ... Tel pourrait ĂȘtre l'adage des chĂšvres ! En effet, son esprit Ă©prit de libertĂ© et sa curiositĂ© la poussent souvent Ă  l'exploration au-delĂ  des limites fixĂ©es... juste pour voir ce qu'il y a derriĂšre ! La chĂšvre n'aime pas les contraintes et il est trĂšs tentant pour elle de les ignorer. De ce fait, que ce soit en terme de clĂŽtures ou d'Ă©ducation, il faut que les limites soient fermes et solides ! > Instinct de proie Pour comprendre le comportement d'une chĂšvre, il faut toujours garder Ă  l'esprit que c'est une proie herbivore qui agira en tant que tel face au danger, c'est-Ă -dire en choisissant la fuite ! En effet, elle n'a ni crocs, ni griffes, ni la puissance nĂ©cessaire pour faire face Ă  un chien principal prĂ©dateur de la chĂšvre en France... Elle Ă©met un bruit caractĂ©ristique pour exprimer sa peur, outre une attitude en Ă©veil, elle pousse de petits Ă©ternuements caractĂ©ristiques. > Une grande curiositĂ© La chĂšvre est de nature trĂšs curieuse au point oĂč elle peut en oublier tout danger y compris un danger rĂ©el pour assouvir sa curiositĂ© ! Elle a besoin d'explorer, de sentir, goĂ»ter ou toucher Ă  tout... Ce sont dans ces moments-lĂ  oĂč la chĂšvre peut par exemple se coincer la tĂȘte dans une maille de grillage, etc. > Un animal de compagnie aux dĂ©buts hĂ©sitants La chĂšvre miniature n'est pas Ă  ce jour une race reconnue en France et aucune sĂ©lection vĂ©ritable n'a Ă©tĂ© faite sur elle. Seule son apparence couleurs et taille ont Ă©tĂ© prises en compte lors de la reproduction. Ainsi, sauf exception ou chevreau Ă©levĂ© au biberon, la chĂšvre miniature n'est donc pas si facilement apprivoisable que les races de chĂšvres d'Ă©levage telles que les Alpines que nous Ă©levons par ailleurs les chĂšvres d'Ă©levage trop sauvages sont gĂ©nĂ©ralement envoyĂ©es Ă  l'abattoir car l'Ă©leveur ne s'embĂȘtera pas avec des chĂšvres qu'il ne peut pas traire quotidiennement, soigner, etc.. Il faut donc du temps et de la patience pour gagner la confiance des chĂšvres miniatures, d'autant que nos gabarit de gĂ©ant l'impressionne souvent beaucoup. Cela peut aller de quelques jours a plusieurs semaines ou plusieurs mois pour les plus rĂ©calcitrantes, selon le temps passĂ© et l'attitude des personnes. Il faudra parfois ĂȘtre plus interventionniste et obliger les plus rĂ©calcitrants Ă  ĂȘtre manipulĂ©s quotidiennement, avec douceur mais fermetĂ©, en leur faisant des choses qu'une chĂšvre trouve agrĂ©able utiliser la gourmandise -avec modĂ©ration-, les gratouiller lĂ  oĂč ils apprĂ©cient, etc. et ce mĂȘme si dans un premier temps, la panique est au rendez-vous. Il faut leur faire comprendre que notre prĂ©sence n'est pas dangereuse... Certaines pĂ©riodes comme le sevrage sont plus propices Ă  des progrĂšs rapides que par ailleurs. Nous travaillons sur la sĂ©lection de chĂšvres facilement apprivoisables, voire naturellement familiĂšres et en confiance avec l'ĂȘtre humain, mais c'est un travail de trĂšs longue haleine car il y a un trĂšs trĂšs faible pourcentage de chĂšvres au comportement intĂ©ressant qu'elles ne transmettent pas forcĂ©ment systĂ©matiquement Ă  leur descendance et aucun autre Ă©levage avec qui nous pourrions "unir nos forces", fait ce mĂȘme travail de sĂ©lection Ă  ma connaissance... car c'est Ă©videmment un problĂšme gĂ©nĂ©ralisĂ©. Mais aprĂšs avoir gagnĂ© la confiance des chĂšvres miniatures, l'on peut crĂ©er un relationnel aussi intĂ©ressant qu'avec un chien, Ă©tant donnĂ© son intelligence, son affection, sa curiositĂ© et sa vivacitĂ© naturelle ! Ce petit travail de mise en confiance est largement rĂ©compensĂ© par des annĂ©es de bonheur et de complicitĂ© ! Comportement social La chĂšvre est un animal de troupeau Ă  l'instinct grĂ©gaire dĂ©veloppĂ©. Il lui est INDISPENSABLE de vivre avec au moins un congĂ©nĂšre Ă  ses cĂŽtĂ©s ! A dĂ©faut, elle pourra ĂȘtre en prĂ©sence d'un autre herbivore mouton, Ăąne, poney... avec qui elle trouvera quelques accointances, mĂȘme si ce n'est pas idĂ©al. MalgrĂ© ce besoin impĂ©rieux de vivre au milieu de ses congĂ©nĂšres, ses relations sociales ne sont pas de tout repos. Lorsque les chĂšvres sont encore trĂšs jeunes, la hiĂ©rarchie est moins marquĂ©e et les comportements / caractĂšres sont plus souples, mais Ă  l'Ăąge de 6/12 mois, les chĂšvres dĂ©veloppent alors leur personnalitĂ© adulte et ĂȘtre le ou la mieux placĂ© dans la hiĂ©rarchie est une des prioritĂ©s, elle va dĂ©fendre sa place avec vĂ©hĂ©mence voire cruautĂ© parfois. Cela concerne surtout des chĂšvres en groupe ou troupeau car lorsque le nombre est restreint tel un duo, la chĂšvre a besoin de son compagnon et sera donc plus comprĂ©hensive avec lui, alors qu'en groupe plus important, elle pourra se permettre d'ĂȘtre plus virulente avec certains. Et tout est prĂ©texte pour affirmer la dominance comme la prioritĂ© d'accĂšs Ă  la nourriture ou Ă  l'eau... c'est une compĂ©tition permanente ! Les chĂšvres dominĂ©es ont souvent du mal Ă  accĂ©der Ă  la nourriture et peuvent se faire chahuter, parfois violemment particuliĂšrement lorsqu'il s'agit de nouvelles venues. Ainsi, acheter des chĂšvres par deux et avoir un espace suffisant et plusieurs points de distribution de nourriture sont souvent indispensables. La chĂšvre peut parfois ĂȘtre cruelle envers des chĂšvres dominĂ©es ou affaiblies une chĂšvre malade ou blessĂ©e devra ĂȘtre isolĂ©e du groupe au risque de se faire chahuter plus ou moins fortement et il faudra ĂȘtre attentif au fait qu'une chĂšvre ne puisse pas se coincer, par exemple se coincer la tĂȘte dans un interstice, sinon, les autres chĂšvres risquent fortement de s'amuser Ă  la frapper jusqu'Ă  la blesser ou pire. Cela fait partie des comportements naturels chez la chĂšvre, qu'il faut gĂ©rer particuliĂšrement lorsqu'on a un troupeau. Cf. l'article sur le comportement social des chĂšvres en troupeau, notamment lors de l'introduction de nouveaux caprins, ce qui dĂ©taillera le comportement naturel des chĂšvres > Son besoin de compagnie La chĂšvre est un animal joueur, aimant prendre de la hauteur Joueuse et facĂ©tieuse, le jeu est un bon moyen pour la chĂšvre pour dĂ©penser son Ă©nergie ! Elle aime simuler des bagarres avec ses congĂ©nĂšres, sauter "comme un cabri".... mais surtout elle adore s'amuser en prenant de la hauteur sur des rochers, des murs.... D'une part, avoir la plus haute place est un signe de dominance chez la chĂšvre y compris dans la hiĂ©rarchie, d'autre part, elle a gardĂ© son instinct de grimpeuse habille. C'est pourquoi, les particuliers ou Ă©leveurs n'ayant pas naturellement des plans surĂ©levĂ©s dans leur enclos, amĂ©nagent un petit coin avec des rochers stables ou font de petites constructions dont on peut voir un exemple ci-contre. photo Son comportement alimentaire La chĂšvre est gourmande et elle apprĂ©cie un large panel d'aliments mais pas en mĂȘme quantitĂ© ou proportion, elle se jette sans retenue sur les cĂ©rĂ©ales, le pain sec et autres friandises. Elle peut mĂȘme manger des Ă©lĂ©ments toxiques ou mortels tels que du plastique la texture l'attire, du polystyrĂšne ou encore du papier... Par contre, elle triera son alimentation fourragĂ©e, c'est-Ă -dire qu'elle ne mangera que les brins de foin ou d'herbe qui lui paraissent les meilleurs et dĂ©laissera les autres. Par ailleurs, Ă©tant un animal trĂšs propre, elle refusera toute nourriture qu'elle considĂšrera comme sale ou souillĂ©e... et elle sera la premiĂšre Ă  se servir de sa nourriture comme matelas ou mini promontoire ! D'oĂč l'intĂ©rĂȘt d'un petit rĂątelier... Pour en savoir plus sur l'alimentation de la chĂšvre > Alimentation Comportement lors du rut et des chaleurs En pĂ©riode de reproduction, la chĂšvre et le bouc ont des comportements souvent marquĂ©s... pour en savoir plus, n'hĂ©sitez pas Ă  vous rendre sur la page de la > Reproduction Retrouvez-nous sur Pourune chĂšvre de petite taille, ne mesurant que 40 Ă  50 centimĂštres au garrot, il ne faut pas construire une barriĂšre infĂ©rieure Ă  1 mĂštre de hauteur et, pour une chĂšvre normale, 1,50 mĂštre. Pensez Ă  installer un portillon

Un abri est INDISPENSABLE pour le bien-ĂȘtre et pour la survie de votre chĂšvre. Il lui permettra de s'abriter en cas de pluie ou de neige, de vent ou encore en cas de forte chaleur. Les chĂšvres ne craignent pas Ă  proprement parler le froid mĂȘme si elles ne sont pas naturellement armĂ©es pour y rĂ©sister avec leur pelage fin et peu dense et le manque de graisse sous peau elles l'accumulent plutĂŽt autour des organes, contrairement aux moutons par exemple. Elles craignent surtout l'humiditĂ© et les courants d'air. De ce fait, un abri est incontournable. Ses dimensions Sa taille sera en fonction du nombre de chĂšvres, l'on comptera 1,5 mÂČ minimum par chĂšvre. Il ne devra pas ĂȘtre trop petit pour permettre Ă  chaque chĂšvre d'ĂȘtre Ă  l'aise dans ses mouvements et Ă©viter trop de tension entre chĂšvres dĂ» au manque d'espace... mais il ne devra pas ĂȘtre trop grand non plus car en hiver, la chaleur corporelle des chĂšvres couplĂ©e Ă  la chaleur naturelle du fumier dĂ» Ă  la fermentation des couches infĂ©rieures, aideront Ă  maintenir une tempĂ©rature plus Ă©levĂ©e. Les matĂ©riaux Cet abri devra ĂȘtre solidement construit, il sera d'un matĂ©riau en dur. Il peut ĂȘtre en pierre, en parpaing ou en bois attention au type de bois trop fin ou trop fragile, les chĂšvres en se frottant contre les parois ou en rongeant un bois qui partirai en lamelles, mettraient rapidement Ă  mal leur habitat, de plus il ne serait pas assez isolant. Evitez la tĂŽle car il y fait trĂšs chaud l'Ă©tĂ© et froid l'hiver, de plus, c'est trĂšs bruyant quand il pleut. Par contre d'autres solutions plus originales peuvent ĂȘtre envisagĂ©es, telles que l'amĂ©nagement d'une caravane ou l'arriĂšre d'un fourgon. Le sol Le sol ne devra pas permettre les remontĂ©es d'eau et devra rester sec avec une litiĂšre composĂ©e de paille en couche fine l'Ă©tĂ©, elle sera Ă©paissie en hiver afin de garder un peu plus de chaleur Ă  l'intĂ©rieur, de la paille sera rajoutĂ©e ainsi rĂ©guliĂšrement afin que le sol reste sec. Plusieurs fois par an ou plus rĂ©guliĂšrement, enlever entiĂšrement la litiĂšre de l'abri trĂšs bons amendements pour le jardin aprĂšs compostage de la paille !, prĂ©voir en consĂ©quence l'ouverture principale afin de pouvoir travailler dans de bonnes conditions. Isolation / aĂ©ration L'abri pourra ĂȘtre fermĂ© lors des nuits les plus froides, sans aucun courant d'air mais une petite aĂ©ration en hauteur permettra l'Ă©vacuation des gaz Ă©mis par vos biquettes et de la condensation. Une petite fenĂȘtre pourra ĂȘtre prĂ©vue afin que les chĂšvres voient le jour lorsqu'elle sont enfermĂ©es. Les ouvertures devront se situer au sud, sud-est afin que le soleil puisse rentrer dans leur logement et ainsi rĂ©chauffer quelque peu son intĂ©rieur. Une couche isolante supplĂ©mentaire sur les parois les plus froides de l'abri pourra ĂȘtre mise en place avec de la paille, une couche de liĂšge protĂ©gĂ©e par du contre plaquĂ© marine, etc. Vous pouvez Ă©galement isoler sommairement l'entrĂ©e de la chĂšvrerie par un mur de ballots de paille afin de palier aux journĂ©es les plus froides.. AmĂ©nagements intĂ©rieurs PrĂ©voir un petit rĂątelier indispensable Ă  la distribution du foin. Attention Ă  ce que les chĂšvres ne puissent pas sauter dedans car celles-ci rechignent Ă  manger une nourriture salie qu'elles auraient piĂ©tinĂ©e ou sur laquelle elles auraient fait leurs besoins. On trouve de jolis rĂąteliers dans le commerce, il est Ă©galement possible de le fabriquer soi-mĂȘme. Une petite auge au dessous rĂ©cupĂšrera efficacement le foin tombĂ© entre les barreaux du rĂątelier et permettra d'Ă©viter Ă  la chĂšvre de se parasiter en mangeant le foin tombĂ© au sol. Vous pouvez Ă©galement placer un petit abreuvoir automatique Ă  bonne hauteur, entre 40 et 50 cm de haut selon le gabarit de la chĂšvre... il vaut mieux qu'il soit un peu trop haut et mettre un parpaing par exemple au dessous, sur lequel la chĂšvre montera pour boire, cela permettra d'Ă©viter les crottes dans l'eau lorsque l'abreuvoir est Ă  portĂ©e des "fesses" et cela laissera une marge pour que le fumier monte notamment en hiver. PrĂ©fĂ©rez un abreuvoir automatique Ă  niveau d'eau constant et Ă©vitez les abreuvoirs Ă  poussoir sur lequel la chĂšvre doit pousser avec le nez pour dĂ©clencher l'arrivĂ©e d'eau... la chĂšvre n'apprĂ©cie pas trop cela et peut ne pas s'y habituer. Un abreuvoir automatique vous permettra d'Ă©viter la corvĂ©e d'eau et sa petite contenance de 1 Ă  5 litres en moyenne permet d'Ă©viter les accidents de noyade, notamment des jeunes chevreaux qui peuvent facilement se noyer dans un seau plus profond. VĂ©rifiez quotidiennement la propretĂ© de l'eau et faites attention Ă  ce que l'eau ne gĂšle pas l'hiver. Vous pouvez Ă©galement leur mettre Ă  disposition des jeux sur lesquels elles grimperont type touret. Vous pouvez Ă©galement leur mettre des bouts de bois non traitĂ©s qu'elles rongeront avec plaisir comme des branches ou troncs de frĂȘne... Une brosse en synthĂ©tique type de cantonnier fixĂ©e aux parois sera trĂšs apprĂ©ciĂ©e des biquettes, elles pourront s'y gratter le dos et toutes les parties qu'elles n'arrivent pas Ă  atteindre et oĂč s'accumulent des fines brindilles de paille/foin, de la poussiĂšre, etc. Vous pouvez placer une cloison centrale dans un grand abri, ce qui vous permettra d'y stocker l'alimentation de vos biquettes, Ă  la seule conditions que cette partie de l'abri soit correctement fermĂ©e, isolĂ©e de l'humiditĂ© et de la condensation d'un abri trop fermĂ© avec les biquettes et hors de portĂ©e de nos chĂšres petites gourmandes ! ** Les photos de cette page ont Ă©tĂ© pĂȘchĂ©es ça et lĂ  sur le net forum essentiellement, hormis celle de la caravane amĂ©nagĂ©e chez une de nos clientes. Retrouvez-nous sur

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+ participantsAuteurMessageKanduFofoxiquĂ© Nombre de messages 12066Age 40Date d'inscription 19/07/2006Sujet Plan pour ratelier Lun 9 FĂ©v 2009 - 2203 Quelqu'un aurait-il la gentillesse de me faire un plan pour construire un ratelier? Je voudrais en faire un Ă  mes biquettes, j'ai vraiment trop de gaspillage de foin... Je suis prĂ©te Ă  le faire toute seule mais je n'ai aucune idĂ©e de plan, j'ai bien essayĂ©... En vain, chui trop nulle bonheur85Faites place, j'arrive!!Nombre de messages 54Age 47Date d'inscription 27/12/2008 ThilloMembre d'honneur Nombre de messages 9061Age 145Localisation angersDate d'inscription 03/07/2008Sujet Re Plan pour ratelier Lun 9 FĂ©v 2009 - 2239 Il n'y a pas de concurrence dans l'amour qu'on porte Ă  nos tites bĂ©bĂȘtes Et si le rĂątelier est fonctionnel quoi-que je le trouve un soupçon trop large entre les barreaux, autant essayer ce systĂšme. Je me suis dĂ©brouillĂ© pour ma part, Ă  trouver une palette bien faite que j'ai fixĂ©e dans l'abris des bibis pour qu'elle soit de biais vers soi quand on se trouve devant. Par-contre si on peut tenter de fermer au-dessus ce ne serait que mieux car nos charmantes bibis peuvent tout essayer pour se retrouver dans le rĂątelier LuluFofoxiquĂ© Nombre de messages 2049Age 38Localisation VosgesDate d'inscription 02/05/2007Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 949 tu peux regarder les rateliers que j'ai fait ils sont en photos sur mon blog Cabri Nombre de messages 267Age 48Localisation Sint Pieters Leeuw BelgiqueDate d'inscription 30/01/2009Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 1004 SI cela peut aider, voici le dernier ratelier que j'ai fais. Je suis enfin content du foin est chargĂ© par le dessus. les chevreaux ne peuvent pas entrer dedant pour parfumer le foin Ce qui tombe ne tombe pas au sol mais dans la mangeaoire les les chĂšvres mangent ce "petit foin" plus tard ou avec leurs cĂ©rĂ©ales et la mangeoire sert aussi d'abris pour les chevreaux qui dorment en dessous sans risquer un coup de patte. sabineFofoxiquĂ©Nombre de messages 5434Age 61Localisation GRAND ESTDate d'inscription 22/04/2007 OrianeAdmin Nombre de messages 32549Age 45Localisation isĂšre 38Date d'inscription 04/11/2006Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 1058 nickel sabine super rĂ©sumĂ© jack le tien est de compĂ©tition bravo!!! c'est gĂ©nial!! tu pourrais nous faire une vue de dessus? Cabri Nombre de messages 267Age 48Localisation Sint Pieters Leeuw BelgiqueDate d'inscription 30/01/2009Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 1111 Citation tu pourrais nous faire une vue de dessus? Je vais faire ça la prochaine fois que je vais au terrain... sans oublier l'apareil photo...En attendant, voici un plan d'ensemble du BoxLe ratelier est intĂ©grĂ© dans l'Ă©tagĂšre 90 cm de profondeur avec une ouverture de 45/60 dans l'Ă©tagĂšre qui permet de charger. TagueFofoxiquĂ© Nombre de messages 2897Age 72Localisation 53 - Nord de la MayenneDate d'inscription 01/08/2008Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 1234 C'est super toutes ces idĂ©es pour faire des rateliers. Et j'ai bien aimĂ© ton blog Lulu LuluFofoxiquĂ© Nombre de messages 2049Age 38Localisation VosgesDate d'inscription 02/05/2007Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 1325 merci beaucoup c'est gentil! n'hĂ©sites pas Ă  y aller souvent et Ă  mettre des commentaires. Je vais trĂšs bientĂŽt mettre en ligne un diaporama de tous les bĂ©bĂ©s nĂ©s chez moi.... PinkyMembre d'honneur Nombre de messages 9184Age 55Localisation Dans les deux-chĂȘvres .....Date d'inscription 08/12/2007Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 1408 Crafty a rĂ©cupĂ©rĂ© un sommier de mezzanine Ă  la dĂ©cheterie et ça donne ça Parceque le rĂątelier CĂąline en a fait sa chambre !! Nougat avait pris le lit du bas lui .... S;o OrianeAdmin Nombre de messages 32549Age 45Localisation isĂšre 38Date d'inscription 04/11/2006Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 1419 ça arrive ça des imprĂ©vus, ils en font pas nĂ©cessairement ce qu'on en pense Cabri Nombre de messages 267Age 48Localisation Sint Pieters Leeuw BelgiqueDate d'inscription 30/01/2009Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 1631 Citation tu pourrais nous faire une vue de dessus? VoilĂ  qui est fait ElodieFofoxiquĂ© Nombre de messages 8241Age 36Localisation Thiviers 24Date d'inscription 21/07/2006Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 1646 j'ai pas de ratelier non plus et justement je me demandais commen en faire un Quand j'ai fait castrĂ© voyou la semaine derniere, j'avais fait une sĂ©paration avec des palette comme toi dans la cabane !Du coup ca fait 2-3 jours que j'ai trouvĂ© le truc, je met le foin dans la palette qui est completement a gauche, on la voit pas bien, je referais une autre photo si tu veux ! sabineFofoxiquĂ©Nombre de messages 5434Age 61Localisation GRAND ESTDate d'inscription 22/04/2007Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 1857 alors kandu tu as trouvĂ© ton bonheur ?????????? ThilloMembre d'honneur Nombre de messages 9061Age 145Localisation angersDate d'inscription 03/07/2008Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 1913 Pinky! Un sommier je sais ce que c'est, une mezzanine aussi... Mais c'est quoi une sommier de mezzanine? PinkyMembre d'honneur Nombre de messages 9184Age 55Localisation Dans les deux-chĂȘvres .....Date d'inscription 08/12/2007Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 2004 C'est pour les mezzanine/lit ... c'est comme un lit superposĂ©, mais plus haut et plus grand taille grand lit 2 places. Tu fais ça quand tu as un studio par exemple avec une hauteur de plafond assez Ă©dition par Pinky le Mar 10 FĂ©v 2009 - 2006, Ă©ditĂ© 1 fois ThilloMembre d'honneur Nombre de messages 9061Age 145Localisation angersDate d'inscription 03/07/2008Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 2005 Ah! Oki merci! KanduFofoxiquĂ© Nombre de messages 12066Age 40Date d'inscription 19/07/2006Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 2036 merci pour toutes vos idĂ©es!! LouisBiquettophile Nombre de messages 697Age 28Localisation MoselleDate d'inscription 26/01/2009 bonheur85Faites place, j'arrive!!Nombre de messages 54Age 47Date d'inscription 27/12/2008Sujet Re Plan pour ratelier Mar 10 FĂ©v 2009 - 2045 normal il a Ă©tĂ© enlevĂ© ! et encore toute mes excuses ! FolieFaites place, j'arrive!! Nombre de messages 99Age 49Localisation Puy de DĂŽmeDate d'inscription 20/08/2011Sujet Re Plan pour ratelier Mer 19 Sep 2012 - 1129 Je dis Bravo Ă  il est super ingĂ©nieux ton vais m'en inspirer pour faire le mien enfin celui de mes biquettes .Le rĂ©cup' foin dessous c'est pas mal, je vais enf aire quand il sera fait. magdaAnimateur Nombre de messages 3887Age 71Localisation un petit coin de paradis.. lĂ  vous voyez ? le 23Date d'inscription 02/02/2011Sujet Re Plan pour ratelier Ven 21 Sep 2012 - 047 alors moi mon gendre m'a fait du grand m'avait Ă©tĂ© commandĂ© par une amie de Normandie qui devait le prendre, on a fait Ă  ses dimensions, il est magnifique et au moment de le payer... ben hop hop hop plus personne !!! grrrrrrrrrrrrrrrdu coup je le garde pour moi, il est dans la nouvelle cabane de mes tites 4 les photosbon pour l'instant pas de foin dedans car elles ont abondance de foin dehors et d'herbe encore bien pour cet hiver avec les grands froids les jours oĂč elles sontr fainĂ©antes Ă  sortir elles auront leur foin Ă  demeure. en plus le couvercle du dessus s'ouvre pour un mieux stockageDerniĂšre Ă©dition par magda le Ven 21 Sep 2012 - 051, Ă©ditĂ© 1 fois magdaAnimateur Nombre de messages 3887Age 71Localisation un petit coin de paradis.. lĂ  vous voyez ? le 23Date d'inscription 02/02/2011Sujet Re Plan pour ratelier Ven 21 Sep 2012 - 048 je ne mets pas encore de foin, seulement de la paille au sol propre; elles ont de l'herbe et on vient de couper les branchages, arbres ect qui gĂȘnent Contenu sponsorisĂ© Plan pour ratelier
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LA DISETTE DES FOURRAGES ET LES MOYENS D’Y REMÉDIER I. En France, les bonnes annĂ©es pour les biens de la terre sont les annĂ©es de sĂ©cheresse. Les grandes pluies font verser les cĂ©rĂ©ales et pousser les mauvaises herbes ; elles empĂȘchent la dessiccation des javelles, rendent la rentrĂ©e des rĂ©coltes difficile et provoquent mĂȘme la germination du grain dans l’épi. Sous leur influence, les fleurs, — celles de la vigne notamment, — coulent, et les fruits mĂ»rissent mal. Les pluies abondantes dĂ©lavent les terres, et les eaux entraĂźnent Ă  la mer les principes fertilisans. Les pĂąturages sont Ă  la vĂ©ritĂ© plantureux, et les prĂ©s donnent de fortes coupes ; mais les herbes sont peu nutritives, et les fourrages, mal rĂ©coltĂ©s, se conservent difficilement ; ils sont souvent insalubres. La sĂ©cheresse est plus favorable Ă  nos principales rĂ©coltes que la grande humiditĂ©, et cette annĂ©e, malgrĂ© une chaleur continue dont on a vu peu d’exemples et une absence complĂšte de pluie pendant les mois oĂč elle est le plus nĂ©cessaire, le rendement des principaux produits de notre agriculture sera encore passable dans la plupart des localitĂ©s. Celui des rĂ©coltes d’hiver, du seigle, du blĂ©, sera gĂ©nĂ©ralement peu infĂ©rieur Ă  celui d’une rĂ©colte moyenne ; les plantes ligneuses, la vigne, l’olivier, le chĂątaignier, n’ont pas encore souffert. Quand nous obtenons de ces vĂ©gĂ©taux une bonne rĂ©colte, notre subsistance est assurĂ©e. À la vĂ©ritĂ©, les produits du jardinage sont trĂšs rares et trĂšs chers en raison de la main-d’Ɠuvre qu’exigent les arrosages indispensables pour les faire prospĂ©rer ; les plantes d’étĂ© de grande culture, les pommes de terre, les lĂ©gumes secs, feront en partie dĂ©faut. On peut donc s’attendre Ă  une annĂ©e difficile, mais qui le sera moins cependant que les annĂ©es de pĂ©nurie et de disette qui ont Ă©tĂ© la consĂ©quence de pluies trĂšs abondantes. C’est surtout la rĂ©colte des fourrages qui est atteinte ; elle est presque nulle dans la plupart de nos dĂ©partemens. Jusqu’à ce jour, les marchĂ©s de bestiaux sont largement approvisionnĂ©s. Les cultivateurs vendent les animaux qu’ils ne peuvent pas nourrir, et cela donne de la viande sur pied Ă  bon marchĂ©, sinon de premiĂšre qualitĂ© ; mais il faut prĂ©voir les consĂ©quences du dĂ©peuplement de nos Ă©tables, et c’est avec raison que l’on se prĂ©occupe des moyens de nourrir les animaux. On peut remĂ©dier Ă  la pĂ©nurie des fourrages de deux maniĂšres d’abord en augmentant par la culture les ressources alimentaires, ensuite en utilisant le mieux possible celles dont on peut disposer, et en introduisant mĂȘme dans le rĂ©gime des animaux des produits qui n’y entrent pas en temps normal. Ce qui rend la position des agriculteurs difficile, c’est surtout la presque impossibilitĂ© de faire des cultures dĂ©robĂ©es, d’intercaler entre les cultures principales des fourrages d’étĂ©, qui remplacent si avantageusement le foin lorsque, comme cette annĂ©e, le rendement des prairies artificielles et naturelles est infĂ©rieur Ă  ce qu’il est ordinairement. Ainsi le maĂŻs, qui, semĂ© Ă  la volĂ©e, donne une si abondante rĂ©colte de fourrage vert, le sarrasin ordinaire et le sarrasin de Tartarie, qui rĂ©ussissent dans les sols les plus maigres, le millet d’Italie panicum italicum, le millet ordinaire panicum milliaceum, le moha panicum germanicum, n’ont pas pu ĂȘtre semĂ©s Ă  cause de la sĂ©cheresse, ou n’ont pas levĂ© lĂ  oĂč on les a ensemencĂ©s. A plus forte raison, il a fallu renoncer aux produits que donnent dans les annĂ©es normales l’avoine, les pois gris, la gesse d’étĂ©, les vesces, ces plantes Ă©tant plus encore que les prĂ©cĂ©dentes atteintes par la sĂ©cheresse. Toutefois les cultivateurs ne doivent pas se dĂ©courager. Il importe de profiter des pluies, mĂȘme peu abondantes et passagĂšres, pour semer quelques plantes robustes et d’une vĂ©gĂ©tation rapide. Nous leur recommandons surtout le maĂŻs, les millets, les sorgho, le sarrasin, la moutarde blanche, la navette d’étĂ©. Toutes ces plantes peuvent ĂȘtre semĂ©es jusqu’en septembre, surtout quand on ne veut les utiliser que comme fourrage. Le maĂŻs, les millets cultivĂ©s, les sorgho, sont des plantes des pays chauds ; elles peuvent rĂ©sister Ă  la sĂ©cheresse. Le sarrasin, qui peut ĂȘtre semĂ© sur les plus mauvaises terres, permet de rendre productives les bonnes terres qui, cette aimĂ©e, sont comparables aux mauvaises en temps normal. En semant ces plantes seules ou en mĂ©lange, les cultivateurs se procureraient de prĂ©cieuses ressources pour l’automne ; les pluies peuvent ĂȘtre insuffisantes pour pĂ©nĂ©trer la terre des prairies, pour faire pousser les regains, et cependant humecter assez les terres meubles pour favoriser la pousse de plantes annuelles. Il importe aussi qu’ils ne laissent aucun coin de terre improductif. Le nom de rĂ©coltes dĂ©robĂ©es donnĂ© Ă  la culture des plantes annuelles indique assez leur place en dehors de l’assolement ; mais on n’en tirerait pas tout le profit qu’elles peuvent donner, si on se contentait de les semer sur une piĂšce de terre oĂč la rĂ©colte n’a pas rĂ©ussi il faut les semer partout oĂč un espace de terre reste libre. Les plus productives, les millets, le mais, le sorgho, sont surtout utiles ; quelques pieds de ces plantes donnent une assez grande quantitĂ© de fourrage pour qu’il soit avantageux d’aller le rĂ©colter. Les crucifĂšres en gĂ©nĂ©ral, les choux en particulier, sont des plantes des terres siliceuses, des terres tourbeuses. Pourquoi ne les placerait-on pas dans des marais qui d’ordinaire restent improductifs ? Si l’on prend la prĂ©caution d’arroser le chou deux ou trois fois quand il est transplantĂ©, il s’enracine facilement, rĂ©siste Ă  la sĂ©cheresse, et reprend quand arrivent les pluies de l’automne et les fraĂźcheurs des longues nuits. Les fourrages aqueux fournis par les crucifĂšres entrent avec profit pour la santĂ© des animaux dans les rations composĂ©es avec des fourrages secs, durs, avec des pailles, des feuilles sĂšches, ainsi qu’on sera obligĂ© de les composer cette annĂ©e dans un grand nombre de fermes. Les haricots peuvent encore ĂȘtre semĂ©s. S’ils mĂ»rissent, on aura, outre le grain, les fanes, qui peuvent rendre des services pour la nourriture des bestiaux ; si l’on s’aperçoit que les froids approchent avant la maturitĂ©, on les cueillera verts, et on obtiendra un excellent lĂ©gume et un bon fourrage. Chacun connaĂźt les ressources que peuvent fournir d’autres plantes potagĂšres les laitues, les endives, la chicorĂ©e, les carottes, les betteraves, ces derniĂšres si utilement rĂ©pandues aujourd’hui dans la grande culture et si prĂ©cieuses au point de vue industriel comme au point de vue de l’hygiĂšne vĂ©tĂ©rinaire. A l’école d’Alfort, nous avons toujours fait semer les betteraves plus rapprochĂ©es qu’il ne convient de le faire pour le dĂ©veloppement de la plante, et, en faisant Ă©claircir dans le courant de l’étĂ©, nous nous procurions un bon supplĂ©ment de nourriture pour les moutons et pour les porcs. Il n’est plus temps d’avoir recours Ă  cette pratique, et, malgrĂ© la raretĂ© du fourrage, nous ne conseillerons pas d’effeuiller complĂštement, comme on le fait trop souvent dans les campagnes, les plantes d’étĂ© et d’automne, en particulier les betteraves, tout en ajoutant cependant qu’on aurait grand tort de ne pas utiliser les feuilles infĂ©rieures Ă  mesure qu’elles se flĂ©trissent, qu’elles jaunissent. On peut ainsi, sans nuire Ă  la rĂ©colte principale, avoir une nourriture salubre, rafraĂźchissante, propre Ă  maintenir en santĂ© les animaux qui vivent dans les pĂąturages dessĂ©chĂ©s en grande partie, qui broutent les arbustes des haies, et ceux qui sont conduits dans les forĂȘts. Les cultivateurs devront aussi en automne se prĂ©occuper du printemps 1871. La nourriture sera rare cet hiver. Les choux, le colza, sont les fourrages les plus prĂ©coces ; mais ces plantes ne sauraient former la base de l’alimentation des animaux d’une ferme. Il faut compter principalement sur le seigle d’abord, sur un mĂ©lange de vesces et d’une cĂ©rĂ©ale, sur le trĂšfle farouch, dont l’utilitĂ© est bien connue. SemĂ© Ă  la fin de l’étĂ©, le seigle peut fournir une coupe avant l’hiver et donner encore une trĂšs abondante rĂ©colte dans le mois d’avril suivant. GĂ©nĂ©ralement on sĂšme la vesce avec le seigle, ce dernier devant servir de rame Ă  la plante lĂ©gumineuse. Il est trĂšs convenable pour cette destination ; mais, en raison de sa prĂ©cocitĂ©, il est Ă©piĂ© et dĂ©jĂ  dur quand la vesce est bonne Ă  faucher, et il ne peut pas ĂȘtre consommĂ© par les animaux. Le blĂ© prĂ©sente Ă  cet Ă©gard un grand avantage. Il sert Ă©galement de soutien Ă  la vesce, est assez rustique pour rĂ©sister au froid de l’hiver, et il fournit par lui-mĂȘme, quand on fauche le mĂ©lange, un excellent aliment pour tous les animaux. Le prix plus Ă©levĂ© de la semence ne doit pas le faire exclure ; la dĂ©pense est largement compensĂ©e par le produit que l’on obtient. Le cultivateur sait quelles sont les plantes qui rĂ©ussissent le mieux dans chacune des parties du sol qu’il cultive ; nous n’avons rien Ă  lui apprendre sur ce point. Nous tenons seulement Ă  lui donner la volontĂ© d’essayer encore, au lieu de se laisser aller au dĂ©couragement, comme semblent le faire quelques Ă©crivains agricoles. Il est encore temps, nous le rĂ©pĂ©tons, de faire des semailles dans la plupart des terres ; quelques orages peuvent nous faire espĂ©rer un temps plus favorable, et ce serait une trĂšs grande faute, dans les conditions oĂč nous sommes, de nĂ©gliger d’ensemencer, de ne pas compter sur l’automne pour obtenir quelques produits fourragers. Si la terre, Ă©chauffĂ©e par cet Ă©tĂ© tropical, vient Ă  ĂȘtre un peu humectĂ©e, elle sera en excellente condition pour produire vite et bon. Du restĂ©, pour la plupart des plantes que nous conseillons, maĂŻs, millet, sorgho, le prix de la semence est insignifiant une graine produit une tige haute et trĂšs feuillĂ©e qui, mĂȘme en supposant une rĂ©ussite moyenne, paie largement l’avance faite Ă  la terre. II Nous avons dit qu’il faut en second lieu utiliser le mieux possible les alimens que l’on a l’habitude de faire consommer, et introduire mĂȘme dans l’alimentation du bĂ©tail des plantes et des rĂ©sidus qu’en temps ordinaire on nĂ©glige d’employer. Presque toutes les plantes et leurs principaux produits ont Ă©tĂ© analysĂ©s par les chimistes, et nous savons aujourd’hui que beaucoup de matiĂšres vĂ©gĂ©tales qui vont Ă  la fosse au fumier pourraient contribuer aussi avantageusement Ă  la nourriture des animaux que la plupart de celles que l’on utilise pour leur alimentation. Il s’agit donc d’en essayer l’emploi, de s’ingĂ©nier Ă  les faire accepter par le bĂ©tail. Un cultivateur intelligent peut ne rien laisser perdre dans sa ferme ; en mĂ©langeant les alimens durs, peu sapides, avec de l’herbe, des rĂ©sidus frais, en faisant cuire ou fermenter le mĂ©lange, il formera une nourriture qui lui rendra de grands services pendant la disette des fourrages. Les pailles des cĂ©rĂ©ales ont toujours Ă©tĂ© donnĂ©es au bĂ©tail ; mais dans beaucoup de fermes on n’en tire pas tout le parti qu’on pourrait en tirer, si on les soumettait Ă  l’action du hache-paille pour les faire entrer dans les mĂ©langes alimentaires. Les pailles dures de plusieurs plantes de la famille des crucifĂšres et des lĂ©gumineuses, les siliques et les gousses de ces mĂȘmes plantes, hachĂ©es ou Ă©crasĂ©es, et mĂȘlĂ©es Ă  des alimens pulpeux soumis au besoin Ă  la fermentation ou Ă  une simple macĂ©ration, peuvent donner une grande quantitĂ© de bonne nourriture. La paille du sarrasin est surtout mal utilisĂ©e, mĂȘme dans les pays pauvres ; elle ne forme le plus souvent qu’un mauvais engrais, car on la laisse se perdre en partie dans les cours et les fossĂ©s. C’est le cas de l’employer cette annĂ©e pour nourrir les bestiaux ; en la rĂ©coltant avec soin et en la stratifiant avec le peu d’herbe que donneront dans l’arriĂšre-saison les prairies basses, on peut se procurer une ressource utile pour l’hiver. Ce n’est pas le moment de recommander la culture du topinambour, — on plante les tubercules au printemps ; — mais c’est le moment d’insister sur l’emploi que l’on peut faire de cette prĂ©cieuse plante, qui donne de si abondans produits dans des sols oĂč la plupart des vĂ©gĂ©taux utiles meurent de misĂšre. Le topinambour n’est jamais assez cultivĂ© ; les tubercules, aprĂšs avoir fourni de l’eau-de-vie par la distillation, donnent un bon rĂ©sidu tous les animaux les recherchent, surtout quand ils sont crus ; mais ce qui est important cette annĂ©e, c’est le service que peuvent rendre les feuilles et les tiges du topinambour pour nourrir les animaux. Les premiĂšres, quoique minces, donnent, en raison de leur ampleur, beaucoup de produits ; tous les animaux les mangent fraĂźches ou sĂšches. De trĂšs judicieux agronomes ont conseillĂ© de faire des champs de topinambours, afin d’avoir des pĂąturages frais pour les moutons en aoĂ»t et septembre. Si on coupe la tige avant la chute des feuilles, on obtient des feuillards qui peuvent ĂȘtre consommĂ©s en totalitĂ© par les bestiaux, car les tiges, quoique hautes de 1 Ă  2 mĂštres, sont moelleuses, tendres ; elles sont surtout prĂ©cieuses, si on les hache, si on les Ă©crase, si on les mĂȘle Ă  des produits herbacĂ©s, aqueux, pulpeux. Elles dessĂšchent ces produits, et deviennent elles-mĂȘmes aqueuses et tendres. — N’oublions pas de mentionner le dahlia. Les amateurs lui reprochent de prendre trop de dĂ©veloppement ; pour eux, les variĂ©tĂ©s naines sont les plus estimĂ©es. Celles-ci ne conservent pas longtemps leur caractĂšre, et ce dĂ©faut de grandir trop facilement, qui semble propre Ă  la plante, est une prĂ©cieuse qualitĂ© au point de vue qui nous occupe. Toutes les parties du dahlia sont alimentaires. Les porcs surtout en mangent avec aviditĂ© les fleurs et les tubercules ou bourgeons souterrains. Nous les avons utilisĂ©s Ă  l’école d’Alfort, et nous les avons vu utiliser en Angleterre, oĂč ils contribuent partout Ă  embellir le petit jardin que chaque habitant des villages et des petites villes a devant sa maison. Les vignes, les treilles, fournissent des pampres, que l’on enlĂšve en Ă©bourgeonnant, et que l’on utilise avec grand avantage au printemps et en Ă©tĂ© pour la nourriture des animaux. Les cultivateurs du Mont-d’Or lyonnais ramassent les feuilles de vigne avec soin aprĂšs les vendanges ; ils les tassent fortement dans des fosses en bĂ©tons en planches ou en maçonnerie, les y disposent par couches Ă  mesure qu’ils les ramassent, et rĂ©pandent sur chaque couche du sel, quelquefois des baies de geniĂšvre. Quand la fosse est pleine, ils couvrent les feuilles de planches sur lesquelles ils mettent de grosses pierres pour qu’elles soient fortement pressĂ©es. Cette nourriture sert Ă  alimenter en partie, les chĂšvres qui donnent l’excellent fromage du Mont-d’Or jusqu’au mois de mars ou d’avril. Les feuilles de vigne sont trĂšs riches en azote ; on les donne avec profit aux vaches laitiĂšres. Le bois de la vigne, les sarmens, peuvent mĂȘme ĂȘtre utilisĂ©s comme aliment ; depuis un demi-siĂšcle, toutes les fois qu’il y a eu disette de fourrages, on en fait consommer par les animaux, et derniĂšrement un industriel nous en a prĂ©sentĂ© des Ă©chantillons qui avaient Ă©tĂ© rĂ©duits Ă  l’état presque pulvĂ©rulent. Il suffit du reste de les hacher, de les Ă©craser, et de les faire macĂ©rer vingt-quatre heures avant de les administrer, surtout si on les mĂȘle Ă  d’autres alimens. Pourquoi ne couperait-on pas aprĂšs les vendanges, avant la maturitĂ© du bois, le sommet des sarmens, pendant que les feuilles y adhĂšrent encore ? On obtiendrait ainsi, sans nuire Ă  la vigne, un fourrage que tous les animaux prendraient avec plaisir. La taille dĂ©finitive se ferait aprĂšs l’hiver, comme Ă  l’ordinaire. Cette pratique rapporterait plus que celle que l’on met en usage dans le Mont-d’Or lyonnais. Mentionnons encore le marc de raisin, qui, mĂȘme aprĂšs avoir Ă©tĂ© distillĂ©, peut ĂȘtre avantageusement mĂȘlĂ© Ă  d’autres alimens les pĂ©pins sont riches en corps gras et en albuminoĂŻde. En partant de ce qu’un hectare de vigne peut fournir en pampres et en marc, M. Jules Guyot, qui a si bien Ă©tudiĂ© nos vignobles et les ressources qu’ils peuvent offrir, estime que nos 2,500,000 hectares de vigne pourraient fournir 5 milliards de kilogrammes d’excellens alimens qui, Ă  20 kilogrammes par jour et par tĂȘte, nourriraient 2,500,000 tĂȘtes de gros bĂ©tail pendant 100 jours. De tout temps, les feuilles des arbres ont Ă©tĂ© employĂ©es Ă  la nourriture du bĂ©tail, dans les contrĂ©es mĂ©ridionales surtout, oĂč la sĂ©cheresse arrĂȘte si souvent la pousse des plantes herbacĂ©es, et oĂč il faut utiliser toutes les ressources alimentaires dont on peut disposer. Les cultivateurs de nos dĂ©partemens du midi, quand vers la fin de l’étĂ© l’herbe est rare dans les pĂąturages, Ă©laguent les arbres qui se trouvent sur les lisiĂšres des chaumes, des landes, et les branches abattues, dispersĂ©es par le berger, sont mises Ă  la portĂ©e de toutes les bĂȘtes du troupeau. Nous n’oserions pas conseiller cette pratique aux cultivateurs de nos pays Ă  riches pĂąturages dans une annĂ©e ordinaire, mais cette annĂ©e il faut faire flĂšche de tout bois. La plupart des arbres de nos pays ont des feuilles alimentaires. Nous citerons l’orme, le frĂȘne, le cerisier, le chĂȘne, le charme, les Ă©rables, les peupliers, le tilleul, le bouleau, le marronnier d’Inde, le hĂȘtre, l’aulne, l’olivier, etc. L’acacia, qu’on a prĂ©conisĂ© comme propre Ă  former des prairies aĂ©riennes, qui est si rĂ©pandu en France et qui prospĂšre si bien sur les mauvais sols, sur les talus des chemins de fer, fournit de trĂšs bonnes feuilles que l’on utilise, vertes le plus souvent, malgrĂ© les Ă©pines que portent les branches. Dans les annĂ©es oĂč les fourrages d’étĂ© sont abondans, c’est pour augmenter les provisions d’hiver que l’on a recours aux feuilles des arbres. On les rĂ©colte en branches pour en former des fagots appelĂ©s feuillards, qu’il est facile de faire sĂ©cher. Ainsi conservĂ©es, elles conviennent surtout pour les moutons. Avec un peu de paille et quelques heures de pĂąturage dans les genestiĂšres ou dans les bruyĂšres, les feuillards forment dans plusieurs de nos provinces l’unique nourriture des troupeaux. — On rĂ©colte aussi les feuilles Ă  la main, particuliĂšrement celles des jeunes branches que l’on ne veut pas couper pour en faire des feuillards et celles de quelques arbrisseaux le noisetier, le mĂ»rier multicaule, le lierre grimpant, qui ont des propriĂ©tĂ©s toniques trĂšs marquĂ©es. On peut les conserver dans des fosses, comme on le fait pour les feuilles de vigne dans le Lyonnais et pour les feuilles de betterave dans le nord. Les feuilles dĂ©tachĂ©es, fraĂźches ou conservĂ©es en silos, entreraient trĂšs bien dans tous les mĂ©langes alimentaires, et contribueraient ainsi Ă  la nourriture mĂȘme des bĂȘtes de rente. AjoutĂ©es aux pulpes, aux rĂ©sidus aqueux, mĂ©langĂ©es avec des feuilles plus aqueuses et plus succulentes, arrosĂ©es avec de l’eau mĂ©lassĂ©e ou de l’eau tenant en suspension des tourteaux, elles servent Ă  former de bonnes provendes, trĂšs convenables pour les vaches laitiĂšres ; mĂȘlĂ©es Ă  des racines coupĂ©es, Ă  quelques grains concassĂ©s, elles peuvent avantageusement ĂȘtre administrĂ©es aux attelages. Les feuilles vertes sont moins aqueuses que l’herbe des prĂ©s et plus riches en azote ; d’aprĂšs quelques auteurs, les feuilles sĂšches auraient une valeur Ă  peu prĂšs Ă©quivalente Ă  celle du foin. Celles de plusieurs arbres ont Ă©tĂ© analysĂ©es par M. Isidore Pierre ; elles pourraient ĂȘtre classĂ©es comme il suit, d’aprĂšs la quantitĂ© d’azote qu’elles contiennent feuilles de tilleul 1,45 pour 100, d’orme 1,01, de mĂ»rier noir 1, de peuplier 0,81, de lierre grimpant 0,54. Rappelons que la dĂ©paissance dans les bois, dont on a parlĂ© beaucoup dans ces derniers temps, n’est point sans inconvĂ©niens. Les feuilles d’arbre mangĂ©es en grande quantitĂ©, surtout les bourgeons et les jeunes branches, occasionnent une maladie des organes digestifs et des voies urinaires appelĂ©e mal de brou. On prĂ©vient ce dĂ©rangement dans la santĂ© des animaux en leur donnant par jour un repas avec de l’herbe des prĂ©s, des racines ou des feuilles de plantes herbacĂ©es, et en leur procurant de la bonne eau pour boisson. Il faut peu compter sur l’herbe qui pousse dans les bois pour produire les effets d’un bon pĂąturage elle est peu sapide, et les animaux la dĂ©daignent. Les feuilles des arbres verts peuvent ĂȘtre une ressource pour la mauvaise saison ; dans le Tyrol, la ramĂ©e du pin rend de bons services. On les considĂšre cependant comme pouvant produire l’hĂ©maturie, et, quand on en fait consommer, il est essentiel de prendre les prĂ©cautions que nous venons de recommander. Il est toujours facile, par des soins, de profiter de l’avantage de cette nourriture en se prĂ©servant des inconvĂ©niens. On voit qu’à la rigueur ce ne sont pas les ressources alimentaires qui nous manquent ; nous ne savons pas assez les utiliser en temps ordinaire, on ne peut couper qu’exceptionnellement en Ă©tĂ© les taillis et les arbres plantĂ©s sur les bords des routes pour faire des feuillards ; mais il n’y aurait aucun inconvĂ©nient Ă  en profiter dans une annĂ©e de disette de fourrages comme celle-ci. Ce qu’on perdrait en matiĂšre ligneuse en Ă©laguant les arbres et en coupant les taillis pendant qu’ils sont en feuilles, on le regagnerait amplement en substances fourragĂšres. Faut-il rappeler l’ajonc Ă©pineux, ulex europƓus ? Calloet imprimait, il y a deux siĂšcles, en 1666, que l’ajonc vaut mieux pour nourrir les poulains que le foin, qu’il est favorable aux chevaux qui travaillent, qu’il prĂ©vient le dĂ©veloppement de la pousse. Anderson a dit depuis que l’ajonc est trĂšs bon pour l’engraissement du bƓuf et pour l’entretien des vaches laitiĂšres et des brebis. Tous les auteurs modernes rĂ©pĂštent qu’il donne aux chevaux autant de feu et d’ardeur au travail que l’avoine, et cependant l’usage de l’ajonc ne s’étend pas au-delĂ  des climats maritimes. Il lui faut, pour acquĂ©rir toutes ses propriĂ©tĂ©s alimentaires, un climat doux et un air humide. C’est seulement en Bretagne, oĂč il est employĂ© depuis lin temps immĂ©morial, qu’il produit ces jets longs et touffus, presque inermes, qui ont fait donner Ă  la variĂ©tĂ© qui les prĂ©sente le nom d’ajonc queue de renard. Sous le climat continental, il est rabougri et Ă©pineux. Les propriĂ©taires qui essaient de le faire consommer dans le centre de la France ne persĂ©vĂšrent jamais, Ă  cause des embarras qu’entraĂźne l’administration de ce fourrage. Cette annĂ©e cependant ne devrait-on pas essayer et persĂ©vĂ©rer ? On distribue l’ajonc aprĂšs l’avoir hachĂ© et Ă©crasĂ©. Avec la meule Ă  huile, on l’écrase facilement en l’arrosant pendant l’opĂ©ration. Tous les herbivores le mangent ainsi prĂ©parĂ©, et se trouvent trĂšs bien de son usage. On a rarement essayĂ© de faire consommer au rĂątelier la bruyĂšre et le genĂȘt Ă  balai. Les troupeaux cependant s’en nourrissent en partie pendant l’hiver dans tout le midi, et le genĂȘt surtout pourrait ĂȘtre heureusement utilisĂ©, entrer dans la composition de provendes, de mĂ©langes. Il est trĂšs nutritif, Ă©chauffant mĂȘme ; au printemps, il dĂ©termine chez les moutons la gĂ©nestade, mais cette maladie ne se dĂ©clare que lorsque le genĂȘt est pris en grande quantitĂ©. S’il n’entre que pour une partie dans la nourriture des animaux, si, le jour qu’ils en mangent, les troupeaux vont sur un bon pĂąturage, ils conservent une parfaite santĂ©. En raison du principe amer qu’il contient, le genĂȘt contribue mĂȘme Ă  prĂ©venir la pourriture, et, mĂȘlĂ© en justes proportions dans les provendes aqueuses, douceĂątres, qui produiraient l’anĂ©mie, la cachexie, il agit comme mĂ©dicament alimentaire ; il combat l’atonie. — Plusieurs espĂšces de fougĂšres, en particulier la grande fougĂšre, fougĂšre proprement dite pleris aquilina, peuvent ĂȘtre utilisĂ©es en ce moment ; les bƓufs et les vaches les mangent au rĂątelier, quoiqu’ils les dĂ©daignent sur pied. Les plantes aquatiques, les carex laiches, les scirpes, les joncs, le poa aquatique, le roseau, sont peu sapides, dures, et gĂ©nĂ©ralement dĂ©laissĂ©es par les bĂȘtes qui pĂąturent ; mais, coupĂ©es, hachĂ©es et macĂ©rĂ©es dans un liquide contenant des farines, des tourteaux, des rĂ©sidus de distillerie, ou bien mĂȘlĂ©es Ă  des marcs de raisin, elles pourraient trĂšs bien ĂȘtre donnĂ©es aux bestiaux. Nous ne connaissons pas la composition des plantes marines au point de vue de l’alimentation ; on les a surtout Ă©tudiĂ©es au point de vue des services qu’elles rendent Ă  l’industrie. Cependant nous savons qu’elles sont salubres, qu’elles contiennent d’assez fortes proportions de matiĂšres azotĂ©es, et qu’elles sont trĂšs riches en principes minĂ©raux, si bienfaisans pour la santĂ© et si nĂ©cessaires pour favoriser le dĂ©veloppement des animaux. MĂȘme dans les temps ordinaires, elles seraient fructueusement employĂ©es Ă  la nourriture du bĂ©tail. Les vaches et les moutons recherchent beaucoup les varechs lorsqu’ils sont frais, disent les auteurs qui ont Ă©tĂ© Ă  mĂȘme de faire des observations Ă  ce sujet ; mais ils les dĂ©laissent quand ils commencent Ă  s’altĂ©rer. Plusieurs espĂšces sont propres Ă  la nourriture de l’homme et des animaux. Les Russes, qui font usage de ces plantes, les appellent beurre aquatique Ă  cause de leur consistance gĂ©latineuse, onctueuse. Quelques espĂšces se rĂ©duisent en gelĂ©e par l’ébullition, et toutes seraient propres Ă  ramollir les plantes dures. Convenablement mĂ©langĂ©es, elles pourraient servir comme fourrage ; on peut croire mĂȘme qu’une fois adoptĂ©es, on ne les abandonnerait plus. La raretĂ© des lĂ©gumes donnera aux chĂątaignes une grande valeur comme comestible pour l’homme ; mais le gland, si abondant dans nos forĂȘts, le marron d’Inde, peuvent contribuer Ă  remplacer le fourrage et les grains. Tous les animaux recherchent le gland, tous s’habituent facilement Ă  manger le marron d’Inde et s’en trouvent bien. Toutefois on tire un parti plus avantageux de ces alimens en les Ă©crasant et les mĂȘlant aux vĂ©gĂ©taux fibreux, durs, que nous venons d’énumĂ©rer. Comme ils sont riches en fĂ©cule, ils entrent facilement en fermentation, et donnent de la saveur au mĂ©lange, qu’ils amĂ©liorent en outre par les matiĂšres albuminoĂŻdes qu’ils contiennent, et par leur principe amer, leur tanin, qui les rend toniques. On ne distribue pas au bĂ©tail la faĂźne de hĂȘtre qu’on s’est donnĂ© la peine de rĂ©colter ; on en retire une huile excellente. Nous dirons pourtant qu’il faut cette annĂ©e en ramasser le plus possible, afin d’augmenter la quantitĂ© de tourteau qu’elle produit. Nous n’avons pas encore parlĂ© de l’utilisation des tourteaux pour la nourriture du bĂ©tail. C’est l’aliment le plus riche en azote qu’on puisse lui faire consommer, et celui qui revient au plus bas prix comparativement Ă  sa valeur nutritive. Tous les tourteaux ne conviennent pas Ă©galement pour nourrir le bĂ©tail, c’est-Ă -dire que tous ne sont pas Ă©galement appĂ©tĂ©s et nutritifs ; mais les plus mauvais, ceux du chĂšnevis, du colza, de la cameline, du chou, de la navette, dĂ©layĂ©s dans l’eau, sont excellens pour composer des mĂ©langes. Le liquide qui les contient, versĂ© sur des alimens fibreux, durs, comme les pailles, les vĂ©gĂ©taux ligneux, plus riches en principes carbonĂ©s qu’en azote, contribue Ă  donner une excellente nourriture. Ces tourteaux sont un assaisonnement, un aliment complĂ©mentaire trĂšs utile ; on peut les ajouter aussi, aprĂšs les avoir prĂ©alablement Ă©crasĂ©s, Ă  tous les rĂ©sidus aqueux, pulpes, marcs de cidre, etc. Quant aux tourteaux de noix, de lin, d’Ɠillette, de faĂźne, ils peuvent avec grand profit ĂȘtre employĂ©s de la mĂȘme maniĂšre ; mais on les fait plus souvent consommer seuls et sans aucune prĂ©paration. On rĂ©pĂšte souvent que l’agriculture est une industrie, ce qui est incontestable ; mais remarque-t-on assez combien la conduite de la plupart des cultivateurs diffĂšre de celle des industriels ? Les premiers cherchent Ă  rĂ©aliser des bĂ©nĂ©fices en se privant, en Ă©conomisant, les autres cherchent sans relĂąche Ă  innover, Ă  perfectionner leurs procĂ©dĂ©s, Ă  tirer parti de toutes les matiĂšres dont ils peuvent disposer, Ă  les revivifier, quand elles ont Ă©tĂ© altĂ©rĂ©es, pour les employer de nouveau, Ă  remplacer, quand ils le peuvent, les matiĂšres premiĂšres dont ils se servent par des matiĂšres d’un plus grand rendement ou d’un prix moins Ă©levĂ©. Si les possesseurs de bestiaux, les cultivateurs, avaient cet esprit d’innovation qui est la source de tout progrĂšs, verrions-nous tous les ans 40, 50 millions de kilogr. de rĂ©sidus des huileries exportĂ©s de nos ports de mer et de nos villes frontiĂšres pour aller engraisser les animaux et amĂ©liorer les terres des cultivateurs allemands ou anglais ? N’est-ce pas dĂ©plorable de voir que non-seulement nous ne conservons pas les tourteaux de sĂ©same, d’arachide, de cotonnier, etc., provenant de graines exotiques, mais que nous laissons mĂȘme exporter ceux qui proviennent de nos rĂ©coltes, que nous appauvrissons ainsi le domaine qui produit les plantes industrielles au lieu de tirer parti des rĂ©sidus de ces plantes pour l’amĂ©liorer ? Il serait trop long d’énumĂ©rer tous les vĂ©gĂ©taux qui peuvent ĂȘtre utilisĂ©s et qui doivent l’ĂȘtre. Toutes les plantes vulgairement appelĂ©es sauvages, c’est-Ă -dire qui ne sont pas cultivĂ©es, mais que les animaux mangent, peuvent entrer dans la composition des provendes. Nous citerons les consoudes, abondantes dans les lieux humides, la grande patience des jardins, la patience des prĂšs, la patience des Alpes, utilisĂ©es sur les montagnes pour nourrir les porcs que l’on engraisse avec le petit lait, la berce des prĂ©s, les orties, et en particulier l’ortie commune, l’orpin blanc, orpin des vignes, etc. Une plante malheureusement trop commune parce qu’elle nuit aux arbres fruitiers sur lesquels elle vit en parasite, le gui viscum album, est trĂšs nutritive. Les chĂšvres la recherchent, la mangent avec aviditĂ©. Les petits cultivateurs du midi, qui en connaissent la valeur, la rĂ©coltent. Le gui est trĂšs commun dans nos pays Ă  riches herbages oĂč les pommiers sont si nombreux. Il y aurait un double profit Ă  l’enlever pour les bestiaux. En raison de sa nature succulente, il peut ĂȘtre mĂȘlĂ© avec avantage aux matiĂšres fibreuses. Avant de quitter ce sujet, disons qu’on peut employer Ă  la nourriture du bĂ©tail le ramassis des granges et des greniers, les graines de foin, les criblures, etc. VannĂ©s et dĂ©barrassĂ©s de la poussiĂšre, ces produits sont trĂšs propres Ă  nourrir les bestiaux. Ils sont composĂ©s de dĂ©bris de tiges et de feuilles, de petites fleurs dessĂ©chĂ©es et de graines. A cause de ces derniĂšres, toujours riches en albuminoĂŻdes, en phosphates, et souvent en principes gras, les balayures des granges conviennent surtout pour ĂȘtre ajoutĂ©es Ă  la drĂȘche, aux pulpes, aux cossettes de betteraves traitĂ©es par le procĂ©dĂ© Champonnois, aux rĂ©sidus des distilleries de grains et aux marcs de pomme et de raisin, que l’on ne cherche pas assez Ă  utiliser. Un simple mĂ©lange suffit pour composer une bonne nourriture dans leur Ă©tat naturel, les petites graines traversent le tube digestif sans produire d’effet nutritif ; mais elles sont digĂ©rĂ©es quand elles sont administrĂ©es aprĂšs avoir Ă©tĂ© pendant quelque temps en contact avec des corps humides. Il y a plus d’un quart de siĂšcle qu’un industriel de Lyon employait la mĂ©lasse rĂ©pandue sur des fourrages pour nourrir ses chevaux. Les cultivateurs du nord s’en servent aujourd’hui avec avantage pour engraisser les bestiaux et nourrir les vaches laitiĂšres. On arrose avec de l’eau mĂ©lassĂ©e, Ă  la dose de 1 kilogramme mĂ©lasse pour 100 litres d’eau, un mĂ©lange de paille hachĂ©e et de lĂ©gumineuses vesce, gesse, lentillon. On emploie Ă  cet effet des caisses dans lesquelles on tasse les matiĂšres sĂšches, et on les dispose de maniĂšre qu’on puisse recueillir le liquide qui s’écoule aprĂšs avoir traversĂ© la masse solide. On le rejette sur le tas. On peut faire consommer ainsi mĂȘme les pailles les plus dures ; elles sont ramollies et contractent un goĂ»t qui plaĂźt aux animaux habituĂ©s Ă  cette nourriture. Nous avons dit que le cultivateur doit prĂ©voir les besoins de la mauvaise saison et ensemencer le plus possible en vue du printemps prochain. Celui qui peut disposer d’une grande quantitĂ© de rĂ©sidus de fabrique, ou qui se trouve avoir plus de nourriture verte qu’il ne peut en faire consommer, doit chercher Ă  s’approvisionner pour l’hiver. Les produits qui ne peuvent pas ĂȘtre dessĂ©chĂ©s sont Ă©conomiquement conservĂ©s dans des fosses ou dans des silos. Nous avons dĂ©crit le procĂ©dĂ© employĂ© depuis un temps immĂ©morial dans le Lyonnais ; les nourrisseurs de Paris l’ont adoptĂ© pour conserver la drĂȘche. Ils Ă©tablissent Ă  cĂŽtĂ© de la vacherie une fosse et la disposent, ainsi que le local oĂč elle se trouve, de maniĂšre qu’on peut faire reculer la voiture chargĂ©e jusque sur le bord de la fosse ; Ă  chaque dĂ©charge, on tasse la drĂȘche, la fosse est ainsi remplie rĂ©guliĂšrement. C’est aussi dans des fosses que l’on conserve la pulpe de la betterave et les feuilles de cette plante, que l’on faisait autrefois consommer sur place au moment de la rĂ©colte. Les feuilles Ă©taient perdues en grande partie Ă  cause de la quantitĂ© qui Ă©tait mise Ă  la fois Ă  la disposition des animaux. D’aprĂšs une communication rĂ©cemment faite Ă  la SociĂ©tĂ© centrale d’agriculture, ce moyen de conservation se gĂ©nĂ©ralise dans le nord de la France. On fait d’ordinaire des fosses de 7 mĂštres de longueur sur 3 mĂštres de largeur et 4 mĂštres de profondeur, construites Ă  angles arrondis et abritĂ©es par des hangars ou des toits en chaume. On les emplit avec des couches alternatives de paille hachĂ©e 10 centimĂštres et de feuilles de betteraves 15 centimĂštres. Le tout est exactement pressĂ© et assaisonnĂ© par Ă  ou 5 kilogrammes de sel pour 100 kilogrammes de feuilles. On n’y met les feuilles que lorsqu’elles sont bien Ă©gouttĂ©es, qu’elles ne sont mouillĂ©es ni par la pluie ni par la rosĂ©e. On ferme le tout exactement avec du mortier. S’il se produit des crevasses, on les bouche avec soin. En hiver, on prend le mĂ©lange par tranches verticales pour ne pas laisser de larges surfaces exposĂ©es Ă  l’air. Ce procĂ©dĂ© de conservation, cet ensillage, s’appliquerait Ă  tous les vĂ©gĂ©taux verts, aux feuilles d’arbres que l’on a cueillies Ă  la main ou en brindilles, lesquelles sont moins faciles Ă  dessĂ©cher et Ă  conserver que celles qui adhĂšrent Ă  de fortes branches et qui constituent des feuillards ; on peut surtout l’employer en automne, si le temps est pluvieux, pour conserver des produits qu’il ne serait pas possible de faire faner. Ainsi, lorsqu’on sĂšme des fourrages d’étĂ© jusqu’en septembre, il peut arriver, et cela est surtout Ă  dĂ©sirer cette annĂ©e, qu’on en ait un excĂšs, excĂšs qui rendrait les plus grands services en hiver, si on prenait soin de le conserver. Nous avons conseillĂ© de faire consommer par le bĂ©tail beaucoup de produits que l’on emploie ordinairement pour faire la litiĂšre. Il faut cependant songer au bien-ĂȘtre des animaux et Ă  la production des engrais. Pour remplacer les pailles que nous ferons entrer dans les rations, nous aurons les gazons et les bruyĂšres des terres vagues et des landes, le buis, le myrtille et autres arbustes, la terre mĂȘme dessĂ©chĂ©e, le sable ramassĂ© sur les routes, la sciure de bois ; nous aurons surtout les feuilles qui tombent naturellement des arbres. GĂ©nĂ©ralement elles sont perdues. Le vent les pousse dans les ravins, et l’eau les entraĂźne. MĂȘlĂ©es aux Ă©teules ramassĂ©s aprĂšs le dĂ©chaumage, au chiendent que la herse enlĂšve aprĂšs les labours, elles forment une litiĂšre qui sans doute conviendrait peu aux bĂȘtes Ă  laine et aux chevaux de luxe, mais qui est excellente pour les porcs, pour les vaches Ă  fait et les bƓufs Ă  l’engrais, comme pour les attelages de labour et pour les Ă©lĂšves. Parmi les produits que l’on a nouvellement introduits dans l’alimentation des animaux, nous rappellerons les cosses des graines de cacao et les radicelles de l’orge germĂ©e. Les cosses de cacao sont dures, cassantes, et ont une odeur suave qui rappelle le produit dont elles proviennent. Elles sont assez riches en azote, et contiennent trĂšs peu d’eau, mais beaucoup de ligneux et de matiĂšres minĂ©rales. Jusqu’ici, elles ont Ă©tĂ© utilisĂ©es le plus souvent comme combustible dans les usines ou l’on prĂ©pare le chocolat. Cependant depuis longtemps les pauvres gens des Pays-Bas, de l’Irlande, etc., les traitent par l’eau ou par le lait, et en prennent l’extrait sucrĂ© en guise de chocolat. Les essais qu’on a faits pour en nourrir les animaux ont eu peu de succĂšs. Dans ce moment, la question est Ă  l’étude. Un habile cultivateur, M. MĂ©nard, en a achetĂ© une trĂšs forte quantitĂ© aux fabricans de chocolat de la capitale ; il espĂšre bien pouvoir les employer Ă  la nourriture de ses bestiaux. Il y a peu d’annĂ©es, on ne tirait aucun parti des rĂ©sidus de la fabrication de la biĂšre quand on ne pouvait pas en faire des engrais. Nous avons vu Ă  Lyon les brasseurs du faubourg de Vaise se dĂ©barrasser de la drĂȘche en la jetant dans la SaĂŽne. Aujourd’hui les nourrisseurs de vaches laitiĂšres la donnent Ă  leurs vaches. Il est un autre rĂ©sidu de la mĂȘme fabrication qui’ jusqu’à ce jour n’a guĂšre Ă©tĂ© utilisĂ© en France que comme engrais ; nous voulons parler des radicelles de l’orge germĂ©e. Depuis longtemps cependant les Allemands s’en servent pour engraisser les bƓufs et mĂȘme pour nourrir les chevaux. DerniĂšrement un vĂ©tĂ©rinaire d’Arras, M. Lenglen, nous a appris que depuis quelque temps on les donne aux bƓufs et aux chevaux dans le Pas-de-Calais. D’aprĂšs les dĂ©tails qu’il a communiquĂ©s Ă  la SociĂ©tĂ© centrale d’agriculture, le dĂ©partement du Pas-de-Calais possĂšde cinq cent trente-quatre brasseries, qui en 1868 ont utilisĂ© 2 millions de kilogrammes de malt, et ce malt a dĂ» produire 600,000 kilogrammes de radicelles. On donne ces 600,000 kilogrammes comme formant l’équivalent nutritif d’une quantitĂ© Ă©gale de foin. C’est donc un produit assez important. Il est une recommandation qu’il peut ĂȘtre utile de faire, et qui concerne le nombre de tĂȘtes de bĂ©tail que l’on a intĂ©rĂȘt Ă  conserver proportionnellement Ă  la nourriture dont on dispose. L’industrie zootechnique comprend deux opĂ©rations bien distinctes, qui n’exigent pas la mĂȘme ligne de conduite. Le cultivateur dont l’industrie principale est la production, qui fait des Ă©lĂšves, peut en temps de disette restreindre un peu les rations et conserver autant de vaches et de brebis qu’il peut en entretenir, mĂȘme en les nourrissant maigrement. Les femelles ainsi arriveront Ă  l’époque du part sans grand prĂ©judice pour elles et pour leur propriĂ©taire. Il n’en est pas de mĂȘme si l’on entretient un bĂ©tail de rente pour obtenir de la viande ou du lait. Dans ce cas, le produit des animaux est en raison directe du fourrage consommĂ© et en raison inverse du nombre d’animaux consommateurs, de sorte que d’une quantitĂ© donnĂ©e d’alimens on obtient d’autant plus de produits utiles que le nombre d’animaux qui la consomment dans un temps donnĂ© est moins considĂ©rable. On a moins de rations d’entretien Ă  fournir. Il vaut donc infiniment mieux, au point de vue de l’intĂ©rĂȘt public et de l’intĂ©rĂȘt personnel du cultivateur, restreindre le cheptel et nourrir abondamment les animaux, afin d’obtenir d’eux l’utilisation d’une forte ration de production, que de perdre des rations d’entretien en conservant des animaux dont, faute de nourriture, on ne pourrait pas utiliser toute la puissance productrice. III Les observations prĂ©cĂ©dentes se rapportent principalement aux animaux entretenus par les cultivateurs, aux bƓufs et aux chevaux de labour, aux bĂȘtes Ă  l’engrais, aux vaches laitiĂšres et aux moutons ; mais il faut songer aussi aux chevaux employĂ©s par le commerce, l’industrie, le luxe, la guerre. C’est surtout pour ces animaux qu’il faut chercher Ă  utiliser mieux qu’on ne l’a fait les produits alimentaires dont nous disposons. Jusqu’à ces derniĂšres annĂ©es, on a Ă©tĂ© persuadĂ© en France comme Ă  l’étranger, — et le plus grand nombre de personnes occupĂ©es Ă  soigner les chevaux le croient encore, — qu’on ne peut nourrir convenablement ces animaux qu’avec du foin et de l’avoine. Or nous aurons Ă  peine le quart de la rĂ©colte ordinaire du foin des prairies naturelles. La rĂ©colte de l’avoine nous fera Ă©galement dĂ©faut en grande partie. En temps de paix, nous pourrions compter sur les importations. La Hollande, la SuĂšde, la Hongrie, le Tyrol, quelques parties de l’Allemagne, l’AmĂ©rique mĂȘme, malgrĂ© son Ă©loignement, nous avaient offert du foin Ă  d’assez bonnes conditions. D’un autre cĂŽtĂ©, la facilitĂ© de comprimer ce fourrage Ă  l’aide de presses aujourd’hui fort rĂ©pandues permet de le transporter Ă  de grandes distances Ă  peu de frais ; mais la guerre empĂȘchera une partie des arrivages, et rendra plus dispendieux ceux qui pourront s’effectuer. D’ailleurs, en augmentant la consommation, elle fera Ă©lever les prix. Il faut donc ne compter que sur nos propres ressources, et, dans tous les cas, chercher Ă  les bien utiliser. Le meilleur moyen, c’est la substitution au foin et Ă  l’avoine de fourrages et de grains plus communs et moins chers relativement Ă  leur valeur alimentaire. Cette substitution a Ă©tĂ© souvent essayĂ©e, et elle n’a jamais bien rĂ©ussi. En quoi ces deux alimens, que nous appelons alimens-types, diffĂšrent-ils du foin de trĂšfle, du foin de luzerne, de l’orge, du seigle, c’est-Ă -dire des fourrages et des grains par lesquels on a toujours essayĂ© de les remplacer ? On ne peut rĂ©pondre Ă  cette question qu’en Ă©tudiant les diverses substances vĂ©gĂ©tales alimentaires au point de vue de la composition chimique et des besoins que les alimens sont appelĂ©s Ă  satisfaire, des produits dont ils doivent fournir les matĂ©riaux. Les principes immĂ©diats alimentaires peuvent se rĂ©duire Ă  deux corps principaux, carbone et azote. Pendant longtemps, on a mĂȘme Ă©valuĂ© la valeur nutritive des alimens d’aprĂšs leur richesse en azote ; mais les alimens n’ont pas une valeur nutritive absolue, leur valeur est subordonnĂ©e aux effets qu’ils ont Ă  produire. TantĂŽt la substance alimentaire doit ĂȘtre assimilĂ©e par les organes et former de la chair musculaire ou de la graisse, comme chez les jeunes sujets et les bĂȘtes Ă  l’engrais ; tantĂŽt on veut en obtenir un produit spĂ©cial qui sort de l’économie, comme le fait chez les vaches laitiĂšres et toutes les femelles qui allaitent ; tantĂŽt enfin elle sert Ă  produire la force mĂ©canique qui fuit agir les muscles. Il n’est donc pas rationnel de nourrir avec des alimens de mĂȘme composition, de mĂȘme nature, le cheval que l’on Ă©lĂšve et celui que l’on fait travailler, ni la vache laitiĂšre et celle que l’on veut engraisser. De mĂȘme que les muscles, le fait est un produit essentiellement azotĂ©. Aussi tous les alimens riches en principes albuminoĂŻdes, les foins des lĂ©gumineuses, les farines de fĂšves, d’orge, sont les alimens types pour les vaches laitiĂšres et pour les Ă©lĂšves de toutes les espĂšces. Les animaux qui travaillent usent surtout du carbone, et ne peuvent suffire Ă  leur service que s’ils sont nourris avec des alimens riches en principes immĂ©diats hydro-carbonĂ©s. La pratique, l’observation, ont fait choisir pour la nourriture du cheval et ont rendu d’un usage gĂ©nĂ©ral trois alimens le foin des prĂ©s naturels, l’avoine et la paille. Sans se rendre compte du pourquoi de leurs bons effets, on les emploie presque exclusive ment, et les animaux s’en trouvent trĂšs bien. A quoi doivent-ils leurs qualitĂ©s ? Notons d’abord que le foin et l’avoine sont trĂšs riches en carbone proportionnellement Ă  leur azote, ensuite qu’ils contiennent dans la mĂȘme proportion les principes albuminoĂŻdes, les principes saccharoĂŻdes et les corps gras, en troisiĂšme lieu que l’on s’expose aux plus graves mĂ©comptes quand on les remplace, pour la nourriture du cheval qui travaille, par d’autres alimens plus riches en principes azotĂ©s. Nous demanderons aprĂšs s’il n’est pas logique d’admettre qu’ils contiennent les principaux Ă©lĂ©mens nutritifs en quantitĂ©s convenables pour satisfaire aux besoins de l’économie, et engendrer la force mĂ©canique qui est le produit utile du cheval, si enfin on ne peut pas les considĂ©rer comme les alimens types pour le cheval qui travaille ? Toutefois le foin et l’avoine, en raison mĂȘme de leur usage presque universel, sont de tous les alimens ceux qui font payer l’azote et le carbone au plus haut prix, mĂȘme dans les annĂ©es normales, Ă  plus forte raison cette annĂ©e, pendant laquelle ils ont Ă©tĂ© si impressionnĂ©s par la sĂ©cheresse du printemps. En gĂ©nĂ©ral, le foin fait payer l’azote qu’il fournit 7 ou 8 francs le kilogramme, et l’avoine 12 ou 13 francs ; tandis que le foin des lĂ©gumineuses fournit ce corps Ă  4 ou 5 francs, la fĂ©verole Ă  5 francs, le maĂŻs et le sarrasin Ă  7 francs, le seigle et l’orge Ă  10 ou 11 francs. Le carbone, qui est payĂ© 64 centimes le kilogramme quand il est fourni par l’avoine, revient Ă  36 centimes seulement quand on le donne par le maĂŻs[1]. On peut donc chercher l’économie, pour la nourriture des chevaux qui travaillent beaucoup, dans l’emploi de grains et de fourrages d’un prix moins Ă©levĂ© que l’avoine et le foin des prairies naturelles ; mais on ne peut arriver Ă  bien entretenir ces animaux qu’en formant une nourriture semblable par sa composition chimique Ă  ces deux alimens. Avec cette condition, toutes les substitutions d’alimens peuvent rĂ©ussir, car on change les fourrages sans changer pour ainsi dire la nourriture. Le sucre, la glucose, la fĂ©cule, sont identiques dans tous les vĂ©gĂ©taux ; il en est Ă  peu prĂšs de mĂȘme des albuminoĂŻdes et des corps gras. Il faut par consĂ©quent se prĂ©occuper surtout de la composition des alimens qu’on associe, et a cet Ă©gard il y a beaucoup de choix sans sortir des denrĂ©es trĂšs rĂ©pandues dans le commerce[2]. Les graines des lĂ©gumineuses et la paille sont les deux alimens extrĂȘmes, les premiĂšres par leur richesse en azote, et l’autre par sa richesse en carbone proportionnellement Ă  son azote ; en les mĂ©langeant, on peut constituer une bonne nourriture. Cependant toutes les fois que la paille entre pour une forte proportion dans une ration, elle la rend trop volumineuse, et on ne peut pas la distribuer Ă  des chevaux qui, en raison de leur travail, ont besoin d’ĂȘtre fortement nourris. On remĂ©die Ă  cet inconvĂ©nient en remplaçant une certaine quantitĂ© de la paille qui serait nĂ©cessaire, si on voulait la mĂȘler Ă  la fĂ©verole par exemple, par un poids donnĂ© d’une graine olĂ©agineuse, soit de chĂšnevis, dont les bons effets pour remettre les chevaux affaiblis sont connus de tous. C’est surtout en rĂ©unissant la paille et une petite quantitĂ© de graine olĂ©agineuse Ă  de l’orge, Ă  du seigle ou Ă  la fĂ©verole, qu’on peut former des mĂ©langes qui, sans ĂȘtre trop volumineux, constituent d’excellentes rations. On peut ainsi nourrir les chevaux avec des grains qu’il est avantageux de faire consommer alors que l’avoine est Ă  un prix trĂšs Ă©levĂ©[3]. C’est par l’influence du climat que l’on cherche Ă  expliquer en France pourquoi l’orge suffit aux chevaux d’Orient, tandis qu’elle rend fourbus les chevaux de nos contrĂ©es. Si le climat agit dans cette circonstance, son action est bien secondaire. L’orge ou quelquefois la fĂšve remplace l’avoine en Afrique, parce qu’elle est associĂ©e Ă  de la paille, aliment trĂšs riche en principes carbonĂ©s relativement Ă  ses principes azotĂ©s. J’ai voulu savoir, disait un voyageur qui avait Ă©tĂ© frappĂ© de la vigueur des chevaux et mĂȘme des Ăąnes Ă©gyptiens, comment sont nourris ces Ăąnes du Caire qui font dans la journĂ©e quinze heures de marche sans s’ĂȘtre mis le plus petit bout de chardon ou le moindre grain d’avoine sous la dent
 J’ai reconnu que leur nourriture est la mĂȘme que celle des excellens petits chevaux de Constantinople, c’est-Ă -dire de la paille hachĂ©e trĂšs menu et mĂ©langĂ©e avec des fĂšves. Il faut croire que cette provende a des qualitĂ©s nutritives extraordinaires, car aucune monture de notre pays, si bonne qu’elle soit, ne saurait lutter avec le dernier cheval de Stamboul ou avec le dernier Ăąne du Caire. » Ces qualitĂ©s nutritives extraordinaires rĂ©sultent de la juste proportion des divers principes immĂ©diats qui se trouvent dans la ration. Le mĂ©lange, — paille foulĂ©e ou hachĂ©e et orge, — que les Arabes de l’AlgĂ©rie donnent Ă  leurs chevaux reprĂ©sente trĂšs approximativement la ration, foin et avoine, que nous distribuons en Europe. En effet, 3 kilogrammes de paille et 4 kilogrammes d’orge contiennent Ă  peu prĂšs autant de principes plastiques et plus de principes respiratoires que 2 kilogrammes de foin et 4 kilogrammes d’avoine. Sans carbone et sans hydrogĂšne, les chevaux ne marcheraient pas mieux en Afrique qu’en France. Pendant la campagne du Mexique, nos chevaux ont Ă©tĂ© presque exclusivement nourris de mais. M. Liguistin, vĂ©tĂ©rinaire en chef de l’expĂ©dition, a constatĂ© les bons effets de cette alimentation sur la force, l’énergie, la santĂ© de nos chevaux. Par sa composition chimique, ce grain se rapproche beaucoup des alimens types. Il contient mĂȘme un peu plus de carbone que le foin et que l’avoine, et surtout beaucoup plus de corps gras, ce qui permet de lui adjoindre des alimens fortement azotĂ©s, et de constituer des rations vraiment Ă©conomiques ; Ainsi 3 kilogrammes de mais et 1 kilogramme d’orge, de seigle ou de sarrasin reprĂ©sentent Ă  peu prĂšs 5 kilogrammes d’avoine et coĂ»tent beaucoup moins cher. Quand le maĂŻs forme la base d’une ration, on peut y introduire des fĂ©veroles, et l’on a un mĂ©lange dans lequel tous les Ă©lĂ©mens nutritifs sont fournis au plus bas prix 4 kilogrammes maĂŻs, 500 grammes fĂ©veroles et 1 kilogramme de paille hachĂ©e reprĂ©sentent plus de 6 kilogrammes d’avoine. Enfin un mĂ©lange des plus avantageux est celui du mais avec une petite quantitĂ© de foin des lĂ©gumineuses 2 kilogrammes de luzerne et 8 kilogrammes de mais donnent les mĂȘmes Ă©lĂ©mens nutritifs que 11k,500 d’avoine. Un mĂ©lange de mais et d’orge, remarque M. Liguistin, qui en a bien Ă©tudiĂ© les rĂ©sultats en AmĂ©rique, constitue une nourriture qui participe des propriĂ©tĂ©s nutritives de l’un et de l’autre de ces alimens. Les chevaux de l’état-major gĂ©nĂ©ral de l’armĂ©e, qui appartenaient Ă  diffĂ©rentes races et Ă©taient tous d’un grand prix, n’ont pas reçu d’autre nourriture. Ils ont conservĂ© une Ă©nergie, une force, une vigueur et une santĂ© qui leur ont permis de supporter les plus rudes fatigues. AntĂ©rieurement Humboldt et M. Boussingault avaient constatĂ© qu’au Mexique des mulets et des chevaux nourris au mais et Ă  la paille pouvaient suffire Ă  un travail au trot que nous considĂ©rons comme excessif. Ce mĂ©lange contient une quantitĂ© de carbone plus considĂ©rable que celle fournie par le foin et par l’avoine. Or un excĂšs de ce corps n’a jamais des inconvĂ©niens pour la santĂ©, tandis qu’un mĂ©lange qui contiendrait un excĂšs d’azote peut dĂ©terminer de graves accidens. Les principes plastiques ou principes azotĂ©s sont surtout des matĂ©riaux de construction. Une fois que la croissance de l’animal est terminĂ©e, et quand ils ne servent pas Ă  crĂ©er des produits spĂ©ciaux, lait, fƓtus, etc., ils n’ont qu’un emploi limitĂ© Ă  l’entretien des organes, et, s’ils sont pris en excĂšs, ils restent en circulation dans le sang, dont ils doivent modifier les propriĂ©tĂ©s, tandis que les principes respiratoires ou hydrocarbonĂ©s sont des produits de consommation ils sont constamment employĂ©s, usĂ©s, en grande quantitĂ©. S’ils sont pris au-delĂ  de ce que les besoins des animaux exigent, ils se dĂ©posent dans un tissu destinĂ© Ă  les recevoir, et, sans qu’il en rĂ©sulte aucun dĂ©rangement fonctionnel, ils restent comme en rĂ©serve entre les organes. Il y a incontestablement profit Ă  faire dĂ©penser en travail tout le carbone et l’hydrogĂšne disponibles de la nourriture ; mais, si ces deux corps ne sont pas immĂ©diatement brĂ»lĂ©s, ils restent en dĂ©pĂŽt sous forme de graisse, ils sont en disponibilitĂ© pour fournir Ă  la respiration dans le cas oĂč une nourriture insuffisante en rendrait l’utilisation nĂ©cessaire. Depuis que la compagnie des omnibus de Londres compose les rations de ses chevaux avec un mĂ©lange d’alimens riches en azote et d’alimens riches en carbone, avec des lĂ©gumineuses, du mais et de l’avoine, elle obtient des rĂ©sultats excellens. DĂšs le commencement de l’étĂ©, est-il dit dans un compte-rendu de cette compagnie pour 1868, il devint Ă©vident que, si le systĂšme de nourriture adoptĂ© par la commission et en gĂ©nĂ©ral par les propriĂ©taires d’omnibus Ă  Londres Ă©tait continuĂ©, une grande augmentation dans les dĂ©penses de fourrages Ă©tait inĂ©vitable. Une enquĂȘte minutieuse et des expĂ©riences furent faites pour constater la possibilitĂ© d’un plus grand usage de mais sans dommage pour la santĂ© des chevaux. » Cette expĂ©rience a parfaitement rĂ©ussi. Une Ă©conomie de 131,987 fr. 90 centimes en a Ă©tĂ© le rĂ©sultat. L’excellent Ă©tat de la cavalerie et la diminution de la mortalitĂ© ont prouvĂ© que les chevaux n’ont pas souffert de cette nourriture. — Les rĂ©sultats trĂšs encourageans obtenus pendant, le dernier semestre 1868 ont engagĂ© les directeurs de la compagnie Ă  augmenter la proportion du mais pendant une partie du premier semestre 1869, et ensuite Ă  le substituer entiĂšrement, Ă  l’avoine. Pendant l’étĂ©, aucune autre espĂšce de grain n’a Ă©tĂ© donnĂ©e aux Ă©quipages. La substitution du maĂŻs Ă  l’avoine, alors qu’il n’entrait encore que pour une part dans la ration de grains, a produit pendant le semestre une Ă©conomie sur l’ensemble de la nourriture de 354,310 fr. 80 centimes, et cependant le prix du foin avait Ă©tĂ© bien au-dessus de la moyenne des semestres prĂ©cĂ©dens. Cette substitution a Ă©tĂ© aussi avantageuse au point de vue sanitaire qu’au point de vue Ă©conomique, car dans aucun semestre, depuis que la compagnie existe, disaient les directeurs aux actionnaires rapport, premier semestre 1869, les dĂ©penses d’entretien et de renouvellement de la cavalerie n’ont Ă©tĂ© aussi modĂ©rĂ©es ; les chevaux continuent Ă  ĂȘtre en excellent Ă©tat de travail. Il n’y a que trĂšs peu de maladies. » En France, quand on a voulu essayer des rations Ă©conomiques, on a fait usage du hache-paille et du concasseur, et on a diminuĂ© les rations en se fondant sur ce que la division des foins et des grains en augmentait les effets nutritifs, ou bien on a remplacĂ© en partie le foin des prairies naturelles par la luzerne, et l’avoine par l’orge ou le seigle, que l’on considĂšre comme trĂšs nutritifs parce qu’ils sont fortement azotĂ©s. On a mĂȘme cru pouvoir diminuer la quantitĂ© de grain qui entrait dans la ration, de sorte que l’élĂ©ment respiratoire se trouvait rĂ©duit et par la substitution d’un aliment azotĂ© Ă  un aliment plus riche en carbone, et par la diminution du poids de la nourriture distribuĂ©e. On a obtenu de mauvais rĂ©sultats, et on ne s’en Ă©tonnera pas, si on rĂ©flĂ©chit aux consĂ©quences que peut entraĂźner chez un cheval qui travaille l’insuffisance de nourriture, ou, ce qui est la mĂȘme chose, la distribution d’une nourriture non appropriĂ©e. Ces mauvais rĂ©sultats ont dĂ©couragĂ© les innovateurs, et retardĂ© pour longtemps peut-ĂȘtre l’adoption des moyens les plus Ă©conomiques de nourrir les chevaux. Les faits sont lĂ  pourtant, et il est impossible de les mĂ©connaĂźtre. En Angleterre, on hache, on Ă©crase aujourd’hui les fourrages, mais c’est pour faire entrer dans les rations des alimens divers. On associe les alimens les fĂ©veroles avec le maĂŻs et l’avoine, le foin des prairies naturelles et la paille avec le foin des lĂ©gumineuses, de maniĂšre que le mĂ©lange reprĂ©sente la composition chimique la plus avantageuse, celle que nous prĂ©conisons comme seule convenable pour entretenir en bon Ă©tat des chevaux qui travaillent. Si on remplace l’avoine, devenue d’un prix trop Ă©levĂ©, c’est par un grain plus riche qu’elle en carbone et surtout en corps gras. Ajoutons, pour terminer sur ce sujet, que deux conditions sont nĂ©cessaires pour qu’un cheval soit bien nourri. Il faut d’abord que sa ration contienne une suffisante quantitĂ© de carbone si ce corps combustible ne lui est pas fourni par les alimens, il use la graisse que ses muscles contiennent, car, sans le calorique qui est produit par la combustion intĂ©rieure du carbone et de l’hydrogĂšne, il lui serait aussi difficile de marcher qu’à une locomotive, si le fourneau n’était pas alimentĂ©. Il faut ensuite, pour Ă©viter tout ce qui peut surcharger ses organes digestifs, lui donner de prĂ©fĂ©rence les alimens les plus riches en corps gras les corps gras ont sur les autres principes immĂ©diats respiratoires ou thermogĂšnes, sur les corps neutres, une supĂ©rioritĂ© qui s’explique par leur richesse en carbone et en hydrogĂšne. En substituant Ă  l’avoine et au foin des prairies naturelles d’autres alimens, on peut donc nourrir plus Ă©conomiquement les chevaux ; mais, nous le rĂ©pĂ©tons, on ne doit donner au cheval l’orge, le seigle, le blĂ© ou une lĂ©gumineuse, graine ou foin, que si on lui fait consommer en mĂȘme temps une certaine quantitĂ© de paille, de graines olĂ©agineuses ou de mais. Le maĂŻs est le seul grain qui puisse, Ă©tant administrĂ© seul, remplacer l’avoine, dont il se rapproche beaucoup par la composition. Comme d’ailleurs, Ă  cause du prix peu Ă©levĂ© et de la richesse en principes nutritifs du mais, c’est de tous les grains celui qui fournit l’azote et le carbone au plus bas prix, comme la plante qui le produit donne une trĂšs grande quantitĂ© de matiĂšres alimentaires, et qu’elle prospĂšre sur une grande partie de notre territoire, nous en considĂ©rerions l’introduction dans la nourriture normale de nos chevaux comme un grand bienfait. En rĂ©sumĂ©, Ă  dĂ©faut d’expĂ©riences directes, l’observation de tous les jours confirme la nĂ©cessitĂ© d’étudier les besoins des animaux et de composer les rations de maniĂšre Ă  satisfaire ces besoins et Ă  constituer les produits, — lait, viande ou travail, — que nous avons intĂ©rĂȘt Ă  obtenir. Donner un excĂšs d’azote Ă  un animal qui est entiĂšrement formĂ©, et qui n’a besoin de sa nourriture que pour s’entretenir et produire de la force motrice, c’est d’abord perdre une substance d’une grande valeur qui pourrait ĂȘtre utilement employĂ©e Ă  produire de la viande ou du lait, et en outre c’est surcharger l’économie animale de principes immĂ©diats albuminoĂŻdes qui, n’ayant pas comme la graisse un rĂ©ceptacle pour les recevoir, peuvent entraĂźner par leur excĂšs les plus graves maladies. Les chimistes modernes, en soumettant Ă  l’analyse les principales substances alimentaires et les produits animaux, ont fait entrer la science zootechnique dans une voie de progrĂšs. L’observation raisonnĂ©e de faits que tous les jours on peut Ă©tudier fera fructifier leurs travaux. On a beaucoup insistĂ© sur les avantages qu’on trouverait dans l’acclimatation des espĂšces exotiques d’animaux domestiques comme moyen d’augmenter la production des matiĂšres alimentaires. Il fallait une annĂ©e comme l’annĂ©e 1870 pour Ă©clairer la question. Ce ne sont pas les machines Ă  faire de la viande et du fait qui nous manquent, c’est le principe moteur de ces machines et les matiĂšres premiĂšres qui devraient leur fournir les Ă©lĂ©mens de la production. Si on introduisait le yack, la vigogne, le lama et le zĂšbre sur nos Alpes et nos PyrĂ©nĂ©es, il faudrait cesser d’y conduire les moutons, les vaches et les chevaux de la Provence, du Languedoc et du Roussillon. Quant Ă  entretenir dans nos fermes des animaux autres que ceux entretenus et perfectionnĂ©s depuis un temps immĂ©morial et prĂ©fĂ©rĂ©s par tous les peuples de la terre Ă  ceux qu’on voudrait y introduire, il ne peut pas en ĂȘtre question. Il ne faut pas songer davantage Ă  les y Ă©lever simultanĂ©ment. Pour les opĂ©rations zootechniques comme pour les opĂ©rations industrielles, le progrĂšs consiste Ă  simplifier les machines Ă  production, Ă  se servir des instrumens les plus appropriĂ©s aux milieux dans lesquels on les fait agir. Aussi avons-nous vu l’industrie zootechnique, sous la seule suggestion de l’intĂ©rĂȘt du producteur, se diviser, et chacune de ses branches ĂȘtre exercĂ©e dans des fermes et mĂȘme dans des provinces diffĂ©rentes. Ici, on s’occupe de multiplication, on n’entretient que des jumens pouliniĂšres et on fait naĂźtre les poulains ; ailleurs, on s’adonne Ă  l’élevage des jeunes chevaux ; sur les hautes montagnes, on fait naĂźtre les bĂȘtes Ă  cornes ; dans les plaines fertiles, on les engraisse, etc. Au point de vue de l’agriculture proprement dite, de la culture des plantes, les conditions sont diffĂ©rentes. Le progrĂšs consiste, Ă  l’inverse de ce qui a lieu pour la production des matiĂšres animales, Ă  multiplier le nombre des espĂšces utiles. Plus nous possĂ©dons d’espĂšces susceptibles d’ĂȘtre cultivĂ©es, plus ces espĂšces diffĂšrent les unes des autres par la longueur et la direction de leurs racines, par l’ampleur de leurs feuilles, par le terrain et les engrais qu’elles rĂ©clament et les matĂ©riaux qu’elles absorbent, par l’époque de l’ensemencement et de Ta maturitĂ©, par le genre de denrĂ©es qu’elles fournissent, plus la culture est riche et productive, plus la moyenne du rendement de la ferme est assurĂ©e, et plus sĂ»rement nous sommes garantis contre les effets dĂ©sastreux d’une grande humiditĂ© et de sĂ©cheresses extrĂȘmes comme celle de 1870. MAGNE. ↑ Ces prix ont Ă©tĂ© Ă©tablis en prenant pour base une mĂȘme mercuriale. Il est Ă©vident qu’ils varient. Nous n’avons voulu qu’établir une comparaison, qui serait plus encore au dĂ©savantage de l’avoine, si nous faisions les calculs d’aprĂšs la mercuriale de ce jour. ↑ 5 kilogrammes de foin des prairies naturelles, qui contiennent 57g 5 d’azote et 1,161 grammes de carbone dans les Ă©lĂ©mens respiratoires, pourraient, dans plusieurs circonstances, ĂȘtre avantageusement remplacĂ©s par 2 kilogrammes de foin de luzerne et 4 kilogrammes de paille. Ce mĂ©lange contiendrait 58 grammes d’azote et 1,221 grammes de carbone dans les Ă©lĂ©mens respiratoires ; 6 kilogrammes de paille et 600 grammes de fĂ©veroles renfermeraient aussi la mĂȘme quantitĂ© d’élĂ©mens nutritifs que 5 kilogrammes de foin. ↑ Seigle 3 kilogrammes, chĂšnevis 0k50Q et paille hachĂ©e 1 kilogramme, ou orge 3k500, chĂšnevis 0k500 et paille hachĂ©e 0k500, donnent la mĂȘme quantitĂ© d’élĂ©mens nutritifs que 4k 500 d’avoine.
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Avec double battant pour les petits animaux Pour les petits animaux, comme des shetlands ou des chĂšvres, les portes basses de box sont particuliĂšrement adaptĂ©es, nĂ©anmoins pour tous les plus grands poneys et chevaux, on choisit une porte de box adaptĂ©e gĂ©nĂ©ralement Ă  1 battant. box Ă  barreaux pour les box intĂ©rieurs Pour les boxs intĂ©rieurs, il est d'usage de choisir un modĂšle avec des barreaux sur la partie supĂ©rieure pour que les chevaux puissent se voir et se sentir facilement pour dupliquer au maximum leurs habitudes grĂ©gaires naturelles. Les box extĂ©rieurs pour chevaux avec volets Pour les box extĂ©rieurs, en plus des barreaux qui peuvent dissuader certains jeunes ou aspirants sauteurs de partir Ă  l'aventure, on ajoute souvent des volets que l'on ferme la nuit ou lorsque la mĂ©tĂ©o n'est pas clĂ©mente pour retenir la chaleur et rester Ă  l'abri des intempĂ©ries. On peut aussi mettre ce type de porte au fond des boxs des barns pour que les chevaux puissent regarder Ă  l'extĂ©rieur. Quelle option de porte de box pour quels chevaux ? Les portes Ă  ouvertures coulissantes Les options majeures d'une porte de box sont principalement le choix de la forme de sa grille et son ouverture. Coulissantes, les portes sont pratiques et gagnent de l'espace et de la sĂ©curitĂ© dans la manipulation des chevaux. Les grilles Pour ce qui est des grilles formĂ©es de barreaux, vous pouvez choisir l'option de pouvoir sĂ©curiser totalement le haut de la porte avec une grille pleine qui s'ouvre sur les 3/4 et se referme Ă  volontĂ© pour Ă©viter les contacts des chevaux caractĂ©riels de passages par exemple. C'est une option de grille qui est trĂšs pratique pour manipuler les chevaux et poulains d'Ă©levages ou dans des Ă©curies avec beaucoup de passage d'entiers. Les grilles de box en col de cygne Les Ă©talons disposent d'ailleurs souvent de grille en col de cygne, qui limite la possibilitĂ© du cheval de toucher ses voisins et permet aussi aux soigneurs de nourrir rapidement. Les grilles en col de cygne sont aussi condamnables avec une grille en triangle si vous avez besoin de grille pleine Ă  l'occasion. La porte de box est un Ă©lĂ©ment important de l’environnement de votre animal. Il faut donc la choisir avec prĂ©caution pour la sĂ©curitĂ© physique et le bien ĂȘtre de vos chevaux. Toutes nos portes de bois sont rĂ©alisĂ©es avec une ossature en acier galvanisĂ©es pour une rĂ©sistance accrue aux Ă©brouements des chevaux. Comment choisir ma porte de box ? Avec double battant pour les petits animaux Pour les petits animaux, comme des shetlands ou des chĂšvres, les portes basses de box sont particuliĂšrement adaptĂ©es, nĂ©anmoins pour tous les plus grands poneys et chevaux, on choisit une porte de box adaptĂ©e gĂ©nĂ©ralement Ă  1 battant. box Ă  barreaux pour les box intĂ©rieurs Pour les boxs intĂ©rieurs, il est d'usage de choisir un modĂšle avec des barreaux sur la partie supĂ©rieure pour que les chevaux puissent se voir et se sentir facilement pour dupliquer au maximum leurs habitudes grĂ©gaires naturelles. Les box extĂ©rieurs pour chevaux avec volets Pour les box extĂ©rieurs, en plus des barreaux qui peuvent dissuader certains jeunes ou aspirants sauteurs de partir Ă  l'aventure, on ajoute souvent des volets que l'on ferme la nuit ou lorsque la mĂ©tĂ©o n'est pas clĂ©mente pour retenir la chaleur et rester Ă  l'abri des intempĂ©ries. On peut aussi mettre ce type de porte au fond des boxs des barns pour que les chevaux puissent regarder Ă  l'extĂ©rieur. Quelle option de porte de box pour quels chevaux ? Les portes Ă  ouvertures coulissantes Les options majeures d'une porte de box sont principalement le choix de la forme de sa grille et son ouverture. Coulissantes, les portes sont pratiques et gagnent de l'espace et de la sĂ©curitĂ© dans la manipulation des chevaux. Les grilles Pour ce qui est des grilles formĂ©es de barreaux, vous pouvez choisir l'option de pouvoir sĂ©curiser totalement le haut de la porte avec une grille pleine qui s'ouvre sur les 3/4 et se referme Ă  volontĂ© pour Ă©viter les contacts des chevaux caractĂ©riels de passages par exemple. C'est une option de grille qui est trĂšs pratique pour manipuler les chevaux et poulains d'Ă©levages ou dans des Ă©curies avec beaucoup de passage d'entiers. Les grilles de box en col de cygne Les Ă©talons disposent d'ailleurs souvent de grille en col de cygne, qui limite la possibilitĂ© du cheval de toucher ses voisins et permet aussi aux soigneurs de nourrir rapidement. Les grilles en col de cygne sont aussi condamnables avec une grille en triangle si vous avez besoin de grille pleine Ă  l'occasion. LeJa8Q.
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